Épisode 1

September 05, 2024 00:47:40
Épisode 1
Maurais Le Podcast
Épisode 1

Sep 05 2024 | 00:47:40

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Show Notes

L’émission « Personne n’en parle » est une discussion humoristique et satirique abordant divers sujets d’actualité et de société, avec des jeux de rôles et des caricatures. Les animateurs, Dom Maurais et The Master, parlent de la politique québécoise, du panier bleu, de l’efficacité des publicités, ainsi que des personnalités publiques comme Justin Trudeau et Jagmeet Singh. Ils se moquent des initiatives comme le panier bleu et évoquent l’absurdité de concurrencer Amazon. L’émission alterne entre analyses satiriques et discussions légères, ponctuées d’humour parfois mordant et de critiques sociales.
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Episode Transcript

[00:00:08] Speaker A: Personne n'en parle. [00:00:09] Speaker B: Personne n'en parle. [00:00:12] Speaker A: Personne n'en parle. [00:00:14] Speaker B: Personne n'en parle. [00:00:17] Speaker A: Bienvenue à Personne n'en parle. On est à quelque part sur la terre, quelque part à Québec, enregistré à un certain moment donné de la semaine. Mon nom est Dom Moray. en compagnie de Damasta, le master of sound. Frank, comment ça va? Salut, man! Ça va très bien, toi? Très bien. Derrière la console, on va faire le tour de la semaine tranquillement, pas trop vite. Quand on le dit, personne n'en parle. C'est des trucs qui sont peut-être moins jasés, des trucs qui sont jasés, peu importe. Personne n'en parle. Ça fait référence à toutes sortes de trucs qui se promènent sur le web. Des effets, pas des effets, mais des extraits sonores. qu'on n'a pas nécessairement entendu dans More Live, dans La Légion ou ailleurs dans le grand journal. Dans l'émission que j'anime tous les matins à Radio X, More Live de 6 à 10, c'est des trucs qui sont peut-être un peu plus longs, des trucs un peu différents qu'on va traiter ensemble pendant quoi ça peut durer une demi-heure, ça peut durer 40 minutes par semaine, ça peut être sympathique, Déjà d'entrée de jeu, on est en pleine rentrée parlementaire. Il y a différents trucs qui retiennent notre attention. Mais je veux quand même laisser la chance aux Inclusives de faire leur entrée. S'il vous plaît, faites entrer les Inclusives. [00:01:45] Speaker B: D'accord. [00:01:46] Speaker A: Les voici, les voici. [00:01:48] Speaker B: Mon nom est Bruce. Je veux commenter l'actualité avec une grosse voix. Je représente l'autorité. Je représente le muscle. Je représente la force de frappe qui fait en sorte que, Chris, quand on a besoin de métal, je suis là. Et moi, je suis Simon. Simon l'embryo. Je ne suis pas sur Terre. Je suis à l'intérieur du ventre de ma maman et de par les vibrations extérieures, je peux quand même avoir des opinions et je les exprime. [00:02:29] Speaker A: Moi, je suis Alain. Alain-lien. Et de par le fait que je suis né dans un tunnel, j'ai gardé cette éphémité, que cette voix qui parle du fond des limbes. J'ai un écho même si je suis sur l'oreiller. Dans l'oreille de ma douce, elle m'entend comme ça, susurré. Des mots et peut-être, peut-être des paroles. Des paroles d'une chanson des bébés par exemple. Ou peut-être une chanson de Richard Séguin! Double vie! Ou peut-être une chanson d'Aaron Hayden. Peut-être. Ça crie un peu trop. On va se calmer les nerfs. C'est un beau jouet qu'on t'a payé là. Oui. Merci beaucoup. Je veux d'abord rendre hommage à Fitz. Fitz is gone. Bye bye. Et dans toutes les grandes analyses qu'on a faites de Fitz, je trouve qu'on passe complètement à côté du panier bleu. On a quand même eu l'idée de concurrencer Amazon. Oh, Amazon, ça pogne. Donc, évidemment, Amazon est méchant. La grande couverture de Québécois, Amazon ne paye pas assez. Amazon donne des arrêts fuckés. Amazon ne prend pas soin des gens malades, des gens qui ont des maux de dos à l'usine, etc., à l'entrepôt. Donc, on va repartir ça sous un autre nom. On va appeler ça... [00:04:20] Speaker B: Le Pogné Bleu. [00:04:21] Speaker A: Shit! [00:04:25] Speaker B: Le panier bleu. Quel joke. [00:04:29] Speaker A: C'était bon ça. [00:04:31] Speaker B: Je veux vous faire entendre. La publicité que j'entendais sur le panier bleu, ça c'est une vraie publicité. Pis ça a passé à TV. On écoute. [00:04:48] Speaker A: En tant que Québécois, je trouve ça important d'aller magasiner chez les marchands d'ici. Mais en tant que naturiste à temps plein, je trouve ça moins évident. Heureusement, il y a le panier bleu. Avec ça, je peux commander des produits chez plus de 250 marchands québécois sans sortir de chez nous. Ça fait que je continue d'encourager les marchands d'ici. [00:05:04] Speaker B: Qui t'arrêtent de rendre le monde mal à l'aise. Exact. Sauf le livreur. [00:05:10] Speaker A: Exact. Le panier bleu, c'est bien. Non, pas vraiment. Le panier bleu pour commander quoi, etc. Combien ça a coûté? D'abord, combien ça a coûté pour le fermer? Plus de 20 millions en fonds publics dans le panier bleu. Mais Québec refuse de dévoiler des documents détaillant les coûts. Ça, c'est le journal qui avait tenté d'avoir l'information. Combien ça a coûté? Rémunération totale des dirigeants qui ont reçu quoi, quand, comment, avec leur nom. Impossible! Impossible. Ils ont obtenu un document de 97 pages caviardées. Là, tu vois juste des mots à gauche et à droite. Objectif, gouvernance, coût du projet, activité. C'est quand même capoté. Pierre Bouchard, qui est le responsable d'Accès, a expliqué que les renseignements confidentiels ont été caviardés pour protéger les secrets industriels! Bravo! [00:06:15] Speaker B: Bravo! [00:06:15] Speaker A: Oui! [00:06:16] Speaker B: Les secrets industriels du panier bleu, sacrement! C'est une fucking joke de tenter de concurrencer Amazon. Faut être malade, mais faut vivre dans sa tête. Faut se penser meilleur que les autres. C'est complètement weird. T'aurais-tu... une autre publicité d'un bon moment tout nu? [00:06:50] Speaker A: Absolument. [00:06:50] Speaker B: Ça me parle. [00:06:51] Speaker A: Voilà. Il y a un paquet de bonnes. [00:06:53] Speaker B: Raisons de magasiner sur le panier bleu. Comme 400 marchandises d'ici bien emballées de vous servir à la même adresse. [00:06:59] Speaker A: Et 200 000 produits. Puis il y en a de toutes. [00:07:01] Speaker B: Les sortes livrés directement à votre porte. [00:07:04] Speaker A: Le panier bleu, commandé et recommandé. Ben oui. [00:07:10] Speaker B: Ben oui. [00:07:10] Speaker A: Quel échec épouvantable. Bon, on y va avec le prochain extrait. Et moi, j'ai Jack Mead, signe. Je veux vraiment divorcer de Justin Trudeau. On écoute Jack Mead qui divorce de Justin, le plurnichard, qui va être tout seul avec ses petits bons couleurs. Il va faire des câlins à son petit nounours en attendant d'être renversé. On écoute. Aujourd'hui, j'ai informé le premier ministre que je mets fin à notre entente. Les Canadiens et Canadiennes mènent une bataille. Une bataille pour l'avenir de la classe moyenne. Justin Trudeau a prouvé à maintes reprises qu'il cède toujours à la pression des PDG. Il a laissé tomber les gens. Il ne mérite pas une autre chance. Notre bataille nous attend. Un combat important à affronter Pierre-Paul Lievre et les coupures conservatrices. Des coupures qui vont toucher les travailleurs, les retraités, les jeunes, les familles. Tout ça pour qu'ils puissent redonner plus au PDG. Les libéraux sont trop faibles, trop égoïstes et trop proches des autoriches pour se battre pour les gens. Ils ne peuvent plus de changement. Ils ne peuvent pas redonner l'espoir. Il ne peut pas arrêter les conservateurs, mais nous pouvons le faire. Lors des prochaines élections fédérales, les gens choisiront entre les cupures de Pierre Pauliev, l'espoir. L'espoir qu'ensemble, nous gagnons. L'espoir de voir la classe moyenne s'épanouir. Au Canada, nous prenons soin les uns des autres. C'est ce qui nous définit. Cette valeur guide toute ma vie. Je me présente pour être premier ministre parce qu'ensemble, nous pouvons arrêter les coupures des conservateurs. Nous pouvons aider les gens et leur redonner l'espoir. Réparer les soins de santé. Construire des logements abordables. Mettre fin aux arnaques et aux prix excessifs. [00:09:11] Speaker B: Ça c'est 16 députés! [00:09:15] Speaker A: Fini les culs purs! [00:09:17] Speaker B: Y'aurait 16 députés, le NPD, s'il y avait des élections demain. [00:09:25] Speaker A: Et les conservateurs, combien? Combien? 200... 205... 206... [00:09:31] Speaker B: Monte encore. 207... 208... Encore un petit peu moins. 209... 210... Bravo! [00:09:50] Speaker A: Bravo! [00:09:51] Speaker B: Pis ses culs purs! Ben l'écupure ça c'est Jack Meade, l'écupure ça fait pas 16 députés, il y a une pédé! Hééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé. [00:10:29] Speaker A: Le Québec! C'est dans l'intérêt du Québec qu'on fait tout ça, bien sûr. Et le Bloc n'est pas là pour son avantage, bien sûr. Les députés sont là vraiment pour vous servir. 34 députés. Et deux députés pour le Parti Green. Qu'est-ce que t'en penses? Hein? Bravo! Très bon. C'est vraiment une situation naturelle, exceptionnelle. Les conservateurs attendent. Est-ce qu'il y aura un renversement? Il y a peut-être une fenêtre pour un renversement prochainement, mais idéalement, c'est le printemps prochain. Le gros budget, le vrai budget, il y a une mise à jour budgétaire. Peut-être que ça peut se faire là. Les conservateurs sont prêts, mais le NPD n'a pas une token. Et les libéraux, au moins, Justin peut se dire, ouais, là on est entre deux chaises, c'est peut-être pas le temps pour les pognards de se faire aller dans mon entourage. Donc à ce moment-là, ça vient asseoir son leadership temporairement. Mais ça peut peut-être inciter Poivresel! Pablo à faire le switch. Pablo il faut qu'il se branche à un moment donné là. Parce que tu peux pas éternellement faire du coulage. [00:11:48] Speaker B: Comme il fait envers Coderre. Coderre et l'impôt. Voyons donc. Voyons donc. Qui peut avoir accès au dossier de Coderre? Ça prend des christines bon contact. Exact. Faut que t'appelles à l'impôt. Si moi, par exemple, j'appelle à l'impôt, et je demande, je veux savoir si Yvette Couture, Yvette Couture, de la rue Couture, si elle paye ses impôts, Yvette Couture, de la rue Couture... Ben, ils me répondront pas. C'est confidentiel. C'est des informations nominatives. C'est des informations qui sont personnelles. Qui peut avoir accès au dossier de Coderre? Qui veut faire couler Coderre? Qu'est-ce que t'en penses? Ben oui, c'est Pablo. C'est Pablo. Ben oui, la gueule. C'est Pablo qui veut. Elle lui tosse sa couette le matin. Je dis poivre et sel encore. Je dis poivre et sel. Ben oui, je poivre et sel. Dis-moi, miroir, si je suis le plus beau avec la plus belle couette de Pablo parmi tous les Pablos de l'univers interstellaire. Et à ce moment-là, il couillonne Coderre par l'arrière. Et en coulant, en coulant, le Coderre est en train J'ai le goût d'écouter le prochain extrait. [00:13:30] Speaker A: Une station de talk radio. La fin de semaine, vous entendez un gars qui s'appelle Anthony Weiner, qui est un gars qui a déjà été mêlé à des controverses de dick pics. Oh, dick pics! Dick pics! We're going for dick pics! My God! Ça c'est bon là, côté dick pics. On n'est pas sûr. Et lui, il y a une job d'animateur de radio la fin de semaine. Dominic Carter, c'en a un autre, qui est un républicain. Les deux se sont accrochés et solides. Ça donne un bon show, ça crie, c'est un genre de 110%, ça s'est passé en direct à la radio à New York, WBC. Ça a duré une demi-heure, OK? Je vous en ai découpé quoi, à peu près une minute et demie, mais écoutez ça, là. Ça allait, mais les deux se picassent, c'est... Dix. [00:14:25] Speaker B: Ça a dix pour cent. [00:14:27] Speaker A: Go, go, go ! Tu vas voir, tu vas passer toute l'émission en me criant. Tu vas voir à quel point c'est dégueulasse pour les radios. Et tu le fais parce que tu es en train de m'abuser et je ne peux pas être abusé. Parce que je suis plus fort que toi. Je suis comme l'Amérique. Je suis plus fort que toi. Donald Trump acte comme un abuser. Dominic Carter acte comme un abuser. Je ne serai pas abusé. Ni le peuple américain, ni O'Connor Harris, ni Will Walls seront abusés. We will not be bullied by you. We will not be bullied. We will not be bullied. You represent... You represent... I represent America. You represent a cult. I won't be bullied by you. The military won't be bullied by you. The armed services won't be bullied by you. You see how bad this is for radio? You won't stop talking while I talk and you think I'm going to. This is why... This is terrible radio. And you're saying the same thing over and over again. You're not... I represent a cult. Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non. [00:15:49] Speaker B: Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non. [00:15:52] Speaker A: Ça brasse, c'est bon. Mais là, on se dirige vers le premier débat. Kamala, je vais vous présenter un extrait tantôt. Kamala qui accepte donc les conditions de WBC, c'est pas très très compliqué, le 10 septembre prochain, débat entre Trump et Harris, si sensiblement les mêmes conditions que lors du débat catastrophique de Biden contre Trump. Est-ce qu'elle va en faire d'autres? Elle a peur, d'accord? Pas d'entrevue. En fait, y'a pas eu d'entrevue one-on-one. Elle est faible. Kamala, elle est faible, ne prend pas de questions, ne prend pas de ce qu'on appelle des mêlées, des scrums. Quand elle embarque dans l'avion, par exemple, elle pourrait répondre à deux, trois questions comme ça. Non, y'a protège. Elles savent que c'est une loose cannon, c'est une faible. Avez-vous vu? T'as-tu vu, Masta, l'image d'elle qui va... Toi, quand tu te promènes avec ton cellulaire, t'as-tu des écouteurs? Pas vraiment, non. Des écouteurs? [00:16:51] Speaker B: Non. [00:16:52] Speaker A: Ouais, mais les écouteurs pour parler avec quelqu'un. C'est sûr que tu prends ça plus pour des hommes, je pense, ces écouteurs-là avec un fil. Tu mets ça dans les oreilles, tu peux parler, puis il y a un micro dans le fil. Exact! Qui capte ce que tu dis. Exact. Exact. Exact. Elle prend le téléphone. Elle veut pas répondre, OK? Elle a des écouteurs, mais prend le téléphone et se le met à l'oreille. Mais elle a des écouteurs! OK. C'est comme, tu veux, y'a quelqu'un qui vient, tu veux pas y parler, pis « Ah, ça sera pas long, j'ai un appel », tu prends le téléphone. Queen of fake! Fake! Fake! Fakeuse, fakeuse, fakeuse. Wow. Et là, elle embarque dans l'avion, elle répond pas. Là, c'est un débat. Habituellement, dans les campagnes électorales présidentielles, c'est trois débats. [00:17:46] Speaker B: T'en fais un, t'en fais un autre, pis t'en fais un autre. Si tu prends une débarque dans le premier, à ce moment-là, tu peux te reprendre dans l'autre et dans l'autre. Elle sait. Un débat. [00:18:03] Speaker A: Un seul. [00:18:04] Speaker B: Un seul. Mais là, lui, je pense qu'il est à Fox. Trump, il aime ça aller à Fox. Il en veut un à Fox. Mais il en veut rien savoir. Fait qu'elle est avec sa gang d'ébécies. Est-ce qu'elle aura les questions d'avance? J'en sais trop rien. [00:18:20] Speaker A: Mais une chose est sûre, c'est qu'elle parle au monde. Elle parle au monde et là, elle a parlé. Devant des unionbambas! Qu'est-ce que ça fait, ça, quelqu'un qui est noir et qui imite l'accent noir? C'est un peu bizarre. On peut pas dire que c'est raciste, mais c'est un peu, quoi, folklorique. C'est un peu bizarre, ce qui s'est passé. Ça a circulé sur le web, je vais vous le faire entendre. Prochain extrait. You better thank a union member for sick leave. You better thank a union member for paid leave. You better thank a union member for vacation time. Vacation time! Union member! Union member! You better think about the union member, yo! Elle adapte son accent en fonction de à qui elle parle. T'es un peu spécial là. T'es un peu un caméléon. Camé, camé, camé, camé, camé, caméléon. You come and go, you come and go. Quelle belle chanson! C'est Karma Chaméleon! C'est Kamala Chaméleon! Kamala, Kamala, Kamé, Kamé, Chaméleon! Elle dit une chose et son contraire! Demande-lui de dire le contraire, les médias vont se complaire! La vérité est secondaire! Kamala Chaméleon. Très bon. Exactement. [00:19:53] Speaker B: J'me souviens d'boy Charles, c'était solide! [00:19:56] Speaker A: Oh oui! [00:19:57] Speaker B: Y t'avais une paire de mains! [00:20:00] Speaker A: Qui en faisait rêver plus d'un, oui! [00:20:02] Speaker B: Y t'avais un Christy de paire de mains! [00:20:04] Speaker A: Oui monsieur! [00:20:05] Speaker B: Une paire d'épaules! [00:20:06] Speaker A: Oh oui! [00:20:08] Speaker B: T'es shapé! Moi j'l'aurais pas bavé! Boy! T'sais t'arrives dans l'cadre de poids! [00:20:15] Speaker C: Boy! [00:20:16] Speaker A: Tu l'aurais écouté? [00:20:17] Speaker B: Oh oui! Il m'aurait fait une prise de tête en étoile! Oh oui! Je pense qu'il m'aurait étrouvé! T'sais, j'aurais dansé... Kamakamakamakaméééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé. [00:20:44] Speaker A: Kamala Gamelian. [00:20:47] Speaker B: Vice-president Harris. [00:20:56] Speaker A: C'est très bon ça. Les familles de militaires sont morts à Kaboul. Je suis le père d'un soldat de l'armée de l'United States, le sergeant de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l'armée de l 13 familles. Vice President Harris, I ask you, why won't you return a call and explain to us how you call my daughter-in-law's death a success? President Trump has called. President Trump shows up. President Trump takes the time to hear our loved ones' stories. We invited him to be there. These are the only memories we get to make with our son, and it is you qui joue à la politique et qui essaie de se détruire de nos souvenirs de ce jour. Le président Trump a été là pour nous, il a été un rocher pour nous, il a donné de la compassion pour nous, et il a montré qu'il s'apprête vraiment à s'occuper des familles qui savent vraiment ce qu'est l'ultime sacrifice. Ça, ça s'inscrit dans l'espèce de « controverse ». Donald Trump va rencontrer des familles au cimetière Arlington. Bon, tu ne peux pas utiliser un cimetière militaire pour faire de la publicité ou une promotion politique. Ça, ça va de soi. Par contre, Trump a été invité par eux autres. Mais fondamentalement, l'histoire, c'est quoi? L'histoire, c'est que lors de son débat, Biden Et même avant, Biden dit non, il n'y a pas eu de soldats qui sont morts sous mon règne. Il n'y a pas eu de soldats qui sont morts sous mon règne. Et en Afghanistan, ça s'est très bien passé parce qu'on s'est retiré de l'Afghanistan tel que promis. Et en effet, Trump a initié les négociations. concernant le retrait des États-Unis de l'Afghanistan au Qatar. Donald Trump n'est pas allé au Qatar à chaque fois lors de ces séances-là de négociations entre les États-Unis et les talibans, mais ça a été initié effectivement sous son règne. Mais il y a deux choses là-dedans. Il a quitté l'Afghanistan, Et il y a la manière de quitter l'Afghanistan, c'est-à-dire négocier le maintien d'une certaine présence militaire sur place. Mais ça a quitté en fou, de manière très désorganisée. Le résultat, c'est qu'il y a 13 soldats qui sont morts. Il n'y a plus personne qui en parle. Et Donald Trump s'est fait critiquer. [00:24:28] Speaker B: Se fait traiter en salaud par la good gang de Kamala Harris et ses petites copines dans les médias. Regardez, Trump a fait ceci et cela, mais... Trump... ont été invités par les familles. [00:24:56] Speaker A: Question. Est-ce qu'on se souvient encore des familles de soldats canadiens qui sont morts en Afghanistan? Parce que l'Afghanistan maintenant c'est devenu loin, y'a plus personne qui en parle. Mais quand on regarde la situation en Afghanistan, Il y a une loi qui vient d'être passée par les talibans qui fait en sorte que les femmes ne peuvent plus s'exprimer. Non seulement elles peuvent sortir de la maison voilée, complètement masquées, mais elles ne peuvent plus s'exprimer publiquement. On ne peut plus entendre leur voix. C'est absolument dégueulasse comme histoire. Je vais vous faire entendre le prochain extrait. On s'en va dans le bas-côté. Bock Côté, qui a fait une entrevue avec Jair Alain, un gars que j'adore. Excellent podcast. Bock a parlé du wokeisme, de la gauche radicale. J'ai trois extraits à vous faire entendre, puis je vais commencer par celui sur l'écologisme. [00:26:00] Speaker C: Dans un écologisme autoritaire, je pense, c'est la première chose. Dans un multiculturalisme déclaré, on parlait tantôt de de la femme voilée qui est à l'entrée de l'hôtel de ville. Non, c'est une forme de complaisance devant l'islamisation de Montréal. Qu'il y a des femmes voilées à Montréal, très bien, ça fait partie de la vie. Je suis très critique envers le voile, mais bon, il y a des femmes qui se promènent comme ça. mais que l'administration décide de faire de la femme voilée le symbole de la féminité à l'entrée même de l'hôtel de ville, mais c'est une provocation grossière. C'est une provocation grossière. Le fait que l'administration elle-même l'embauchait avec madame Bokram Anaï, une spécialiste des luttes contre le racisme systémique, qui légitime donc cette théorie du racisme systémique, qui laisse croire que le pli même, le fondement même de notre société serait un système de discrimination raciale généralisée, c'est atroce. C'est la ville qui décide d'embaucher une militante à temps plein pour faire... Le procès d'une population accusée de forme de racisme congénital, c'est absolument à trosses. Donc non, c'est un agenda qui est assez marqué, mais qu'on peine à lire comme tel parce qu'on a conservé cette idée, très XXe siècle, que le municipal c'est la gestion des ordures et puis la voûte. C'est des trucs de base, mais on voit pas la ville comme un lieu d'investissement idéologique. Or, si vous regardez ce qu'il se passe à Paris, si vous regardez ce qu'il se passe à Londres, si vous regardez ce qu'il se passe à Chicago, si vous regardez ce qu'il se passe à Montréal, la ville est devenue un lieu d'investissement idéologique. [00:27:28] Speaker B: Montréal, cool. [00:27:28] Speaker A: Moi. [00:27:30] Speaker B: Je me souviens, à un moment donné, maman allait magasiner à Place Versailles. Pis je l'avais entendu parler aussi, pis grand-papa qui allait au forum, on se parquait à Place-Versailles dans l'temps, moi ça j'entendais ça, ces conversations-là. C'est complètement fou, c'qui s'passe à Montréal. [00:27:50] Speaker A: Serge Saseville, ancien boss de Québécois, lui il sort, et il dit... PERTE DE CONTRÔLE! Solide. Si ça me permet de mesurer encore plus à quel point le problème est grave, on a perdu le contrôle. Total. [00:28:14] Speaker B: Des toits de détritus. Des rangs morts. Fucking dead rats. Un autre bande de métal, ça. The Master. Dead rats. Tonight. Dead rats. Tonight. Des seringues souillées. [00:28:34] Speaker A: Très bon. [00:28:35] Speaker B: Dirty syringes. Wouah, ça se dit mal. What the rats. C'est beau en étoile, ça. Le cadavre d'une femme sans zébrie. The corpse of a woman. C'est dégueulasse, pareil. Je pense pas à ça. Des cons d'oranges abandonnant leur sang. [00:29:00] Speaker A: Sasseville, lui, il prend des photos. Exact. Pis il se promène. Pis il prend des photos. Pis il met ça sur Facebook. Pis il met ça sur Insta. Ça s'appelle le côté sombre de la métropole. Le gars est pas complaisant! Il s'est fait élire en 2021 dans le district Peter McGill. Et ça, c'est dans Ville-Marie, sous la bannière de l'équipe Coderre. Moi, j'prends une patate. Bonjour, M. Coderre. Qu'est-ce que vous voulez? Moi, j'prends une patate. [00:29:31] Speaker B: Hot d'oeil! [00:29:31] Speaker A: Des plagues! Hot d'oeil! Bonjour M. Coderre! Est-ce que je peux commander? Ouais, je vais vous prendre une plague à patates. Une plague à patates pour sortir. Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais! Souplant! Ouais, souplant! Qu'est-ce que je peux commander là, M. Coderre? Je vais rajouter une liqueur. Une liqueur pour sortir un petit câble. Un gros, un gros! Un gros, un gros! Un gros, j'ai soif! Hé! Deux hot-dogs! Deux hot-dogs, une sauce échoue. [00:30:00] Speaker B: Une sauce échoue, un stimmé, un grillé. [00:30:02] Speaker A: Mets de la moutarde. La saucisse coupée sur le godelat. On va aller manger ça dans la belle chasse. Vas-tu manger ça dans ton char dans la belle chasse? Oui, oui, oui, oui, oui. Il partira pas dans la belle chasse. On va parler au monde. Il va tirer la chasse. On va parler au monde, mouais. Bon ben même s'il était élu scolaire, il était quand même extraordinaire. Et lui, il dénonce, mais ça va pas Montréal! Vous avez... également... la madame, madame Valérie, qui est... OK, actuellement, il y a combien de photoradars? On va y voir avec un p'tit quiz. [00:30:33] Speaker B: J'adore les quiz. [00:30:34] Speaker A: Oh! Un p'tit quiz! Ça te tente-tu? All right, let's go! [00:30:37] Speaker B: Quiz! [00:30:41] Speaker A: Nous sommes en quiz! Let's go! Quiz of the day! Tu peux faire tes thèmes live, c'est ça qui est le fun. J'adore! Combien? [00:30:50] Speaker B: Hey, donne-moi un instant, faut que tu m'écoutes. Combien il y a de photoradars actuellement à Montréal? [00:31:00] Speaker A: Il doit y en avoir beaucoup. [00:31:03] Speaker B: Il y en a huit. Huit? Combien? Valerie? [00:31:10] Speaker A: Valééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé 300. [00:31:32] Speaker B: 300? Oh yeah! Bravo! [00:31:37] Speaker A: Bravo, Simon, bravo! [00:31:39] Speaker B: 300, il veut 300 fois de radar! Ben oui! Mais, pour justifier le tout, ce sera au tour des écoles et si tu es contre ça, tu es contre les enfants, tu es contre la sécurité. [00:31:50] Speaker A: Ah! [00:31:52] Speaker B: Moi, je me cache derrière le bouclier de la mieux-pensance, le bouclier du coeur! [00:31:58] Speaker A: J'aurais fait une belle chanson, ça, pour Jerry, hein? La propriété du corps! Alors voilà pour ce qui est de cet extrait-là. Tout simplement. Je vais encore du boc-côté! Un autre extrait sur la propriété intellectuelle. [00:32:19] Speaker C: L'Hostilité envers la propriété individuelle. On nous dit la maison individuelle, on nous dit l'appartement, on nous dit vous savez, vous occupez des espaces peut-être trop grands. Et au nom de la densification sociale, il faudrait peut-être remettre en question les espaces que vous occupez, donc une forme de conception de la cité, de la vie qui relève de la fourmilière. Ce qui m'enthousiasme assez minimalement. Donc je vois qu'il y a une forme de conception de la société qui est portée par le niveau municipal, qui se réclame souvent de la lutte contre le changement climatique, lutte à laquelle on est tous ralliés, on n'en joue pas là. Mais est-ce qu'au nom de cette lutte, on n'est pas en train quelquefois de proposer un modèle de contrôle social particulier, beaucoup plus autoritaire qu'on ne le dit, qui tolèrent beaucoup moins les libertés qu'on ne le dit, avec quelquefois, ça on le voit en France, mais pas seulement, quelquefois même, j'appelle ça des inspecteurs de déchets. Des gens qui passent chez nous pour vérifier est-ce que le recyclage, les vidanges sont dans le bon sac, ainsi de suite. Il y a quelque chose là-dedans qui est loufoque, qui est loufoque, c'est-à-dire fichez-nous la paix, faites-nous confiance minimalement. [00:33:25] Speaker A: Je trouve que c'est juste mal de s'y prendre. T'sais, moi je suis très très recyclage, mais quand quelqu'un vient me faire ça, j'suis comme tout mon tabarnak. J'ai ainsi le goût de mettre de la marde dans mon offre. Non mais de quoi tu te mêles? [00:33:35] Speaker C: Nul de toi de toute ta vie. [00:33:37] Speaker B: C'est très bon, Pierre. Très bon. [00:33:40] Speaker A: J'ai le goût de mettre de la marde partout dans mon bac. [00:33:45] Speaker B: Bruno Marchand est soft core, OK? Il va à petite dose cette semaine. [00:33:56] Speaker A: Dans le journal... Ben moi, je suis... contre la congestion! À ce moment-là, c'est comme dire je suis contre le cancer. Tu manges ceci, tu manges cela, je suis contre le cancer. Ça, c'est l'idéal en termes de manipulation de collectivité parce que tu peux pas te positionner en faveur de la congestion. Tout le monde est contre la congestion. Lui, il dit moi, j'ai le tramway. Bien sûr, c'est ça que ça prend. Il sait pas combien ça coûte. Il sait pas le trajet qu'il va payer surtout. Ça, c'est complètement débile. Mais c'est de la guerre à la congestion alors que c'est la guerre C'est la guerre à l'auto. On le sait. Ici pour les gens de Québec, Marie de l'Incarnation, on va enlever une voie vers Amel et en provenance d'Amel, on va enlever une voie pour mettre des pistes cyclables, mais... On a consulté. On a consulté parce qu'on vous invite ce jeudi 5 septembre à une consultation. Donc on ne pourra pas dire on ne vous a pas consulté. Tout est dans la manipulation. Ce sont des maîtres, ce sont des chamanes, ce sont des magiciens. [00:35:04] Speaker B: Ils sont fucking extraordinaires. Pour vrai là. [00:35:07] Speaker A: C'est fantastique. [00:35:08] Speaker B: Ben c'est fantastique. Parce que... Tout le monde est contre le trafic. Mais lui il dit j'ai la solution. J'vais te foutre un tramway d'en face. Ben oui le grand. Ben oui le grand. Ça va partir d'Ikéa jusqu'à... L'université... L'université... Laval! [00:35:38] Speaker A: Bravo! [00:35:38] Speaker B: Wow! [00:35:40] Speaker A: Et le trafic, il est où? Il est en tête des ponts. Il est sur de la capitale. Samedi, deux heures et quart, c'est jamais. Sur de la capitale, Kikto! T'as, mettons, Gisèle, elle s'en va voir sa sœur à Baie-Comeau. T'as Patrick qui s'en va voir sa mère à l'île d'Orléans. T'as Mathieu qui s'en va à Beauport. T'as Mathias qui s'en va voir sa mère également à Saguenay. Et t'as peut-être Cathy qui s'en va voir sa jumelle, Katia, à Saint-Émile. Mais ils sont obligés de passer là! Ils sont obligés! de passer là, c'est un entonnoir et tu peux pas élargir la capitale. Comment un chrétien peut s'imaginer que le tramway de... Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:23] Speaker B: Bruno! [00:36:23] Speaker A: Bruno! [00:36:23] Speaker B: Bruno! Bruno! [00:36:24] Speaker A: Bruno! Bruno! [00:36:24] Speaker B: Bruno! [00:36:25] Speaker A: Bruno! [00:36:25] Speaker B: Bruno! Bruno! [00:36:25] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:26] Speaker B: Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:26] Speaker A: Bruno! Bruno! [00:36:26] Speaker B: Bruno! [00:36:27] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:28] Speaker B: Bruno! Bruno! [00:36:28] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:29] Speaker B: Bruno! [00:36:29] Speaker A: Bruno! Bruno! [00:36:30] Speaker B: Bruno! [00:36:30] Speaker A: Bruno! Bruno! [00:36:30] Speaker B: Bruno! [00:36:30] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:31] Speaker B: Bruno! [00:36:31] Speaker A: Bruno! Bruno! [00:36:31] Speaker B: Bruno! Bruno! [00:36:32] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:32] Speaker B: Bruno! Bruno! [00:36:32] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:33] Speaker B: Bruno! [00:36:33] Speaker A: Bruno! [00:36:34] Speaker B: Bruno! [00:36:34] Speaker A: Bruno! [00:36:34] Speaker B: Bruno! Bruno! [00:36:34] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:35] Speaker B: Bruno! [00:36:35] Speaker A: Bruno! Bruno! Bruno! [00:36:35] Speaker B: Bruno! [00:36:35] Speaker A: Bruno! [00:36:36] Speaker B: Bruno! [00:36:36] Speaker A: Bruno! Bruno N'oublie jamais que... Il y a une planète à sauver là. Ben oui, ben oui, ça presse, ça presse, ça presse, ça presse. Donc ça prend un tramway. Ben entendu, parce que le nombre de déplacements en auto d'ici 2040 pourrait être plus élevé que prévu. C'est normal! Il va y avoir plus de monde! Et qui va partager de la facture? Il nous disait ça cette semaine. 7 milliards, pouf! On the back of an envelope! [00:37:00] Speaker B: Un fucking nabreau de restaurant! 7 milliards! Ah oui donc! Lance des chiffres d'inserts, personne l'a dit! [00:37:09] Speaker A: Bravo! [00:37:10] Speaker B: 7 milliards, 5 milliards, 1 milliard, 2 milliards... Regarde ma main de masque là! 1, 2, 3, 4, 6, 7, 9, 11... T'en veux-tu? [00:37:19] Speaker A: On en a! [00:37:21] Speaker B: On en a, c'est incroyable! Je veux encore du... BAC! [00:37:31] Speaker C: Et là, ce qu'on voit, c'est que quand la gauche radicale s'empare d'une ville, le résultat n'est pas très, très beau, en fait. Ce n'est pas un détail. Il y a un moment donné, ne pas être capable de gérer à ce point-là, c'est grave. Il y a une volonté explicite de rendre la ville inhospitalière pour tout le monde, considérer être le vieux monde, donc les voitures. Je ne tiens pas à tout presque qu'on se promène tous en voiture, mais quand on décide explicitement de vouloir gâcher la vie des automobilistes, c'est autre chose. [00:37:56] Speaker A: Quand c'est fait au détriment, parce que moi je ne suis pas très vélo, mais je comprends que chacun doit mettre de l'eau dans son vin et en même temps, c'est bon d'en avoir des vélos, ça va faire plus de place. Ça, ça me dérange pas, mais quand c'est fait au détriment des automobilistes, puis même pire, c'est que c'est même pas caché. C'est volontaire. On va faire en sorte de nuire. [00:38:23] Speaker C: En fait, l'automobiliste, c'est la trace ambulante. est toxique du monde ancien. Donc c'est le tank du carbone, alors que le vélo c'est le chevalier de l'armée verte. Alors là, moi comme j'ai cru qu'on marche davantage, qu'on prenne davantage de vélo, très bien, j'ai pas de soucis avec ça. Mais qu'on veuille explicitement gâcher la vie, finalement aussi des familles, il faut juste pas l'oublier, c'est un problème. [00:38:47] Speaker A: Non, c'est génial. C'est juste parfait. C'est un combat des chevaliers du Nouveau Monde contre l'Ancien Monde. Et c'est exactement ce qu'il est venu raconter cette semaine. À surveiller également au cours des prochains jours. [00:39:04] Speaker B: Augmentation de la taxe sur l'immatriculation. Mais c'est pour votre santé. C'est pour votre bien. Un dix dollars, un autre dix dollars. Pousse, pousse, ça va rentrer. Pousse, pousse, ça va rentrer. Ça va rentrer, serré, bing, bing. Prochain extrait. [00:39:33] Speaker A: J'veux vous le présenter. J'sais pas si vous suivez la campagne américaine. J'veux qu'on aille ailleurs pis j'veux qu'on apprenne à rire un peu. Y'a sûrement une imitatrice de Kamala Harris à quelque part. Peut-être que SNL l'a fait. That's on the band! That's on the band! Hey yo! The Mamba! The Mamba! The Union Mamba! Yo, yo! Yo, yo! Mais... Un imitateur de Trump qui est absolument hallucinant. C'est le meilleur. Il y en a plusieurs. Shane Gillis. Le gars est hallucinant. J'ai deux extraits à vous faire entendre. Le deuxième, ça concerne Joe Rogan. C'est vraiment bon. Pis c'est des longues, longues, longues interventions. Pis t'as un imitateur à côté qui est quand même correct, mais qui est pas excellent de Joe Biden. Mais je vais vous faire entendre un extrait. Prenez ça en note si ça vous intéresse. C'est drôle. Le gars est drôle. Il fait les mimiques. Il a l'attitude. Un bon imitateur, c'est quelqu'un qui a de l'attitude. Il a la face. Il fait les gestes. Il fait les gestes avec les mains. D'ailleurs, dans une entrevue, Shane Gillis explique comment imiter Trump. C'est les mains, les petites mains qui se font aller à gauche puis à droite, mais la voix. Fermez-vous les yeux et écoutez ce gars-là. Ce gars-là est absolument extraordinaire. What a great lady. I talked to her backstage. Wonderful woman. The tits are real. Excuse me, excuse me. A lot of people are saying her tits are fake. They're not fake. I touched them. Great tits. Wonderful tits. American tits. That's the thing that we've lost under this administration. Where are the American tits anymore? Four years ago, there were American tits. Now there's no American tits. [00:41:27] Speaker B: Mexican tits. [00:41:31] Speaker A: Mexican tits are streaming up the border. [00:41:33] Speaker B: And no one's stopping it. [00:41:37] Speaker A: Fentanyl tits. [00:41:38] Speaker B: Fentanyl. [00:41:39] Speaker A: Unimaginable what's happened to this country. [00:41:42] Speaker B: C'est complètement malade. [00:41:45] Speaker A: Titties. Look at those tits! Il est le fun à imiter! Look at those tits! They're so real! They're so great! Look at those tits! Très bon! Vraiment bon! Look at this fake guy, Bruno Marsan! Look at this fake! He's so fake! He's so fake! Mets de l'écho! C'est le fun! Il y a une planète à sauver là. Il est vraiment bon. C'est extraordinaire. Je vais vous faire entendre l'autre. L'autre, c'est lui qui imite Rogan, mais Rogan n'est pas là. Il a une opinion négative sur Rogan, mais Rogan se présente en arrière de lui et soudainement il change complètement d'opinion. Écoutez ça. Petit Joe, il est venu et il. [00:42:43] Speaker B: M'A dit qu'il voulait soutenir R.F.K. [00:42:47] Speaker A: Junior, pouvez-vous croire ça ? Joe Rogan est une blague absolue et. [00:42:51] Speaker B: Une merde complète et si je le. [00:42:54] Speaker A: Voyais j'allais lui couper le cul. [00:42:57] Speaker B: Il était si puissant. [00:43:05] Speaker A: What a great guy, what an amazing. [00:43:08] Speaker B: American this man is. Joe Rogan, what a great man. [00:43:12] Speaker A: I would never say anything negative about this man. What a guy. [00:43:16] Speaker B: Everybody agrees this is one of the best guys we talk about. [00:43:20] Speaker A: We say Austin, Texas is great. Joe Rogan is great. And I love RFK. Who doesn't love RFK? He's a great guy. C'est volé. Soudainement, il est extraordinaire. Soudainement, il est extraordinaire. Puis je vais vous faire entendre le dernier extrait de la semaine. Oui, il était en vacances pendant un bon bout. Bercoff est revenu à Sud Radio. Beaucoup d'extraits à vous faire entendre de lui, mais j'en ai trouvé un en particulier qui concerne les féministes radicales. Voilà, et j'entends pas, alors j'entends pas du tout, c'est normal, le silence assourdissant des féministes. Où sont les néo-féministes ? Où sont celles qui vont dans les entreprises pour, à monnaie sonante et trébuchante, faire promouvoir effectivement l'avancement de la cause des femmes, c'est très bien. Mais là, là, là, vous entendez un mot ? Vous entendez les féministes patentées? Vous entendez les professionnels? Vous entendez celles qui font leur fonds de commerce avec ça? Vous les entendez? Ben moi pas. Et si elles sont là, dites-moi. [00:44:29] Speaker B: Gang d'hypocrites. [00:44:36] Speaker A: La p'tite pleurnicharde. T'as-tu poigné ça? Demande-toi. [00:44:40] Speaker B: La p'tite pleurnicharde? Pas vraiment, pas vraiment. La p'tite pleurnicharde s'est faite arrêter déguisée en palestinienne. [00:44:45] Speaker A: Là-bas et ici ou là-bas? [00:44:51] Speaker B: Je veux pas aller à l'école parce que Israël est pas fine. Donc elle s'est faite arrêter dans une manif 21 ans, escortée par la police danoise, hors de bâtiment, occupée par un groupe d'étudiants, en pleine boycott! Maman, moi je veux pas aller à l'école parce que Israël, ils sont pas fins, Pierre-Richard, Mais, est-ce qu'il y en a qui vont dire... Morée, arrête de rire belle! C'est un enfant! [00:45:26] Speaker A: Tellement pas fin! Voyons! [00:45:28] Speaker B: Pas un enfant bébé à 21 ans. [00:45:30] Speaker A: 21 ans. Mais où sont les féministes? Elle, c'est une femme, c'est une leader d'opinion, même si on l'aime pas. Une écologiste, c'est quelqu'un qui a un standing. Où sont ces femmes-là du néo-féminisme? Il y en a beaucoup à Québec solidaire. Les Rue Borghazal de Sommonde, les autres. Est-ce qu'elle se lève pour justement condamner l'islam radical et ce qu'on fait de ces femmes-là à Kaboul? Où sont les féministes? La question est excellente de la part d'André Bercoff. C'est la fin, mon cher! C'est la fin, bon! C'est la fin! Ça a bien été! Ils me semblent que j'ai le goût de... [00:46:09] Speaker B: J'ai le goût que tu chantes comme Bruce. On peut se laisser avec un petit peu de Bruce. Il me semble que ça mettrait du. [00:46:18] Speaker A: Pep dans la cabane. Ben voyons donc! Ouch! Bruce? Run to the hill Run for your life Run to the hill Run for. [00:46:33] Speaker B: Your life. [00:46:50] Speaker A: Ciao, baby! Bye-bye! Bon week-end! [00:46:56] Speaker B: Bye-bye! [00:46:57] Speaker A: À la semaine prochaine! [00:46:58] Speaker B: Bye! Salut! Salut, Bruce! [00:47:02] Speaker A: Avec le départ soudain des inclusifs, ceci marque la fin de Personne en parle. Ne manquez pas le prochain épisode, prochainement!

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