Invité : Jerr Allain du What’s up podcast

October 18, 2024 01:08:41
Invité : Jerr Allain du What’s up podcast
Maurais Le Podcast
Invité : Jerr Allain du What’s up podcast

Oct 18 2024 | 01:08:41

/

Show Notes

Cette semaine, après le SALUT à Marion Maréchal, le top 3 de TONY PENA et un volumineux « ZE LIVING ROOM » : RENCONTRE CHOC avec LE PHÉNOMÈNE JERR ALLAIN! Dans cet échange surprenant et divertissant, JERR raconte les origines du WHAT’S UP PODCAST, et Dom et lui jasent de censure, de liberté d’expression, de la souveraineté, gauche vs droite… et Jerr pousse même jusqu’à faire un pitch à DOM pour qu’il vote OUI! Aussi parmi les thèmes abordés: l’état de Montréal, son opinion sur Québec, ses souvenirs de Gatineau-Hull… Et devinez qu’elle serait la PREMIÈRE  question que JERR poserait […]
View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:01] Speaker A: Moray, le podcast. [00:00:07] Speaker B: Bienvenue dans cet autre épisode de Moray, le podcast. Mᵐᵉˢ MM. Comment ça va ? Ça va bien. Allô ? Allô ? [00:00:21] Speaker A: Salut. [00:00:22] Speaker B: C'est moi au pays du Père Noël, peut être. Qu'est ce qu'il a fait cette semaine ? Je te soupçonne, mon petit coffre. Qu'est ce qu'il a fait cette semaine ? Non, pas déjà là. Non, non, non. Eh oui. Pas avant l'Halloween au canac. Les sapins sont sortis, là. J'ai affaire au canac pour un petit magasinage. Je viraille un peu, puis je vois la Mᵐᵉ qui met les morceaux de village, village du Père Noël, village du Père Noël, qui est pas vraiment un village, là. C'est comme un village en dessous de l'arbre ou ailleurs dans la maison. Ÿ tu as la gare, tu as le magasin avec le dépanneur, tu as la petite quincaillerie, tu as le café. C'est made in China, beaucoup, avec des petites lumières et tout. Et j'ai acheté. C'est comme un petit feu avec des gens autour. Et quand tu l'allumes, c'est électrique. Le tout électrique. Le village Lord Vault ? Non, pas vraiment. C'est là, tu le branches là, tu vois le feu qui scintille et tout. Je sais pas, j'allume ça le soir, je me sens bien. Je me sens comme dans le temps de Noël. Mais en octobre, je suis sous surveillance chez nous because. [00:01:37] Speaker A: Parce que l'horloge n'est pas passé encore. Ouais, je le sais. [00:01:39] Speaker B: Il n'y a pas de neige. Ouais, je le sais, je le sais. Mais on a mangé de la dinde. C'était quand même l'action de grâce ce dernier lundi, et on a reçu. J'étais content et j'ai demandé la permission autour de la table. Est ce que j'ai le droit de passer de la musique de non Noël ? Nooooon Noël. Joyeux Noël la la la la. Elle est bonne, cette chanson là. La compagnie créole. [00:02:08] Speaker A: Ben, à chaque année, pour les auditeurs de Radio X, ça fait deux, trois, quatre ans qu'on fait ça. On chante une toune. Et à chaque année. T'es le 1ᵉʳ à qui je demande. Bon, est ce qu'on chante une toune cette année ? [00:02:22] Speaker B: Et à chaque année, je vois la magie la poussière d'étoiles dans tes yeux. Est ce qu'on le fait ? Oui, j'aimerais ça qu'on le fasse. On le fait ? Oui, on le fait. Confirmer. Oui, on le fait. L'équipe au complet ? [00:02:34] Speaker A: Pas juste moi en vedette, l'équipe au complet. Ok. Parfait. Excellent. [00:02:36] Speaker B: On va choisir la toune, puis on le fait. T'es tu content ? [00:02:39] Speaker A: J'adore. [00:02:39] Speaker B: On est en octobre. Peut être que là, les petits bruits que vous allez entendre, c'est un décorateur, parce qu'on est en train de décorer le studio podcast Radio X. [00:03:00] Speaker A: Qui est. [00:03:03] Speaker B: Devenu une immense corporation internationale. Et voici le salut. Salut. [00:03:07] Speaker A: Salut. [00:03:08] Speaker B: Salut. La galanterie. Encore une fois, les femmes d'abord. Marion Maréchal a expliqué à la télé. [00:03:18] Speaker C: Française pour pourquoi Donald Trump serait une bonne option pour l'Europe. Je salue Marion. [00:03:24] Speaker A: Salut. [00:03:24] Speaker C: Si Donald Trump était élu, et je l'espère pour les États Unis comme pour l'Europe, face au drame que serait Kamala Harris, je pense que ce serait une aubaine. Voilà. Parce que si, en effet, Donald Trump souhaite faire en sorte de moins s'investir sur l'Otan, ça fera en sorte que les européens, enfin, enfin, prennent en charge leur propre sécurité collective, investissent davantage dans leur proie de défense européenne et fasse davantage de projets communs pour être plus autonome. Non, je suis contre une défense européenne. Parce que qui dit défense européenne ? Non, mais attendez, c'est pas la même chose. C'est pas la même chose, là. C'est pas. [00:03:55] Speaker B: C'est. [00:03:55] Speaker C: Le problème, c'est qu'aujourd'hui, nous avons un certain nombre de pays européens qui ont fait le choix, c'est pas tout à fait le cas de la France, fort heureusement, de, comment dire, transférer leur sécurité aux États Unis. Et donc, pour ce faire, ils investissent bien moins dans leur outil de défense, et encore bien moins davantage dans du matériel de défense européen. Et la France, d'ailleurs, en est le 1ᵉʳ perdant. Je ne dis pas pour autant qu'il faille une défense européenne, une armée européenne, et donc une diplomatie européenne. Parce que, attention. Qui dit armée européenne dit diplomatie européenne, donc politique étrangère européenne. Moi, je crois que chaque pays, de. [00:04:25] Speaker D: Ce point de vue là, doit pouvoir. [00:04:27] Speaker C: Garder sa singularité, et en particulier la France, au géant de ce monde. En revanche, ce que je crois, c'est qu'il faut qu'au maximum, il y ait évidemment une coordination au niveau européen. Il faut qu'il y ait davantage d'investissements européens dans du matériel de défense européen, et notamment français. Et que nous allions donc, de ce. [00:04:43] Speaker B: Point de vue là, v. Une autonomie. [00:04:55] Speaker A: De plus en plus forte. [00:05:00] Speaker B: Et voici le top trois de Tony. [00:05:02] Speaker A: Le top trois avec Tony Peña. [00:05:03] Speaker E: Le top trois de Tony. [00:05:04] Speaker B: Comment ça va, Tony ? [00:05:07] Speaker E: Ça va, ça va bien. [00:05:09] Speaker B: Ça va bien. [00:05:11] Speaker E: C'est une belle semaine. [00:05:12] Speaker B: La semana, la semana una bella semana la bella semana. Yes. Todo bien. Todo bien. Pas de neige encore. Comment tu dis ça en espagnol ? La nieve. [00:05:20] Speaker E: Un petit peu de neige dans le. [00:05:22] Speaker A: Nord, mais ça fond. [00:05:23] Speaker B: On n'est pas prêt. Encore. [00:05:26] Speaker E: Pas encore. Pas encore. Donnez nous, on va s'arranger avec ça. Numéro trois. Numéro 13. Yes. On va faire un petit tour là, côté de nos voisins arméquins depuis le 3 juillet. C'est Donald Trump. Il a reçu à peu près, je pense, si je mettrais trois tentatives d'atento. La politique américaine, ça va pas bien. L'immigration, c'est le bordel pour mal pareil, comme ici. Mais c'est quelque chose, je pense, je crois, c'est mon idéologie à moi, que c'est une attaque à la société américaine comme telle, cette folie là. Parce que l'économie, c'est ça. L'immigration, ça va pour Vienne, aux États Unis. Et c'est que le dernier attentat s'était fait par qui ? La gauche folle démocrate. Est ce que les médias dominés vont encore dire que c'est la faute de Donald Trump ? Que c'est lui qui a organisé tout ça ? Les suspects des derniers attentos, tentatives d'attentats à Coachella, Californie, s'appelle poussière Sambre, avec Louis différents noms, plusieurs passeports et immatriculation. [00:06:27] Speaker B: On est rien d'où. Les amis, il faut faire attention, parce que la démocratie est en péril, l'immigration illégale aussi. T'as sûrement entendu l'entrevue avec, je crois, une animatrice de ABC avec JD Vance, où elle a dit ben voyons donc. Vous exagérez. [00:06:44] Speaker E: À Aurora, au Colorado, Ÿousand, c'est juste. [00:06:46] Speaker B: Quelques buildings, appartements, quelques édifices qui sont. [00:06:48] Speaker E: Sous contrôle des gangs vénézuéliens avec des armes qui ont rentré du ruban. On dit rien, là, voyons donc. Mais là. Allô ? Ça arrive, là. Ça peut arriver ici. Déjà que ça va pas bien. Montréal, Toronto, on n'a pas le choix de faire attention au monde qui rentre dans notre pays. Faire très attention, parce que c'est notre vie, c'est notre pays. C'est notre province, notre ville, le futur de nous, de nos enfants, de notre famille, de nos citoyennes. Numéro deux. Numéro dos. Yes. On va aller en faire un petit tour. Vivide, là. Au canadien, Montréal, gouvernement de la spécialement François Legault. Le chandail, c'est un chandail des Canadiens de Guy Laflore. Parfait avec notre cash. Ben oui. 1204 20. Deux piastres je pense que François, légaux après d'avoir vendu ses actions de transat en cachette, je pense qu'elle est millionnaire. C'est 1204 20, deux piastres aux boutiques à Laval avec de l'argent incontribuable de l'écart de crédit du gouvernement de nulle parce que c'est nous qui payent ce monde. L'eau, c'est jusqu'à où on va aller à accent, jusqu'à où on va aller de permettre à ce monde là de nourrir dans la face d'autres choses, il y a d'autres dépenses. Mᵐᵉ Biron, Martine Biron, qui était catapultée. Dernière élection les voyages. Oui, oui, oui, oui. Député de la chute de la chaudière, ministre des relations internationales, Francophonie, Whatever. Le titre est plus grand que son salaire. Entre 9 novembre et 7 mai 2020, trois, elle a dépensé 306700 en frais de voyage. Juste petit chiffre de même. Du cinq au 9 novembre, 4 jours aux États Unis, 30 5100 piastres. 10 sept au 21 novembre 2020, deux. En Tunisie, 51104 jours. 10 8 février au 1ᵉʳ mars 2020, trois. Soit 114200 piastres des jours. Ÿousand en assis. Allô ? Est ce que ça va, les amis ? On mange des caviar, on prend les trains puis les taxis en 1ʳᵉ place. [00:08:42] Speaker F: Allô ? [00:08:42] Speaker E: Parce que nous, on doit se serrer. [00:08:44] Speaker B: La ceinture, on doit faire la vaisselle. À toi du matin. Hello. Est ce qu'il y a quelqu'un qui l'opaque ? La police, les enquêtes, ils viennent déconnecter ces gens là complètement au pouvoir, puis font des voyages. Comme la gang de députés qui ont fait des voyages pour le compte de. [00:09:02] Speaker E: L'Assemblée nationale pour aller rencontrer d'autres parlementaires à l'écran, à l'étranger. [00:09:04] Speaker B: Scratch my back, I'll scratch yours. Les parlementaires viennent en retour. Est ce que pendant la pandémie, on faisait quoi ? [00:09:10] Speaker E: On le faisait. Maintenant, en quoi ça nous a améliorés ? En quoi ça a amélioré notre vie, ces voyages là ? What's in it for me ? Rien. C'est ça, mon point. C'est ça qui m'écoeure le plus, c'est on dépense, on dépense, on dépense. On nous demande de nous arrêter à la ceinture. Mais sont où les résultats de ces voyages, de ces interchanges d'économie avec d'autres peuples ? Sont où ? C'est où, les retours économiques ? Développement social, économique pour la ville, pour les citoyens de Québec, pour la province de Québec. Il n'y a pas. Il n'y a pas numéro un. Oh oui. Et là, je sais que pour mal, tout le monde a parlé de ça, les médias beaucoup ici, à Radio X. Mais j'aimerais revenir parce que je travaille, comme je dis avant, je travaille dans santé, Santé Québec. Ÿousand, est ce qu'on va lever vraiment les médecins de famille aux Québécois ? [00:10:00] Speaker B: C'est. [00:10:00] Speaker E: Les Québécois vont perdre leur médecin de famille. [00:10:02] Speaker B: Pourquoi en bonne santé ? Le monde qui est en bonne santé. Oui, mais est ce qu'on va rester en bonne santé toute la vie ? [00:10:09] Speaker E: Puis le monde. [00:10:10] Speaker B: Parce que. [00:10:11] Speaker E: Et qu'est ce qui est en bonne santé qui évalue qu'on est en bonne santé ? Voilà, c'est ça. Il y a peut être un cancer dormant quelque part, puis tout le sujet. Non. C'est ça, c'est ça. Et qu'est ce que tu permets de voir ça ? Ils t'ont suivi une ou deux fois par année, 15, 20 min par année, avec ton mécène famille. Exact. Ils veulent récupérer 1,5 million de places pour les plus vulnérables. Mais ce sont qui, les plus vulnérables ? Est ce qu'on le sait ? Non, on ne le sait pas. Est ce qu'on est en train de faire la même chose qu'aux pandémies du délestage ? Pourquoi payer autant ? 1 milliard et plus, presque par semaine ? Est ce que personne. Est ce que c'est quelqu'un qui s'occupe de la santé mentale, qui est encore vraiment très, très, très présent au niveau des écoles, au niveau ÿ de la société, des villes ? La drogue, les places pour se faire piquer, la désinstitutionnalisation est encore plus présente que jamais. Puis pour ma part, c'est vraiment triste de voir les Québécois, comme payer toute leur vie. [00:11:14] Speaker B: Toute leur vie. [00:11:17] Speaker A: C'est. [00:11:20] Speaker B: Ça de se faire enlever un. [00:11:25] Speaker D: Médecin juste pour un petit 15 min. [00:11:31] Speaker B: 20 min, 1/2 h par année. Est ce que le monde. [00:11:36] Speaker G: On voit où avec ça ? Les amis ? [00:11:40] Speaker A: Allô ? [00:11:41] Speaker G: Réveillez vous. Sacrement. C'était Tony Peña. [00:11:45] Speaker A: The living room. Bien sûr. [00:11:47] Speaker G: The living room. Bien sûr. The living room. [00:11:52] Speaker A: Bien sûr. Oh, bien sûr, the living room. [00:11:56] Speaker G: Comment ça va, les amis ? [00:11:59] Speaker A: Ÿousand ? Ça va bien. [00:12:03] Speaker G: Ça va bien en shape. Hey, Ben, Bruce. J'ai te faire du plein air. Ah, les couleurs d'automne. Je fais des câlins à des arbres à mou. [00:12:17] Speaker A: Ok. Connexion totale avec la nature. Je t'épogne un érable. [00:12:21] Speaker G: Ah ouais. [00:12:24] Speaker A: Du bois franc, c'est du bois. [00:12:25] Speaker B: C'était comme métal sur métal, la chimie avec la nature. On sentait vraiment deux êtres vivants entrer en collision. Ok ? Et on faisait partie de la création. Vous ne faisiez qu'un. On ne faisait qu'un avec le bois. [00:12:41] Speaker A: Fusionnel. Bon. [00:12:41] Speaker B: Les feuilles pis tout. C'est le fun, ça. Exactement. Extraordinaire. Extraordinaire. Ok. Parfait. On commence avec Ville de Montréal. Ville de Montréal. Ce qui est intéressant, c'est que, il y a pas juste l'hôtel de ville. Bien sûr, il y a des arrondissements. Et là, on vient jaser de plus en plus. On sent que les résidents, les automobilistes, sont en sacrifice. Ils viennent dire mais comment ça qu'on. [00:13:06] Speaker F: Va m'enlever mon parking ? Je me suis acheté un condo. Comment ça qu'on peut plus se stationner devant ma résidence, tout simplement ? Et là, il y a des politikos en face qui tentent d'expliquer. Ben non, bien sûr. [00:13:21] Speaker A: Calmez vous. [00:13:22] Speaker F: Ce n'est pas une idéologie anti voiture. C'est pas une idéologie, c'est vraiment un progrès. On regarde en avant que 15 des déplacements se fassent en vélo. C'est ça, la cible. Puis après, qu'on fasse aussi en piéton, qu'on soit aussi en transport collectif et qu'on soit ÿousand aussi en voiture. En ce moment, il y a 60, 10, huit de l'espace public qui est utilisé, en fait, qui a été dit aux voitures. Il y a 10 neuf aux piétons environ, à peu près pour les voies réservées pour autobus, puis à peu près un cinq, ça dépend des arrondissements, pour les vélos. Clairement, il y a de la place pour mettre plus de place pour les transports collectifs et actifs. Ce n'est pas une idéologie. Ÿ lisez tous les rapports du GIEC. Lisez tous les rapports sur la mobilité durable. Lisez tout ce que les gens. Lisez les conclusions de la direction de. [00:14:19] Speaker A: La santé publique de Montréal, du Québec, du Canada, de toutes les villes du. [00:14:25] Speaker B: Monde que vous voulez. [00:14:27] Speaker A: C'est ça qu'il faut faire. [00:14:28] Speaker B: Il y aura toujours des voitures, mais elles seront utilisées de manière différente. L'auto solo va moins exister. Ça, c'est vrai. L'auto solo, moi, j'aime ça. C'est ça, le progrès, Moret. L'auto solo. Non, l'auto solo, c'est fini. L'auto solo, c'est tu clair ? Quand est ce tu vas comprendre ? [00:14:48] Speaker D: Et dans cet auto solo, bien sûr, il y a beaucoup de parisiens qui font le tour de la ville. Bien sûr, dans le périphérique, bien sûr, dans le périphérique, bien sûr. Mais périphérique, bien sûr, putain, est à 50 km à l'heure, putain. Et André Bercoff. Mais il y en a marre. Attention, faites attention. Pour les millions de personnes qui empruntent le périphérique Île de France, et bien qu'il faut qu'ils sachent que plus de. [00:15:21] Speaker B: 50 km, ils seront radars, ils seront filmés. Ils ne souriront pas du tout. Vous savez, vous n'aurez rien, mais vous serez heureux. Comme disait le redoutable Claus du forum économique de Davos. Voilà. Faites attention et circuler. Demain, ce sera 30 km, peut être 20 km. Tous les désespoirs sont permisousand with my friend trudeau. Incroyable. Je veux vous présenter Bill Maher. Bill Maher a fait une sortie extraordinaire. En fait, vous allez entendre deux extraits. Je vais présenter le 2ᵉ dans quelques instants. [00:16:18] Speaker H: Mais d'abord, un petit cours d'histoire. Ça dure à peu près 1 min, et c'est un message qui envoie Bill au woke, sur les campus et ailleurs. Et on en a ici, au Québec, dans les rues, surtout de Montréal. Voici la vraie histoire concernant Israël. My guess is that gen z hearts are hardened by the propaganda. You see on TikTok which likes to call the jews colonizers. But colonizers are intruders, who have no history in an area. Like when Spain conquered the Mayans or when your mom took over Facebook. When the dutch took over South Africa, they just wanted it. But Israel is the jew's homeland, and jews have always lived there. I cap, you not. You can look it up. It's in this book called the Bible, which is horribly wrong about sex, ed. Slavery, science and cooking. [00:17:26] Speaker G: But the archaeology checks out. It says the jews built a temple with a really big wall seven centuries before Muhammad or islam ever existed. And sure as shit, you can still go there and touch it. Calling jews colonizers in Israel is like calling native Americans colonizers here. It's ridiculous. Le particulier. Oui, Bruce ? C'est de voir des dragues danser dans les rues avec le drapeau tricolore multicolore. Oh que oui. [00:18:09] Speaker H: Je vais aller à Gaza. Queer for Gaza. Transgenders for Gaza. Allo, la terre ? Allô, la terre ? Tu ferais pas 5 min à Gaza ? Tu ferais pas 5 min à terrain. On t'amènerait en haut du building, on te crisserait en bas, pis t'auras face à mancher comme un ponté chinois. Chapel if you think it was repressive growing up Queer in the midwest try the mideast You're a female drag queen and you sing i fucked you in the bathroom. [00:18:38] Speaker B: When we went to dinner your parents at the table Yeah, that wouldn't fly in Gaza although you would. [00:18:47] Speaker C: Straight off a roof the same goes for knee deep on the passenger seat and you're eating me out Yeah, my guess is the morality police would figure out that one's not about to drive through et ça fait jaser aussi en France, où on a parlé de drague et d'enfants aussi. L'association les Paillettes organise une lecture par des drag queens de contes pour enfants à Vouvray. Et on va te dire pourquoi c'est génial. Cette lecture va permettre pour les enfants d'encourager une inclusivité et une tolérance en abordant des sujets qui peuvent être. Ÿousand compliqués en famille, comme le sujet du genre. Ça va permettre de briser tous les stéréotypes autour de cette question dans un. [00:19:21] Speaker G: Moment ludique familial, et peut être aussi. [00:19:27] Speaker B: D'Apporter aux familles un moment, et, comment dire, un contexte de discussion à ces sujets là. En tant que jeunes communistes, nous serons toujours du côté de la tolérance et de l'émancipation face aux attaques de l'extrême droite. Soutenons ce genre d'initiatives et multiplions les. L'extrême droite. Génial. L'extrême droite. Oncle Bill, écoutez ça. Bill Clinton, c'est spécial. Bill Clinton. Peut être que vous le reconnaîtrez pas au début parce que. Il est vieux. Il a pris un coup de vieux. Je l'ai même pas connu. L'histoire du Bill Clinton qui fait du jogging à s'en aller McDo, là. Ça, c'est en quatre 20 12. Enlevez vous ça de la tête. Le Bill Clinton qui prend un cigare et qui va l'humecter dans l'entrejambe d'une. D'une stagiaire. No cigar, old news, no cigar, no monica, no, nothing. Mais par contre, il est pas tout à fait sur le poste. [00:20:37] Speaker A: Ou il l'est peut être, décide de. [00:20:38] Speaker B: Donner un sérieux coup de jarnac à Kamala, en disant en gros que cet immigrant, là, illégal, meurtrier, zweitausendein, si on l'avait bloqué à la frontière, si on avait vérifié qui il était réellement, on l'aurait foutu dehors et il n'y aurait pas tué une américaine. Yeah, well, if they had all been. [00:21:01] Speaker G: Properly vetted that probably wouldn't have happened but if they all properly vetted and that doesn't happen and America is not having enough babies to keep our populations up so we need immigrants that have been vetted to do work there wouldn't be a problem and he couldn't keep. [00:21:32] Speaker B: People all torn up and upset. Bill était dans grosse sauce cette semaine était bill saucée. [00:21:42] Speaker C: Je ne sais pas quel genre de chèque il s'est fait. Bill, également au funérail de Mme Kennedy. [00:21:46] Speaker F: Est allée dire derrière le pupitre en. [00:21:48] Speaker C: Avant qu'elle croisait sacrifice. Saut lapin. [00:21:49] Speaker B: Saut lapin. [00:21:49] Speaker C: Saut. [00:21:52] Speaker A: Lapin. Et là, je veux vous faire entendre. [00:21:54] Speaker C: Un 110 mais France sur l'immigration, écoutez ça. Ÿ Mᵐᵉ Saporta, il y a une. [00:21:58] Speaker A: Nouvelle. [00:22:01] Speaker D: Mode à gauche de. [00:22:06] Speaker F: Dire que. [00:22:06] Speaker C: La France est tellement détestable que même les migrants ne voudraient pas rester chez nous. Donc, c'est à dire qu'on nous dit, même les migrants, il n'y a pas que vous, il y a même l'extrême droite qui aime. Je suis pas du tout d'extrême droite. [00:22:20] Speaker A: C'est pas grave. [00:22:22] Speaker D: Isabelle, Isabelle, Isabelle, Isabelle. [00:22:23] Speaker A: C'est insultant, l'aide d'extrême droite. [00:22:24] Speaker D: Moi, je suis pas d'extrême droite, je suis de droite. [00:22:27] Speaker A: Classiquement de droite. [00:22:28] Speaker C: Vous m'avez mis dans le même sac que M. Retailleux. Il est d'extrême droite. [00:22:34] Speaker A: M. Retaille. [00:22:35] Speaker C: Avec Mᵐᵉ Saporta, on a passé tous les records. Alors vous êtes d'extrême gauche. Parlons concrètement, s'il vous plaît. Pardon, Sarah Knafou. [00:22:44] Speaker A: Et. Pardon. [00:22:44] Speaker C: Permettez moi de ramener à ce que serait cette loi sur l'immigration. Prenons deux exemples très simples. Est ce que je peux seulement répondre sur les migrants qui furent, s'il vous plaît, Mᵐᵉ safouta, la migrante. Ÿ la France est le 1ᵉʳ pays de flux de rebond de toute l'Union européenne. C'est à dire que quel que soit le pays par lequel les migrants arrivent, l'Italie, la Grèce, peu importe. [00:23:04] Speaker F: Le 1ᵉʳ pays de flux, de rebond. [00:23:07] Speaker C: Celui dans lequel ils se rendent, c'est la France. [00:23:11] Speaker A: Pour une raison simple. [00:23:12] Speaker F: L'attractivité sociale de la France. [00:23:12] Speaker A: Les droits ouverts, les droits qui leur sont permis. [00:23:13] Speaker C: Faire venir leur famille avec le regroupement familial. L'aide médicale d'État, on en a parlé. [00:23:18] Speaker A: Vous allez me couper à chaque fois ? [00:23:19] Speaker E: Suffisamment insupportable. [00:23:20] Speaker C: Le RSA, qui est ouvert aussi. [00:23:23] Speaker A: Combien. L'aide médicale d'État qui. Désagréable pour les gens qui sont même. On ne comprend pas. Ça sert à rien de parler en même temps. Non, mais s'il vous plaît. Il faudrait les mettre au courant pour les distribuer des procès. Alors en entrant dans la. Pardon, s'il vous plaît. Isabelle, c'est pour toi. On parle prostate. Shit. C'est l'enfer. Ça donne mal à la tête. Mon Simon. [00:24:04] Speaker G: Oui, Simon. [00:24:06] Speaker B: Parce que je sais pas qui est mon papa. Non, je suis dans l'utérus et je m'en peux de natation ce matin dans le liquide. Mais le M. Widow que vous allez entendre, j'espère qu'il n'est pas mon papa. Écoutez ça. Il dit quelque chose d'assez spécial. We won't have four more years of view. We won't. Ça, c'est spécial. Pareil. Vous avez donc le candidat à la vice présidente, l'allié de Harris, qui dit. On veut pas de quatre ans de plus que ça. Ouais, mais c'est harris. Et Biden, c'est toi qui es là, dans sa tête à lui. C'est comme si c'était Trump qui était président. Donc on est en train de présidentiabiliser Trump ÿousand en supposant par une twist quelconque qu'il était. Qu'il. [00:25:00] Speaker H: Est à la tête des États Unis. [00:25:03] Speaker B: Non, non, non. Trump était là avant, mais c'est Biden. Ils veulent oublié les les quatre ans de Biden Harris ou quoi ? C'est complètement fou. [00:25:12] Speaker H: Harris, qui était d'ailleurs à Fox news. [00:25:14] Speaker B: Beaucoup de malaise. Un accident de charge. [00:25:16] Speaker H: Vous direz, c'est une collision frontale. [00:25:17] Speaker A: Voici un court extrait. Wrong track. If it's on the wrong track that. [00:25:23] Speaker B: Track follows three and a half years. [00:25:24] Speaker A: Of you being vice president. And president Biden being president. That is what they're saying. Seventy nine percent of them. Why are they saying that if you're turning the page ? You've been in office for three and a half years ? And Donald Trump has been running for office. [00:25:42] Speaker B: But you've been the person holding the office. Come on you. And I both know what I'm talking about you and i both both know what I'm talking about what i'm talking about is that over the last decade people have but listen over the last decade it is clear to me and certainly the republicans who are on stage with me. Ce qui est particulier, c'est dans la dernière semaine, on est tombé dans l'identity politics. Beaucoup. On a ressorti Obama qui fait carrément une tournée électorale. Ah. Ils ont des droits de réserve. Ils ont des droits de réserve. Ils ont un devoir de réserve, plutôt. Ils doivent demeurer à l'écart. Un peu comme Dabia qui se mêle pas. Et on comprend qu'il est en conflit. Et toute la famille Bush est en conflit avec Trump, on le sait, mais en général, les ex présidents ne se mêlent pas des campagnes actuelles. Dans le cas d'Obama, c'est tout à fait le contraire. Blâme les hommes noirs. Et ça, ça fait réagir sur les médias sociaux. J'ai entre autres entendu une réaction très courte. C'est un noir qui dit à la caméra si elle a marié Harris un blanc, moi, comme noir, j'ai le droit de voter pour un blanc. Oh, oh, oh. C'est pas extraordinaire ? Et là, elle a émis sa politique pour les hommes noirs, programme spécial de près d'un million, uniquement pour les entrepreneurs noirs. Mais qu'est ce qu'un noir ? Je veux dire, il faut définir. Oui, mais ma mère est noire. Moi, je suis blanc. Est ce que je suis considéré comme noir ? Oui, mais moi, j'arrive du Nigeria. J'ai pas un passé à Détroit. Mon père est pas né à détroit dans les années 50 ou 40. Je veux dire, on oublie terre le fait qu'au fond, nous sommes des individus foncièrement différents. C'est comme si on disait les blancs. Ouais, mais moi, je suis blanc. Mais un américain du Minnesota est blanc. Mais j'ai rien, rien à voir avec lui. Je n'ai rien à voir avec lui. Oui, mais le blanc du texte, j'ai rien à voir avec lui. Oui, mais le blanc de Winnipeg, non, mais le blanc de la Suède, le blanc de la Finlande, j'en ai rien à foutre. Ÿ je n'ai pas de lien. Chaque personne est différente, mais on est très axé encore dans la politique américaine sur la couleur de la peau. C'est le retour de la couleur. Je trouve ça incroyable. Et dans sa politique justement sur les hommes noirs, elle a dit vous aurez la marijuana légale au plan fédéral, je vais légaliser la marijuana. Voici mon engagement. Kamala's Policies for Black Men legalize marijuana at federal level. Et ça, ça a été une insulte pour beaucoup de commentateurs et d'analystes noirs. Tu veux acheter mon vote avec un joint ? Tu veux acheter mon vote en me donnant un prêt ? Des prêts, en distribuant, en saupoudrant des prêts d'un million uniquement pour les entrepreneurs noirs. C'est très particulier comme décision. Mais on le sait maintenant, les grandes organisations politiques calculent les approbations, les niveaux de popularité selon les clientèles. Les femmes de banlieue, les femmes de ville, les jeunes de telle génération, les boomers, etc. Donc on subdivise le vote pour transformer finalement les campagnes électorales en immenses campagnes de marketing. Et on va cibler spécifiquement les noirs. Et elle, elle est allée même cette semaine dans un podcast dire. Je suis même ouverte à. Et ça, c'est un dossier explosif, ne serait ce qu'au plan financier, à la réparation. Qu'est ce que la réparation ? Elle n'a pas trop élaboré là dessus, mais elle avait élaboré avant, au cours des dernières années, là dessus. La réparation, c'est de donner un chèque à tous les noirs pour justement Zweitausendein compensé pour les dommages causés par l'esclavage. Ok, parfait. Toi, tu es arrivé du Nigeria il y a trois ans. Est ce que tu as un chèque ? T'es noir. Oui, mais là, on va faire un test. Donc est ce qu'on va faire des tests via quoi ? Ancestry ? Est ce qu'on doit déterminer chaque personne, la lignée ? Si toi, ton arrière arrière arrière grand père était sur une plantation, tu auras un chèque. Mais toi, ton père est arrivé juste en 1950, deux à Tallahassee, t'auras pas de chèque. Mais c'est le bordel ou quoi ? [00:30:48] Speaker H: Donc, on est dans un marketing très, très spécial. Ça sent beaucoup, beaucoup la panique. Bill O'Reilly a analysé la situation, puis a émis un commentaire très clair. Enlevez vous la tête, les histoires de clientèle. [00:31:02] Speaker B: Et le Trump est pas fin et pas gentil. Trump, lors de son mandat et ses documentés, a été très bon au plan économique. Et pour les latinos ? Et pour les noirs. On écoute. Was on positive territory all the working people no matter what color they were were making more money and there were more jobs we didn't have inflation we didn't have supply problems we didn't have any of it now we got all of it. Et je veux clôturer the living room avec Berkhoff, ce qu'il a raconté cette semaine concernant la censure, on le sait, ÿ la censure sur les médias sociaux, mais la censure également dans les médias mainstream. Concernant le vaccin dans les médias mainstream, en France, il faudrait faire une belle enquête. [00:31:48] Speaker D: Ici, au Canada, on n'en a pas. Il faudrait faire une belle enquête. Ici, au Québec, on n'en aura pas. Mais en France, on gratte un peu plus, on fouille un peu plus, on écoute les gens et on veut savoir ce qui s'est passé. Écoutez Bercoff qui relate la situation de deux journalistes qui se sont fait ok, côté vaccin, il faut quand même limiter l'information. Et quelques jours plus tard, chez Acnews. [00:32:19] Speaker B: Il y avait effectivement une discussion. [00:32:20] Speaker E: Et Geoffroy lejeune donc la journée Geoffroy lejeune est intervenue. [00:32:22] Speaker D: Écoutez, on s'est tous vaccinés parce qu'ils nous ont expliqué que le vaccin empêchait précisément la transmission. Les jeunes de 15 20 ans qui ne risquaient rien, on les a tous vaccinés en leur expliquant Attention, si t'es vacciné, tu vas penser à ton grand père, ta grand mère. Pour les autres, en fait, on a su assez vite que c'était pas vrai, mais on a été interdit. C'était interdit de le dire. On a su très vite que c'était pas vrai, mais on a été interdit de le dire. Voilà deux journalistes, deux journalistes qui sont de bons journalistes qui disent oui. Attendez, on pouvait parler de tout. On peut parler de tout sauf des vaccins. Alors, vous n'allez pas m'entendre facilement et souvent dans l'exercice d'autosatisfaction, mais je vous dis, à Sud Radio, ici, dans cette émission et ailleurs, il y a des gens à Sud Radio, c'est la pluralité des gens qui sont pour, des gens qui sont contre en parler. Mais nous, très tôt, nous avons abordé avec différents invités les effets des vaccins ne sont ni antivax ni provax. Il n'y a pas de problème chez nous, ÿousand, vraiment, chacun fait ce qu'il veut. Ça s'appelle le consentement libre. C'est inscrit dans la constitution, ça. Et bien, nous avons parlé très tôt, nous, des effets, des questions qu'on pouvait avoir sur un certain nombre de vaccins. On parle évidemment des vaccins rn messagers sur la Covid. Et nous en avons discuté encore une fois. Et pas de consensus. Il n'y avait pas toutes les têtes. [00:34:00] Speaker B: Aucune tête ne dépasse. Nous avons discuté et je dois dire, je dois dire, c'est à l'honneur de Sud Radio et de tous les médias qui ont, alternatif ou pas, qui ont été traités de complotistes, etc. Parce qu'ils. [00:34:28] Speaker A: Ont posé des questions. [00:34:29] Speaker B: Et c'est magnifique, dès que. Dès que vous parlez de certaines questions, vous êtes traité de complotiste. [00:34:35] Speaker A: Ça permet évidemment de résoudre le problème avec les béquilles de l'idéologie. Et voici maintenant l'entrevue avec Gérard, très content de recevoir Jerry Allen, un gars que j'ai découvert en écoutant Benjamin Tremblay. [00:34:44] Speaker B: Parce que je trippais sur Benjamin Tremblay puis ça faisait longtemps qu'il avait pas fait de vidéo. Je lui dis rien. Regardons Tremblay. Il est revenu, mais via le podcast de Jer Alain que voici. Comment ça va, Jer ? Ben, salut, esti. [00:35:00] Speaker A: Merci. [00:35:00] Speaker B: Ça va super bien, ta barnacle. J'ai content d'être avec vous, là, esti. J'ai tu le droit de sacrer ? [00:35:05] Speaker A: Parce que sinon, je m'excuse. Ben Oui, il n'y a pas de problème. On va s'arranger. On va s'arranger. Non, mais c'est ça. J'ai écouté plusieurs de tes podcasts, puis celui là, j'ai accroché. Parce que t'as réussi à faire mettre la casquette de la scie à ailleurs, à Benjamin Trembler. Ça, j'ai trouvé ça pissant. Puis c'est rare que tu te déplaces ÿ tu t'es déplacé dans son studio à lui, à Québec ? Oui, c'est ça. Ça faisait plusieurs fois que lui, il. [00:35:36] Speaker B: Se déplaçait pour justement venir sur mon podcast. Puis il est vraiment, vraiment généreux parce. [00:35:45] Speaker A: Qu'Il s'est déplacé au moins à quatre cinq reprises, fait que là, il m'avait fait l'invitation la dernière fois qu'il était venu, fait que j'avais pas le choix de l'accepter puis de venir. Puis en plus de voir son magnifique studio qui a mis temps et argent, puis. [00:36:00] Speaker B: Bref, c'est tout à son honneur. [00:36:02] Speaker A: Il peut récupérer toutes les lauriers qui lui reviennent. Tu es rendu à 360 ? 10360 12. C'est quoi, le décompte ? Ouais, ça ressemble à ça. Ça doit être ça, environ le passé, là. Tu sais, moi, j'en enregistre tout le temps pour mes membres patreon, fait que j'en ai tout un banque de quatre cinq, fait qu'on doit être à trois 60 16 tant qu'à moi. Ok. Comment ça a commencé ? Comment ça a commencé ? Ça fait. Ça fait longtemps. Moi, j'ai. D'ailleurs, faut savoir, moi, je suis humoriste. J'ai commencé l'humour à cause que ma mère est décédée du cancer. Ma mère, elle me trouvait vraiment drôle, puis elle me disait que je devais faire de l'humour. J'étais comme, ben ouais, mais je savais pas comment ça commençait. Puis elle m'a parlé de l'école nationale de l'humour. J'étais comme, ben voyons, il y a une école pour ça. Puis j'ai checké, puis finalement, j'ai aimé les cours du soir. Puis là, quand ma mère est décédée. [00:37:07] Speaker B: C'Est là que j'ai décidé de faire. [00:37:09] Speaker A: Le move, d'aller moi, je viens de Gatineau. Fait que j'ai parti de Gatineau, puis là, je faisais dans le fond, je partais le mardi, j'avais un cours le soir, le mardi, et je me poignais à un hôtel à Montréal, puis là, j'en avais un autre le mercredi. J'ai pas tant aimé l'école nationale, mais j'ai beaucoup aimé le côté on se réunit tous des fans d'humour. C'était qui tes chums à l'école, dans ce temps là ? Avec qui tu t'es chum ? J'en avais pas. J'en avais vraiment pas. J'avais aucun ami, je connaissais personne. Puis là, je me suis fait des petits amis, une petite clique. Puis là, bref, on a fini par rentrer dans le circuit de l'humour. Puis là, c'est quand que Mike Ward est revenu avec son podcast sous écoute, parce que lui avait commencé ça sur. Sur webcam, fait que là, il mettait ça parce que, à base, ta question, c'est comment j'ai commencé le podcast ? Mais c'est ça. Fait que ça a commencé là l'intérêt de vouloir faire de quoi être sur le web. Puis fait que là, lui avait pris une grosse pause, puis là, il était revenu par la suite, je pense, ça doit être en 2015, il était arrivé au bordel. Puis là, ça, ça a tellement été une révolution, ça, parce qu'on avait comme accès à des humoristes de proximité puis qui nous racontaient les petits détails de leurs anecdotes, de leur métier. Puis ça, j'ai beaucoup aimé ça. Puis je me demandais, hey, ça serait cool que ça soit pas juste l'humour, mais ça soit tout, que ça soit tout au complet. Puis que même si on rentre dans les côtés un peu plus techniques de la chose, que ce soit des politiciens. [00:38:52] Speaker B: Des journalistes, des musiciens ou peu importe, tu sais, quelqu'un qui a une histoire intéressante puis pertinente à raconter. Puis le même au début, mes amis, c'était toutes des humoristes. C'est sûr qu'au début, c'était tout l'humour. Puis là, après, tu sais, le monde, ils me font souvent ce commentaire là en me disant que. Ah ouais, c'est le fun que tu as été à l'extérieur des humoristes, mais ça a tout le temps été le but. [00:39:21] Speaker A: C'est ça. Ouais. [00:39:21] Speaker B: Ton objectif, tu prends. Je t'ai parlé tantôt de Lino Zembito. Tu peux prendre, mettons, Mathieu Bocôté. Tu peux prendre la collection que t'as eue qui sont pas humoristes. Finalement, il y en a une trollée où tes amènes, c'est quoi, ta technique ? [00:39:35] Speaker A: Parce que t'es super smooth, Christy. On dirait que des fois, t'es comme. T'es le pote, t'es relax, man. Jase moi de ça. Ah ouais ? T'es tu sérieux, là ? Lui, il parle, il parle bas, de côté. Il était pas arrêtable. Ÿ mais comment tes amènes ? Parce que t'as une technique très smooth. Mais qu'est ce que tu réussis à faire parler le monde ? C'est l'enfer, tes amènes à s'ouvrir comme Louis Joséhood. J'ai appris plein d'affaires quand t'as fait Louis José Houd. Ouais. Ben, Gab, maintenant, tu voudrais que j'y aille peut être podcast par podcast ? Parce que effectivement, Louis Joséhood, j'étais tellement stressé avant de le recevoir. Tu sais pourquoi ? Il m'a beaucoup influencé. Puis en plus de la misère en ce moment à gérer un peu la pression comparativement avant, peut être parce que, je sais pas, avant, j'étais plus naïf. Mais là, tu sais, je sais qu'un nom comme Louis José, Ben, il peut t'emmener, il peut t'amener beaucoup de vues, de visionnement, une certaine petite notoriété. Si Louis José, il a aimé, puis il est venu, puis il en parle en bien, c'est positif pour toi. Ta liste d'invités devient un peu ton portfolio, fait que c'est là que, mettons, tu peux te mettre un peu de pression, mais fait que. Bref, pour en revenir à ta question, comment je m'y prends ? C'est que je suis allé écouter dans le fond tous les autres podcasts que Louis José a participé, parce que je voulais faire sûr que de ne pas poser des. Tu sais, c'est pas grave de reparler de sujets que c'est déjà dit ou des enfants de main, parce que des fois, on peut aller creuser encore plus dans ce sujet là ou cette anecdote là qu'il y a juste un peu. [00:41:28] Speaker B: Effleuré à tel moment. Mais je voulais vraiment essayer de. Pour les fans de Louis José, d'avoir. [00:41:34] Speaker A: Le plus de contenu original puis d'y amener ma technique. Puis si on parle maintenant de. [00:41:38] Speaker B: Je sais pas, un bas côté, mais lui, c'est simple. [00:41:42] Speaker A: Moi, je le trouve tellement bon, pertinent, articulé. Puis je trouve, comparativement aux années peut être antérieures, on dirait qu'il y a. Et son vocabulaire, j'ai vu plusieurs commentaires qui disaient ça que son vocabulaire, on dirait comme plus accessible parce qu'il y a tellement de. Beaucoup de mots. En France, il y a un niveau très élevé. Il s'agisse à l'auditoire, fait que, tu sais, la plèbe comme nous, on a des fois de la misère à le comprendre. La plèbe multiculturaliste fait en sorte que le Québec d'aujourd'hui, Ben, c'est ça. Puis moi, tu sais, des fois, on a le droit de ne pas être d'accord avec ce que les invités disent ou proposent. Mais inviter des personnalités publiques de même, moi, je trouve intéressant, c'est qu'on peut s'intéresser la politique ou même tous les sujets culturels ou sociales, ou les enjeux sociaux. Les enjeux sociaux, Ben, sont pas définis juste pour les intellectuels ou les spécialistes. Ça peut être accessible pour tout le monde. Puis fait que, t'sais, moi, c'est ça. Moi, je suis un gars qui a un secondaire trois, qui fait des fautes à chaque trois syllabes. Mais je m'intéresse à ces sujets là. Je ne sais pas si je suis capable d'amener quelqu'un comme bas côté à bien le vulgariser. Je me dis qu'il va en avoir. [00:43:09] Speaker B: D'Autres comme moi que. Ÿ ils trouvent peut être pas ça super facile des fois à comprendre, mais à force de t'intéresser, à force d'être curieux, tu finis par le comprendre, ce dialecte là, puis arriver à pouvoir participer à la conversation puis au débat ou juste te faire une idée. Je trouve ça important de s'intéresser à ces sujets là, parce que même si on est surchargé par la vie, ça nous concerne beaucoup, tu sais, on est beaucoup concerné par tous les enjeux politiques puis les enjeux de liberté d'expression aussi, comme artiste, comme humoriste, comme gars de communication. [00:43:44] Speaker A: Est ce que ça vient de chercher ça, la liberté d'expression ? Et l'attaque envers la liberté d'expression, c'est la marge de manœuvre que vous avez comme humoriste. Ÿ entre autres. C'est beaucoup plus restreint qu'avant. Tu peux pas rire de. Si tu peux pas rire de ça, tu écoutes des vidéos qui ont été faites il y a 15, 20 ans. Rbo, entre autres. Entre autres. Tu dis ? Ouais. Je peux plus aller là. [00:44:13] Speaker B: Je peux plus aller là. Qu'est ce que tu penses de ça ? Où on s'en va ? Ben, je trouve que juste le fait. [00:44:20] Speaker A: De pouvoir en parler, c'est déjà bon, là, tu sais. Mais effectivement, on l'a vu avec Mike Ward quand il est allé jusqu'en cours suprême. Ça lui a coûté quasiment 500000 piastres juste pour pouvoir faire sa blague. Tu sais. Ben Moi, je trouve que le débat, il est très intéressant. Tu sais, je trouve que Mike, c'était légitime qui aille jusqu'au fond de toute cette histoire là. Mais toi, tu t'auto. Est ce que tu t'auto censure ? Est ce que des choses que tu as dites, mettons, c'est un stage 15 ans que tu redirais pas aujourd'hui ? Et pourquoi ? Ben Moi, qu'est ce qui m'attend ? Que j'avais honte. C'est peut être plus l'intention qui avait derrière. Si j'avais dit de quoi que j'aimerais pas. Je pense que c'est plus ça qu'il faut se poser comme question. Ben, tu sais, on en a une liberté d'expression, on peut le dire, c'est juste maintenant. Les répercussions, des fois, sont disproportionnées. Des fois, tu vas avoir des campagnes de salissage sur ton cas. J'en ai vu, des artistes, mais en même temps, tu sais, eux autres aussi, des fois, ils ont le droit aussi de dire que ta joke est épouvantable ou tout ça. Mais en tout cas, je trouve des fois, c'est un peu disproportionné, les répercussions qui s'en peuvent donner. Moi, qu'est ce que j'aime pas, c'est quand quelqu'un fait comme moi, j'aime pas cette blague là. Puis personne n'a le droit d'aimer cette blague là. Ouais. Ouais, ouais, ouais, ouais. Là, moi, j'ai un problème avec ça, mais je sais pas, je pense que. [00:45:49] Speaker B: Des fois, c'est quand même important d'avoir une certaine remise en question sur zweitausendeinundzwanzig. [00:45:56] Speaker A: Sur pourquoi tu as dit ça puis. [00:45:59] Speaker B: Où c'est que tu voulais t'en aller avec tout ça. Moi, je pense chaque remise en question. [00:46:06] Speaker A: Est tout le temps bonne affaire. [00:46:09] Speaker B: Mais après, des fois, il y en a qui tabarnak parce que t'as fait une blague, t'encourages telle, telle affaire. Des fois, ça a juste plus de sens. Ils veulent te coller de quoi à peau, puis t'es comme ben non, reviens en, le câlisse. C'est une blague, ça, cramelle. T'es tu une bébé de politique. Tu invites beaucoup de bébés de politique. Mais je. Alain, politique, tu es tu politique ? Ouais. Ouais, vraiment beaucoup. J'adore ça. Oui. Demain, il y a référendum. C'est oui ou c'est non ? Ben oui. Oui. Oui. Tabarnak. All the way. Pourquoi ? Pourquoi puis avec qui ? J'ai déjà eu ce débat là, puis je vais le revoir avec Mathieu boc côté. Parce que moi, je disais à Mathieu, je dis siousand, on est un Québec. [00:46:56] Speaker A: Qui veut vraiment se développer de manière à la fois agressive et intelligente. Intelligente. Un peu comme la Norvège, un peu. [00:47:03] Speaker B: Comme la Suède, mais prenons la Norvège. [00:47:07] Speaker A: Avec le pétrole, le gaz, tout ça, s'enrichir. Personnellement, c'est sûr que ça reflète sur la collectivité. Le Québec devient plus fort ensemble. Moi, je serais ouvert à voter oui. Je le dis en nom de souvent à Radio X, tu sais, mais comme conservateur, je suis un conservateur. Je me sens pas bienvenu dans l'autobus avec Québec solidaire puis le PQ. Je me sens pas à l'aise là dedans. C'est pas ma gang. Ben, je pense si on a tout un travail, mais je pense qu'on a tout un travail à faire. À faire. Fais moi pitch. C'est ça. Je peux pas te faire un pitch en tant que politicien, mais j'ai pas un [sos/eos] du coeur pour que c'est que moi qui m'en ressort. Je pense. La 1ʳᵉ affaire, c'est chaque personne qui. Qui pense qu'on aurait un meilleur destin à l'extérieur du Canada. Ben, je pense qu'il faut juste s'unir, puis il faut arrêter de se diviser, parce que c'est. Le fédéral a tellement travaillé fort à. [00:48:01] Speaker B: Nous diviser, à nous coller des étiquettes de raciste ou de renfermé sur soi même. [00:48:06] Speaker A: Puis au contraire, moi, je trouve tellement que c'est un beau projet ou ce qu'on peut inclure tout le monde, qu'il soit de gauche, de droite, conservateur ou progressiste ou peu importe. Mais là, l'option est davantage de gauche. Mais on a tout un peu d'eau. [00:48:18] Speaker B: À mettre dans notre vin, tu sais, puis faire comme. [00:48:21] Speaker A: Bon, Ben gars, on s'entend pas sur ça serait quoi, le Québec de demain, mais on s'entend sur de quoi ? Notre dénominateur commun, c'est qu'on veut pas du Canada. C'est quoi, ton québec à toi ? Ton québec à toi de demain, comme tu dis ? [00:48:40] Speaker B: Ben, moi, c'est sûr et certain. [00:48:44] Speaker A: Peut être seront pas d'accord avec moi, mais on s'en fout. Mais je suis ouvert par exemple, en en discuter. [00:48:54] Speaker B: Moi, je suis pas là à pointer les autres du doigt, à faire comme Ben, t'es pas de bon bord. Non. Mange de la marge. Non. Je veux t'entendre. C'est trippant. C'est le fun. Non ? Ben, moi. Ben Moi, je crois beaucoup en Hydro québec. Je dois beaucoup avec les voitures électriques. [00:49:11] Speaker A: Je trouve que notre position géographique, les choix qu'on a décidé de faire avec Hydro Québec quand c'est venu, Ben, je pense que ça serait véritable. Mais son cher, les gens électriques, il est hybride, moi, mais hybride 2010 huit. Fait que je peux pas braguer, je. [00:49:29] Speaker B: Rentre encore dans un pauvre. Mais c'est ça, c'est pas accessible. Puis on va se le dire, on est au nord, donc, la capacité de. [00:49:36] Speaker A: Batterie est diminuée quasiment de moitié. Et à quelque part, le prix du courant va monter. Est ce qu'on est plus gagnant au change ? Au final, c'est ça qu'il faut se peut être. C'est ça. Faudrait que justement, qu'il y ait peut être des mesures qui soient prises pour que, justement, les. Les Québécois puissent en profiter de ça. Puis pas que ça soit un laisser passer pour les. Les compagnies étrangères ou. Ou peut être aussi. Je sais pas, moi. La filière batterie, là. Comment tu as trouvé ça ? Nord vote, là. La filière batterie plus. Comment tu as trouvé ça ? Ben, est ce que moi, je pense, c'est quand même l'avenir, comment que ça a été géré. [00:50:13] Speaker B: Moi, je pense. C'est peut être plus là, le problème, mais je pense aussi que, au gouvernement. [00:50:20] Speaker A: Un gros problème. [00:50:24] Speaker B: Qu'On a, c'est qu'il. [00:50:28] Speaker A: Y en a qui sont imputables, que, tu sais, ils vont. Ils vont prendre des mauvaises décisions. Puis peut être le politique qui le représente, eux autres se font pas relire, mais il y en a des fonctionnaires qui gardent leur job, qui. Qui perdent pas, là, qui ont pris des mauvaises décisions. Puis il y auront pas une conséquence à ça. Puis de mon nom, les gardes en poste puis continuent de faire des gaffes après gaffe après gaffe. Tu sais c'est qui, ton 1ᵉʳ ministre ? 1ᵉʳ, là, c'est le 1ᵉʳ 1ᵉʳ ministre d'un Québec souverain. Qui tu verrais ? Georges Saint Pierre. Esti lui mange une savate. Exact. Dress. Je sais pas. Je sais pas. Moi, je verrais. Boucard diouf, il est tellement sage. C'est qui est sage, ce bleu ? Il me. Il me remplit de positivisme. Des fois qu'on est frustré de quelque chose quand on est négatif, pessimiste, cynique. Ben, écoutez, un boucan, des fois, ça te redonne une fierté québécoise, mon grand père disait. [00:51:31] Speaker B: Ouais, mais tu sais, il vient du Sénégal. Puis cet homme là, il a accueilli. [00:51:39] Speaker A: Le Québec dans son cœur. La façon qu'il parle du Québec, c'est de même qu'on devrait le voir. Puis des fois, on l'oublie à quel point qu'on est unique. On est exceptionnel. On n'est pas meilleur qu'un autre, mais pas plus pourri. Est ce que tu sais, quand j'en entends que. On est incapable de rien. [00:52:01] Speaker B: Ben, tu sais, c'est sûr, on fait toutes des erreurs. Ÿ mais toutes les grands pays comme les petits, Ben, ils en font, des erreurs. [00:52:08] Speaker A: Mais on est capable de se donner de quoi de grand. Est ce que la grosse ville du. [00:52:16] Speaker B: Québec, c'est à dire Montréal, va bien ? Est ce que Montréal va bien ? Non, vraiment pas, man. [00:52:24] Speaker A: Puis je sais pas qu'est ce qui se passe à Montréal. Moi, j'ai tout le temps aimé cette ville là. J'ai plus aucun sentiment d'attachement. Pourquoi ? Ben, je sais pas. Qu'est ce que Valérie plante en en a fait ? Qu'est ce que les. Les. Je sais pas. Je m'y reconnais. Il y a trop de quoi. Et il y a pas assez de quoi, d'abord. Il y a trop de quoi à Montréal ? Je le sais pas. Je sais pas, tu sais, c'est juste. Je m'y reconnais plus, là. Tu sais, trop de comptes. Il y a trop de problème de fierté. Au final. On manque tu de fierté ? On manque tu de rigueur ? Non. Je pense que. Au contraire, c'est qu'on tombe facilement dans le cynisme. Tu sais, si je trouve, c'est ça, le gros problème, parce que c'est facile tomber dans le ciné, parce que c'est vrai que c'est décourageant, c'est démotivant. Tu écoutes. Tu écoutes la radio ? J'écoutais la radio. J'écoutais du trisac en m'en venant, puis. [00:53:21] Speaker B: Il dénonçait plein d'enfants. Puis c'est vrai, tu fais. Est ce. On dirait. [00:53:27] Speaker A: On va tout le temps constamment avoir les mêmes problèmes, fait que. Mais par exemple, trouver du positif lorsqu'on peut, puis d'essayer de changer les choses, puis de ça, par exemple, ça demande un effort. Puis ça, je lève mon chapeau à. [00:53:54] Speaker B: Tout le monde qui le fait. [00:53:56] Speaker A: Puis tu sais, moi, je suis pas meilleur qu'un autre. Moi aussi. Le style d'info, le style. Je suis découragé, mais c'est ça. C'est cet effort là qu'il faut faire d'être fier de nous autres, de qu'est ce qu'on peut accomplir de qu'est ce qu'on va accomplir ? Parce que moi, j'y crois. Puis c'est ça. C'est ça, mon message. Québec et Montréal, Québec versus Montréal, c'est une réalité ou c'est une invention ? Je sais pas, moi. Moi, j'adore québec. Je tripe québec. J'ai fiancé ma blonde à Québec. À la Maison canadienne, le restaurant au vieux Canadien. Oui, c'est ça. Arrête donc, toi. Non, ma blonde. Ma blonde est de l'extérieur de Montréal. Ok. Puis qu'est ce qui vous a amené à Québec ? On aime juste québec. On a tout le temps aimé québec. Je sais pas trop pourquoi. Moi, j'ai tout un gros sentiment d'appartenance à cette petite ville là. Je l'aime en mort, là, tu sais, en espérant qu'elle devient pas un Montréal deux avec. Avec vos comptes construction. Puis en tout cas, dernière fois, je suis allé là, Tabarnak. Mais bref. Non, ça, je. Moi, au début, ma blonde, je voulais la fiancer à Place Belle. Je voulais fiancer ma blonde à Place Belle devant 10000 personnes. Je l'aime tellement à Laval. Ouais. À cette fille là, je voulais que 10000 personnes. Puis même ça, c'est pas assez pour témoigner tout l'amour que j'ai à elle. Mais elle, elle sent encore la tension. [00:55:13] Speaker B: Elle, elle aime pas ça. Elle veut rien savoir. Fait que là, tu sais, moi, pour. [00:55:17] Speaker A: Essayer de tâter le terrain, je lui montrais des compilations de demandes de mariage dans des stades, là. Je faisais check ça, je faisais semblant de tomber dessus. C'est donc bien beau. Tu aimes tout ça. Puis comme non, t'aimerais pas ça, tu sais, c'est quand même beau. Comme non, j'ai pas besoin de. Qu'il y ait genre 10000 personnes frustrées parce que leur équipe en train de perdre puis que là, ils vont se saouler. Puis là, toi, tu te fais ta demande. Puis nanana, j'ai pas besoin de ça. Je suis comme Chris, ça marque quand même des bons points. C'est quoi, tes spots à Québec ? As tu déjà fait des gigs à Québec ? As tu déjà fait des shows à Québec ? Oui. Ben Oui. Ben Oui, Ben oui. Moi, j'ai. J'aime beaucoup la source de la Martinière. J'ai fait beaucoup de mes spectacles. C'est une très, très, très belle place. Je suis allé jouer récemment. Ben récemment, en février, je suis allé jouer à l'Impérial Bell. Oui. C'était une tellement. Une belle place. Puis il y avait une belle histoire en plus. Moi, j'aime ça, l'histoire. J'aime l'histoire. Fait que tu sais, ça disait que c'était un ancien théâtre de cinéma cochon. Moi, je trouvais ça drôle, en tout cas. Ouais, ouais. Québec. Ben, le château Frontenac. Ouais, ouais. Tu sais, c'est ces places là, la Citadelle, les plaines d'Abraham. Je trouve ça incroyablement beau. Puis le restaurant qui tourne le ciel. Oui. À chaque année, on fête notre année de couple à cet hôtel là, puis on va se saouler après sa grande allée. Ton invité de rêve, ce serait qui ? J'en ai deux ou peut être plus. Mais en tout cas, qui me vient en tête, c'est Georges Saint Pierre. Parce que c'est juste incroyable que. C'est qu'il accomplit. C'est fou à quel point ce gars là, c'est une super vedette tout partout dans le monde. Mais au Québec, on fait comme. Ah ouais. Georges Saint Pierre, le gars de mémé qui se bat, on n'est pas au courant à quel point que ce gars là, il a fait des sacrifices. Puis il a travaillé fort pour avoir son. Pour avoir son titre. Et puis il y a jamais. Non, c'est pas vrai. Il y a pas. Jamais été battu. Mais c'est une fois que. Remporté 1/2 fois son titre. Il a pas reperdu et c'est écœurant que c'est qu'il a accompli puis le. [00:57:53] Speaker B: Niveau de dévouement qui a fait. Puis l'autre personne, ça serait manu militari parce que je le trouve tellement écoeurant. [00:58:04] Speaker A: Les c'est un rappeur pour ceux qui. Qui le savent pas. Puis la façon qui est capable de jouer avec les mots, jouer avec les expressions, puis il arrive à dire de quoi de pertinent. [00:58:13] Speaker B: Tu sais, c'est pas juste yo, viens chez nous puis je fourre ta meuf, c'est rap pourri. Mais lui, man, il fait quoi de pertinent, de bon, de. D'intelligent ? Il joue avec les mots. Si tu une musicalité à mes oreilles, je trouve ça incroyablement bon. Puis ça me fait tellement de quoi qu'il. Pas plus connu, mais je pense. Ça fait partie peut être des décisions qui prennent. J'adore ça. Géraldin, si j'étais assis dans le what's up podcast, ça serait quoi, ta 1ʳᵉ question ? Ah Ben, je sais pas. Il y en a qui ont de l'air de pas t'aimer comme. Je sais pas. Puis toi, tu as de l'air de pas aimer Montréal. C'est sûr que je te parlerai de ça. Ben, j'ai travaillé à Montréal, j'ai travaillé à Montréal. J'ai aimé montréal, mais j'aime pas ce que Montréal est devenu. [00:59:11] Speaker A: J'aime pas la condescendance d'une certaine élite de Montréal envers québec. Je trouve qu'une certaine. On peut pas dire la ville de Montréal, mais pas tout ensemble. Montréal. J'ai vécu à Montréal. J'ai travaillé à Montréal. [00:59:30] Speaker B: À TVA, à la Zweitausendein, à Montréal. J'ai vécu là jeune, en quatre 20. Un où je restais chez ma tante dans l'est de Montréal. Je travaillais à la Presse. Tu sais, c'est quand on dit québec et Montréal, c'est la condescendance. [00:59:43] Speaker A: D'Une certaine élite de Montréal sur Québec, Québec, les colons, on le sait bien, Québec écoute la radio poubelle, Québec qui est pour les Charagans, une collection de stéréotypes ÿousand. [00:59:53] Speaker B: Rattaché à Québec, que je trouve qu'au final, ça manque. [00:59:56] Speaker A: Ça manque. Ça manque de nuances, ça manque d'intelligence. Ben, de nuances, ça, c'est sûr et certain, parce que tu sais, drette là, tu viens de prouver le contraire. Fait que, tu sais, mais par exemple, quand je vais à Québec, ça revient souvent. Ouais, Montréal qui m'aiment pas. Au final, c'est ça qu'il faut définir aussi. Qui ne m'aime pas. Il y en a qui s'en font une passion de pas m'aimer. Mais quelque part, on dit en anglais there's a thin line between love and hate. [01:00:29] Speaker B: Puis en même temps, Ben, je trouve que les réseaux sociaux ont pas mal amené ça. [01:00:32] Speaker A: Puis ça, c'est ça qui me désole vraiment beaucoup. C'est sûr, on a des opinions. J'ai des opinions qui tranchent, aussi. Ben Oui. Puis tu sais, ma tante, là, on pourrait discuter sur les opinions où ce qu'on est d'accord, puis aussi que. On se rejoint pas. Puis là, peut être, c'est. Là, ça pourrait peut être s'en venir. Venimer un petit peu plus. Mais par exemple, tu sais, de détester quelqu'un juste parce que là, c'est l'homme à détester ou la femme à détester. Oh, faut être. T'aimes pas. Tu sais, moi, même, Stéphane Bureau, là, zweitausendein, je l'aime en tabarnak, moi. Stéphane Bureau comment qui parle de la politique internationale, il y en a qui le détestent sont plus capables. [01:01:16] Speaker B: De se réveiller. Ben, il y en a qui. C'était qui, je pense, c'était Marie Franceau, qui braseau, qui disait ça genre. Savais tu que dans les. Dans les coulisses, il y en a qui disent que tu es un trumpiste ? Puis tu sais, lui, il voulait même pas répondre à cette question là parce que. Puis c'est ça que j'ai trouvé tellement brave de sa part. Puis tu sais, c'est là que je. Pour moi, il est dans un autre niveau parce que. Il embarque pas là dedans, lui fait juste. Il prend les faits, il les regarde. Des analyses. Puis voici mon analyse. Je ne c'est pas vrai que je. [01:01:54] Speaker A: Vais embarquer dans tout le monde déteste Trump. Faut que je chu le, tu sais. Mais j'écoutais Kim Lisa. Il y en a une collection, là, qui chie dessus, là. Stéphane Bureau, Stéphane Biro. Je suis pas capable, je suis pas capable. Ouais, mais définit clairement pourquoi t'es pas capable. Il y en a qui détestent pour détester aussi, là, parce que. On entend contradiction. Moi, mon discours, peut être qu'il y a encore en contradiction avec le discours de certains autres, mais viens dans mon show, vient argumenter de manière intelligente, avec un argument structuré pourquoi ceci, pourquoi cela ? Et la barre, au lieu d'haïr, de détester puis dire ce style là, il est donc maintarlais. On n'est pas capable de discuter au Québec, contrairement à la France, par exemple. Il faut discuter, il faut parler. Il faut que tu. Il faut que le monde arrête d'être dans chacun de leur côté. C'est de chacun de leur bord. Puis juste tu dire des énormités sur l'autre ou. Ou dire des 1/2 vérités aussi. C'est ça, par exemple. C'est vrai que ça se fait de tout bord, de tous côtés, dire des 1/2 vérités, d'être, de mentir ou de. Il faut vraiment être de bonne foi puis écouter l'autre puis pas essayer de le démolir ou de le démantibuler juste pour son ego. De quoi de même. Tu sais, moi, à chaque fois je parle avec quelqu'un, même, je sais que je suis pas d'accord, j'essaye vraiment de comprendre ÿ pourquoi c'est quoi qu'il essaye de me dire ? [01:03:26] Speaker B: Que c'est qu'il veut me dire ? Parce que tu sais, si on en. [01:03:30] Speaker A: Reprend, ma tante, le discours avec les souverainistes, fédéralistes, moi, tant que je réussis à démantibuler l'argumentaire de fédéraliste, peut être c'est bon pour mon ego. Ça me flatte, l'ego. Mais y a t il vraiment eu un échange, vraiment compris ? Qu'est ce que moi, je voulais dire. Ou au contraire, il va se sentir humilié puis encore plus rester dans son. Dans. Dans sa chambre déco ou dans son. Dans son monde, le. [01:03:53] Speaker B: Tu sais, maintenant, pour ça, il faut. [01:03:55] Speaker A: Vraiment qu'il y aille un échange. Il y en a qui répondent, il y en a qui. Il y en a qui écoutent pour. Il y en a qui écoutent quelqu'un pour répondre et non pour entendre que. L'écoute pas. Il essaie juste de trouver une ouverture pour le plan. Ben Oui. Ou une faille dans son affaire. Puis ça, ça se fait de toutes les côtés. Tu sais, qu'on soit conservateur ou progressiste, de gauche, de droite. Puis c'est ce que je pense qui nuit beaucoup, tu sais, puis on le voit avec les réseaux sociaux. Il y en a qui sont tellement méchants. Mais tu sais, c'est juste que l'écran coupe l'interaction entre. Entre la personne. [01:04:39] Speaker B: Si tu l'avais vraiment avant de toi, est ce que tu dirais ça ? Ben Oui, c'est ça. Puis tu verrais à quel point que ça y fait de la peine puis à pleure, puis elle serait triste. La plupart du monde se sentirait mal après, se sentirait pas fier, ferait pas. Tu sais, Louis ck, il disait ça dans une de ses entrevues. Puis c'est vrai. [01:05:09] Speaker A: Tu sais, moi, là. [01:05:11] Speaker B: Puis on tombe toutes là dedans, parce que si on était motif. Puis là, ils ont touché la corde sensible qui est venue nous chercher. Puis cette fois là. Puis là, on se vend au gestitue. On déferle toute notre. Tu sais. [01:05:24] Speaker A: Mais à chaque fois, on encourage encore plus le cynisme. Encore plus, encore moins. [01:05:27] Speaker B: Je veux dire, le discours social, fait que moi, j'aime ça. Le gars de Shawnigan qui reçoit le gars de Gatineau. J'ai resté deux ans Gatineau, en passant. Ah ouais ? Je trouvais ça en estie 1ʳᵉ année. [01:05:39] Speaker A: J'Ai resté dans le vieux hall, mais j'ai resté aussi coin. La 2ᵉ fois, j'ai resté coin Saint Joseph. Là, c'est le Pied de cochon. Il y avait un restaurant le Pied de cochon, dans ce temps là. Le Saint Amour. Ouais, le Saint Amour. Il y avait une mercerie, le Saint Amour. Ça se peut tu dans ce coin là ? J'ai resté sur Gamelin, la dernière année. Gamelin, pas loin du cho. Il y a un centre d'achat, là. Gamelin. Puis je restais proche du Mike. Ouais, mais c'est. Ça fait que tout est bien. [01:06:12] Speaker B: Je restais à trois spots. La 1ʳᵉ fois, je restais dans le viol. Ah oui ? J'avais pris une bille. Je l'avais mis dans le salon, ben, ça ramassait dans la cuisine. C'était pas au niveau le plancher. Ok, je comprends. Mais la dernière année, je restais sans gamelin parce que là, tu sais, dans le fond, Gatineau, c'est la fusion de petite ville de l'Outaouais. [01:06:32] Speaker A: Tu sais, Elmer Hull, Gatineau puis Buckingham, fait que. Mais moi, je viens de Gatineau. Gatineau. Puis tu sais, j'ai connu l'époque avant la fusion. Fait. Là, je lance des petites pins à Hall. Mais nous autres, on se battait tout le temps avec les gars de Grébert Maloney. Oui, c'est ça, gréber Malone. Les promenades, là, je mets du hache en dessous des. Des food truck là bas. Moi, je maintenais dans le vieux. Dans le vieux hall. Vieux hall au bop. C'est tout ça. Dans le temps où Yachine jouait pour les sénateurs, nous autres, on regardait sénateurs à la TV, puis il perdait tout. [01:07:05] Speaker B: Le temps, puis on se disait ouais, dans 40 min, ils vont venir ici. [01:07:11] Speaker A: De prendre une bière. Fait que tu avais deg. Yachine qui arrivait. Il nous volait les filles. [01:07:16] Speaker B: C'est un beau spot dans le vieux hall où c'est que toutes les barres, là, je pense, sont en train de fermer. Ça ou ça, peu à peu, ça. C'est triste. Il y avait tellement de beaux spots avant. Puis là. Bref, en tout cas, je pense, la mairie a décidé de pas en donner des nouveaux permis. Moi, je buvais beaucoup à boire. Ta chanson. Oui. Moi, j'ai fait mes faits d'armes, là. Il y avait des ou. Sinon, le syntex long, urbain, où ce qu'il y avait triple ton cash. En tout cas, tout ce qui vient de Gatineau. [01:07:43] Speaker A: Va savoir de quoi je parle. [01:07:47] Speaker B: Exact. Hey. [01:07:48] Speaker A: C'est super le fun de jaser. Super content. Zweitausendein. Vraiment extraordinaire. [01:07:51] Speaker B: C'était vraiment cool. [01:07:52] Speaker A: Je catch pas. [01:07:57] Speaker B: Le.

Other Episodes

Episode

October 04, 2024 01:02:06
Episode Cover

Maurais vote NON à la Charia-sauce-fromage!

Dans son « salut », DOM répond à Mathieu Bock-Côté sur le rejet des conservateurs par la gogauche OUI, 1er anniversaire du 7 octobre:...

Listen

Episode 0

September 05, 2024 00:47:40
Episode Cover

Épisode 1

L’émission « Personne n’en parle » est une discussion humoristique et satirique abordant divers sujets d’actualité et de société, avec des jeux de rôles...

Listen

Episode

November 01, 2024 01:08:33
Episode Cover

Jo Hamel + Dom Maurais: UNE PREMIÈRE QUI COGNE!

Cette semaine, Maurais le podcast reçoit JONATHAN HAMEL. Avec Dom, Jo dresse un portrait impitoyable de MONTRÉAL! Jonathan énonce un très sévère diagnostic sur...

Listen