Épisode 2

September 13, 2024 01:00:57
Épisode 2
Maurais Le Podcast
Épisode 2

Sep 13 2024 | 01:00:57

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Show Notes

Dans cette deuxième édition de Personne n’en parle, Dom Maurais et The Master discutent de divers sujets, allant du débat politique américain à l’actualité au Québec, notamment la turbulence à la CAQ avec la démission de Youri Chassin. Avec humour et sarcasme, ils analysent les événements politiques et sociaux, évoquant des personnalités publiques comme Kamala Harris et Trump. L’épisode se termine sur des notes humoristiques et musicales avec une touche d’ironie et une réflexion sur la liberté d’expression.
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Episode Transcript

[00:00:11] Personne n'a peur ! Bienvenue à cette deuxième édition de Personne n'en parle. Mon nom est Doug Morin, en compagnie d'Amastar. Yeah! En direct de Grande Allée à Québec. Tout va bien. Calmez-vous. Tout va bien. Bien sûr, beaucoup d'actualité. [00:00:38] On est peut-être dans un entre-deux de débat. [00:00:41] à l'américaine. Bien sûr, il y a eu le débat, il y a quelques jours déjà, à la politique américaine, et les manchettes étaient déjà écrites d'avance. Bien sûr, Kamala est extraordinaire. Kamala est donc bien bonne, est donc bien fine, et Trump était mauvais. Oui, c'est écrit d'avance, on le savait. Qu'est-ce qui se passe également au Québec? C'est la turbulence à la CAQ, parce qu'ils ont perdu un député, Youri Chassain. [00:01:07] Quelqu'un qui était de droite et qui aimait beaucoup nous parler à Radio-X quand il était à l'Institut économique de Montréal est devenu député. Ah, regardons! Puis il s'est fait questionner par Ronald McDussault à RDI. Ouais, mais là, vous êtes contre la SAQ, là. Oui, mais vous êtes pour la privatisation des garderies, etc., etc. Oui, mais là, il faut le dire qu'il a craché sur son passé. [00:01:37] Il s'est assis sur ses idées. Il s'est assis sur son identité. Et voilà, dis pas, qu'il est entré dans la CAQ et dans le CAQ show et dans le COVID show et dans le COVID show! Il a été quand même privilégié parce que Uncle Frank lui a donné une passe gratuite. Va voir ton autre chambre au Pérou. Lui a le droit. Toi, si tu restes, mettons, à Val-Balaire et si ta blonde reste Dans un autre quartier de Val-Bel-Air, pas loin du Saint-Hubert à Val-Bel-Air, ça rime, tu pas le droit d'y aller, sinon ben tu vas te faire stouler, tu vas te faire suivre, tu vas te faire dénoncer. Mais lui il avait eu le droit. Parce que son chum, ben oui, son chum était au Pérou, donc il a eu le droit. Oui. Et là ça a continué. Et là ça a continué. Et par la suite, ben, il y a eu des remaniements. [00:02:29] Et par la suite... [00:02:31] Le Frank, il était tanné de Fitzy. Et Fitzy a eu un meeting avec Kosky. Et qu'est-ce qu'il s'est passé? C'est que Kosky lui a mordu le gras de jambe. Il a dit, je suis tanné, moi je veux des jambes plates, je veux des plantes vertes, je veux des jamboulées. Des jambes qui n'ont pas nécessairement la même teinture que jamboulées. Pas les mêmes petites frisettes que jamboulées. Mais je veux des potiches, des jambes qui font pas de bruit. Et Fitzy a été largué par Frank, le duo de... Le duo de la mort. [00:03:00] Fitzy and Cosky. Cosky and Fitzy. [00:03:04] You like that? Morley! Morley! Morley! Ah, il est parti en moto. En moto BMW. Et là, il y a eu un petit jeu de chaises musical. Et là, peut-être que justement, notre bon ami, Yuri! Yuri! Oui! [00:03:25] Yuri! Bye-bye! Yuri, es-tu bien nourri? Hey! Yuri? Yuri? Allô, Yuri, juste vérifier, es-tu bien nourri? Hé non, il n'était pas bien nourri. Parce que, plutôt que Yuri, ils ont pris Freshie! Ils ont pris Freshie! She's fresh! [00:03:48] On attend un peu. She's fresh, exciting. She's so fresh to me. Elle était bonne cette chanson. Quelle chanson magnifique. Cool and the gang. Donc Madame Fréchette est arrivée. Et là, Yuri n'était pas bien nourrie. [00:04:09] Il était sur les lignes de côté et Yuri n'était pas bien ouvré. Il regarde le spectacle, il réfléchit. Il remplace Fitsi. Et c'est une super ministre, même si y'a rien de super. Dans son CV, y'a rien de super. Mais on aime fabriquer des personnalités. On est comme ça. Dans le Dôme. Et Yuri est dans les estrades. Puis il mange ses peanuts. Et il attend. Et il se rend compte que... En allant sur un site web qui s'appelle... QC125! [00:04:39] que Saint-Jérôme vire au bleu! Au bleu piquu! Et là, il se dit « Why? Je vais perdre mes élections, il me reste deux ans, je vais aller me faire du fun en tant qu'indépendant et peut-être que sans aller nécessairement dans le parti d'Éric Duhem, je vais poser des questions cochonnes contre le modèle québécois et voilà-tu pas qu'il démissionne. Mais! Mettons qu'il est ministre! [00:05:10] Est-ce qu'il démissionne? Mettons que le PQ n'est pas... [00:05:18] Est-ce qu'il démissionne? C'est la combinaison des choses! C'est le double Whammy! Bien sûr! Avec le PQ qui est à l'horizon, le grand sauveur PSPP devant l'internel. Il n'est plus ministre. Iuri. [00:05:32] Il se donne un peu de vigueur. Alors voilà, c'est un peu l'histoire de la semaine. Mesdames, messieurs, on les fait entrer. Voici les inclusifs! S'il vous plaît, faites entrer les inclusifs! [00:05:50] Comment est-ce qu'ils vont? Comment est-ce qu'ils vont? Une crise de belles semaines. Salut mon Bruce! Une crise de belles semaines. Yeah! [00:05:58] Bruce a eu une crise de belles semaines. Fâché? Ça va bien? Non? Oui? J'ai fait mes jambes. Ah! Bon, ok. [00:06:10] Leg day. Ok. Leg day. Tu suis de la fonte en masse? Je suis de la fonte. Yeah! [00:06:17] J'ai regardé RDI, j'ai sacré, ça m'encrisse! C'est un peu ma discipline. Plus d'RDI, plus de testostérone. Ça te craint? J'viens en calvaire. Ah ouais, tu pousses des gros jarrets. Attends un peu, j'vais me prendre de la protz. Ah oui? Alors Bruce boit sa protz, live. J'ai mis de la whey! Oh oui! Pour alimenter tes belles grosses... We are on the way! Bienvenue, bienvenue! Bienvenue mon Bruce! Bien entendu! Je laisse mes autres amis parler! Allo! [00:06:58] Est-ce que c'est... C'est Simon, salut Simon! Ça va très bien, oui, Simon. Ma mère s'est bien alimentée cette semaine. Oui! Et je dois dire qu'elle a beaucoup écouté de... de sartos! Ah oui! Nouvelle vedette du web, hein? Elle a mangé beaucoup de sandwich au jambon! Oh, jambon! Elle a beaucoup mangé de sandwich au jambon! Ça c'est bon! C'est très bon! [00:07:25] Salut! Salut, Alain! Salut! Ça va bien? Alain! Ça va bien? Ça t'a passé une belle semaine, mon beau Alain? Oui! Une semaine, somme toute, tranquille avec ma solitude. Et j'entretiens quand même des liens avec certaines personnes. Certains humains. Mais pas trop quand même. Parce que quand on s'investit avec d'autres humains, on peut avoir le cœur brisé! [00:07:49] C'est vrai! Non, faut pas que je m'ouvre trop. Faut pas que mon coeur s'ouvre trop à ce moment-là. Je suis en un duel. Tu appelleras ta femme, par exemple, elle te cherche. Sylvie, c'est vrai, je l'ai pas. Je l'ai oubliée dans un parking de Miracle Mart, aux Galeries du Cap. Elle pleure. [00:08:11] Je l'ai oublié au Galerie du Cap à Trois-Rivières quand je suis allé voir Goldorak, le film, en 83. Tu me le rappelles. Tu fais bien de me le rappeler. J'ai complètement oublié. Et merci, bonsoir. Je vais vous présenter... Les inclusifs, vous êtes là, parfait. Je vais vous présenter mon personnage d'entrée aujourd'hui. C'est Sarto Lacroix. J'ai ce Jean-Noël Lacroix. [00:08:41] Extrait de son TikTok. Extrait de son compte TikTok. Et voici, on plonge d'entrée de jeu. Et c'est peut-être que je vais avoir des idées, là. C'est en train de mûrir. Je veux quand même qu'on prenne le temps de l'écouter, là. Dis tout le monde que tu penses que t'es le Donald Trump du Québec. Ben non, je suis pas le Donald Trump du Québec. Je dis la vérité. Il faut pas me dire les vraies choses dans la vie parce que pas tout le monde se cache dans la vie. Toi, je me cache pas. Je dis ce que je pense. Je dis la vérité. Sois l'impôt, la police, et ce que t'en amènes. Ferme les yeux, là. Qu'est-ce que tu dis? Je dis ce que j'en dis. C'est ça, la vie. C'est ça, c'est tout. Faut parler comme des bonbonnes. On est pas des bonbonnes. On a le droit à parler comme on doit parler. [00:09:13] On a le droit à notre liberté d'expression. Si faut arrêter de parler, on sort de chez nous. Faut faire attention. C'est ça ta barnaque. On travaille. On leur donne 54% d'impôts plus le pétrole de l'État. Plus que si on a tout. C'est la salle qu'on détaque. C'est la salle qui qu'on détaque. C'est ça ta barnaque. C'est ça détaque ta barnaque. Le style RBQ qu'on laisse. Faut travailler. [00:09:35] Nous savons qu'on a besoin d'un petit peu de sandwich au jambon, par contre. Ça s'en vient-tu? Le sandwich au jambon? Ben oui! Le sandwich au jambon? T'en veux-tu en vlog? Oui. Notre sandwich au jambon, notre chocolat, notre conduit. On n'a pas changé, on est en famille. On s'appoye sur ça. C'est pour ça qu'on peut offrir des cuisines de 1999. Mais on n'a pas le choix. On va pas dans des gros restaurants. On se fout d'une cantine. C'est ça l'affaire. Au lieu d'aller dîner, ils vendent des cuisines trop chères. On mange à la cantine, esti! Comment ça? [00:10:03] Ha ha ha ha ha ha! On va manger à la cantine aussi! On serait les rentres aux chaînes! Nous autres on travaille aussi! On va à la grandine! On va manger sandwich au jambon! On a bien beau dire ce qu'on veut sur Sarto, sérieux... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C'est... C' Tu prends du pain ménage, pis tu crisses là-dessus de la margarine Thibault. Prends de la Thibault, la molle, là. Faut que t'laisses une semaine sur le comptoir, elle est molle à sacrifice. Tu mets ça sur un pain, un pain ménage. Après ça, tu prends trois belles slices de jambon, là. Un jambon cuit, là. [00:11:00] le... le... puis le bilopage! Ah ouais! Le bilopage! Là t'as la main pis tu l'éteins, pis là tu flappes ton jambon pis tu les donnes, tu loves, pis après tu crisses l'autre, l'autre tranche de pain, tu le coupes, peut-être en obliques, ou peut-être droit, dépendant de ton humeur, pis tu colles ça de ses blocs! [00:11:26] Pis tu vois ta cire dessus dans le bus. Parce que moi je meurs, je prends le bus. Ben oui. Ouais. J'aurais sa masse couche. On te reconnaît. Ça me prend deux heures à la Montréal. Oui. T'as un petit transport de merde. Fait que quand t'arrives, ton sandwich, il est prêt. Il est chaud. Il est toasté. Il est chaud pis je le partage avec d'autres êtres humains. Ben oui. T'es de même. On te connaît. J'aimerais ça entendre un autre extrait. [00:11:54] Les Portshakers. Connais-tu ça, les Portshakers? Non. Les Portshakers, là... Parlez pas d'otissage. Allô! [00:12:22] Ça me donne le goût! Ça me donne le goût de faire un concours. Ça me donne le goût, avec les inclusifs qui sont ici, on fait-tu un petit concours? Ben, let's go, let's go! J'ai le goût de faire un... Sarto Académie! Mesdames, messieurs, vous l'avez demandé, voici... le Sarto Académie! [00:12:58] Avec les grands talents, bien sûr! Vous avez Alain! Et vous avez Simon Lambrion! [00:13:05] Et vous avez Bruce! [00:13:08] Très bon. On commence avec Bruce. Bienvenue. Je vais accueillir les gens. Bienvenue à Sarto Académie. [00:13:17] Je vais commencer. Oui, Bruce. Il me semble que je vais me craquer. Joue-moi ça un peu. Il faut limiter. Je vais faire mon Sarto. Craque un peu, je vais me prendre de la whey. Prends un peu de whey. Pendant ce temps-là, un petit extrait. Tu nous le diras quand tu es prêt. [00:13:33] Tu penses que c'est le Donald Trump du Québec? Ben non, je pense que c'est le Donald Trump du Québec, c'est la vérité. Il faut pas dire les vraies choses dans la vie parce que pas tout le monde se cache dans la vie. Toi, je me cache pas, je dis ce que je pense, c'est la vérité. Sois l'impôt, la police, c'est ce qu'il s'en amène. Ferme les culottes! Qu'est-ce que tu dis? Je dis ce que j'ai à dire! Ok, ça va tôt, monsieur. Donne-moi un décompte. Allez-y, ok. Dans 3... 2... 1... On mange un sandwich au jambon! [00:13:58] Allez-y. Les hostiles portent chez eux qu'un câlisse, j'en fais pas, ostie. Des armoires à 9 999 piastres, des câlisses d'armoires en carton, câlisse. Nous autres, on mange juste un moins de choses en bon, parce qu'on sert la ceinture, ostie. T'as quoi, lisse, dans mes culs? J'peux te la fringuer dans l'cul. Nous autres, on travaille, ostie. Le gars de la cantine s'en vient, on s'en va pas dans les restaurants trop chers, ostie. On s'prend pas pour d'autres, câlisse. [00:14:21] Bravo! Allez, c'est pas pire. Bravo! J'vais t'enlever des plates. Bravo Bruce! Très, très bonne performance. Là c'est à mon tour. Très impressionnant. Simon, bonjour Simon. OK, salut! Alors, vous êtes prêt? OK, je suis prêt, oui. Joue-moi ça à un pour que je me crainque un peu parce que je suis quand même dans un placenta. Oui. Donc, il faut que je fasse de l'expansion de mes petits poumons qui sont minuscules comparé à Bruce. Oui. OK, vous êtes prêt? OK, allons-y. C'est encore là que j'ai de la joie que j'ai à boire. Notre chocolat, notre gaudillette. On n'a pas changé, on est en famille. On a pas eu ça là. C'est pour ça qu'on peut offrir des cuisines de 1999. On n'a pas le choix. On va pas dans des gros restaurants, on se fait en cantine. C'est ça l'affaire. Au lieu d'aller dîner, on vend des cuisines trop chères. On va dans la cantine, esti! Comment ça, là? Ok, Simon, allez-y, on vous écoute. [00:15:14] On est autodidacte de nos employés, pis nous autres on s'enlacette, pis on est pas des gros restaurants, pis nous autres on mange justement des sandwichs au jambon, quand la cantine arrive, on s'est pas le temps de niaiser, d'autres l'BBQ on va réessayer, d'autres on fait des bonnes armoires, d'autres on fait pas des armoires à gâteau aussi, pis d'autres... c'est-tu pas bien ça? [00:15:34] Bravo! Bravo! Moi, les sandwichs au jambon, j'en ai jamais mangé. Quand ma maman mange des sandwichs au jambon... Tu le goûtes. Elle les digère, oui. Puis là, ça coûte... Ça goûte la merde un peu, parce que là, c'est tout dû digérer, là, quelques gestes. Mais quand même, j'ai fait mon effort. Bravo. Ça va être à toi, Domasta, de juger de ma performance. Très bon. Bravo, Simon. Alors maintenant, on a un troisième et dernier concurrent. Oh yes! Oh! [00:16:03] Des sandwichs aux amours! Yeah! Et si on vous parlait de Port Shaker, un p'tit... Hey, j'en avais dans mon ancienne maison, c'est pas si pire que ça. C'est pas si pire que ça, ouais. Ok, un p'tit extrait pour se mettre dedans. [00:16:18] Allô? Bon. [00:16:39] Sarto Académie, je me lève devant vous, l'Académie, et je suis prêt. Fait que les Portes Shaker, t'en penses quoi Alain? [00:16:49] Des assis de porche et queue, câlisse! On est pas en 1924, on est en 2024, assis! Pis nous autres, on travaille à l'usine, câlisse! On se prend pas pour d'autres! On est pas des grands restaurants, là! On est pas des grands restaurants, là! Y'en a qui me disent que j'suis le Donald Trump du Québec. Ben oui, maudit câlisse! J'suis là à manger des oignons au jambon! Pis j'suis pas gêné d'en manger des oignons au jambon! Quand le gars y'arrive, la cantine, là, moi j'ai dit à mes employés «Hey, la cantine est arrivée! [00:17:11] La cantine est arrivée!» Le gratin est arrivé! Pis c'est le temps de manger! Ça doit être toujours bon! Hein? Nous autres, on a mangé du jambon! Au jambon! C'est tellement calme! Pis nous autres, on... Il me semble que je mérite, hein? C'est très bon! [00:17:31] Bravo! C'est qui qui gâle? Ben là... J'irais... J'irais peut-être avec... Alain! Alain! Ouais! Merci! Bravo! Et salut spécial à Simon Lambrion et aussi Bruce qui ont très bien performé, mais la meilleure performance c'était Alain, sérieux. Bravo! [00:17:57] Pis bravo à Sarto, on est vraiment des fans pour vrai là, c'est très très divertissant. Il paraît qu'il va faire un podcast, j'ai hâte d'entendre ça. Salut, salut! Tu te rappelles? Oui! Oui. Tout se voit. Next one, on plonge! [00:18:12] Rebel News avec Azra Levent. Ils sont allés au Brésil. Ils sont allés au Brésil rencontrer des gens qui se font censurer. C'est pas une histoire qui lève énormément dans les médias québécois. Peut-être que la liberté c'est pas si important au final. C'est sûr que le Brésil c'est loin. C'est loin le Brésil donc ça nous touche pas vraiment. Mais rappelons que le gouvernement là-bas à Manny X et vous avez une sévère pénalité si vous prenez un VPN et par exemple dans une chambre d'hôtel vous dites « Ah regarde, je suis à Toronto, VPN, ExpressVPN, c'est ce que j'ai, ça va très bien et je suis à Toronto donc je peux avoir accès à mon compte X. » Vous pouvez faire face à des amendes complètement folles. On va écouter ce qui se passe dans la rue Gratuité d'ajouter à l'événement de Rebel News. Comment tu te sens pour Elon Musk? Il a pris un grand intérêt au Brésil. J'adore Elon Musk. J'adore Elon Musk. Il nous aide tellement. J'espère que oui, parce qu'il a beaucoup de pouvoir, beaucoup d'argent, beaucoup de tout. J'espère qu'il peut nous aider. Tu le crois beaucoup. Si tu avais un message à dire à Elon Musk aujourd'hui, que serait-il? Elon Musk, aidez-nous, s'il vous plaît. S'il vous plaît. D'après moi, si Musk est dans la rue, il le ferait-il? Je pense que oui. Je ne sais pas ce que je pense. Toi Bruce, Musk, tu le ferais-tu? Oui. Ah ouais? Il y a une petite hésitation? [00:19:58] Juste une fois, là. Dans le sceau, là. Au Brésil, c'est les plages, là. Hein? Me ferais pas l'enterre. Je devrais pas dire ça dans le podcast. This is a podcast after all. Yeah. Je l'aime parce que c'est un gars de liberté. Je pense que... [00:20:21] Il a de la puissance et de l'argent. [00:20:34] En échange de liberté. Mais ça sonne pas. Ça sonne pas d'ici, là. T'es prêt à faire plusieurs choses, ben des choses pour la liberté. Oui. Lui, il va très loin, Bruce. Effectivement. On s'en va au prochain point, justement. La liberté. Elton John. It's a little bit funny. [00:21:05] This feeling is high. Très bon. Un peu d'Elton, j'ai ça pour toi. Voilà. [00:21:19] Justement, Rocket Man s'est fait questionner. Le beau Elton. « C'est-tu grave ça que Donald Trump reprenne la toune de Rocket Man? Ça n'a pas d'allure. On écoute sa réponse. » Je sais que tu n'es pas un supporteur de Donald Trump. Il aime ta musique. Comment a-t-il senti quand il a pris les lyriques de Rocketman et l'a utilisé comme nom pour Kim Jong-un et qu'il lui a donné Kim Jong-un ? J'ai ri, c'était génial. J'ai pensé, bien joué Donald, je suis le Rocketman. Donald a toujours été un fan de moi et il est venu à mes concerts de nombreuses fois. [00:22:00] J'ai toujours été amicieux de lui et je le remercie pour son soutien. Quand il a fait ça, j'ai pensé que c'était hilarant. Ça m'a fait rire. Il t'a donné un de tes CD et tu l'as signé. Ce n'était pas un de ses livres parce que Kim ne connaissait pas la chanson. Il ne l'a pas entendu. Bien sûr qu'il ne l'a pas entendu. Il serait très surpris s'il l'avait entendu. [00:22:20] Il s'est fait pogner, le journaliste. Il pensait qu'Elton John serait contre Trump. Et là, il se fait avoir comme un enfant d'école. [00:22:48] L'homme-fusée, il est très très très très très gentil. Ah oui! Un autre succès, ça! Nikita! Nikita! Je l'aimais cette tonne-là parce qu'il y avait une Russe avec une belle capine en poêle dans le vidéo. [00:23:06] Hey Nikita, is it cold in your little corner of the world? You can roll around the globe! Pis la petite Russe se faisait aller. [00:23:18] T'es beau. Tu chantes quand même bien, c'est ce que je constate. 100% Musique Plus. Très bon. La Russe avec la capine en poêle. OK. Il manquait juste le 41 de vodka ou la fête de ketchup. On y va avec le prochain. [00:23:34] Bill Maher, je l'adore, et il parle de la gauche, justement. Comment ça qu'il critique autant la gauche? On écoute! You wanna know why I have a bug up my ass about the left more than I used to? It's shit like this. There's an ugliness they never used to have. The liberals I grew up respecting, none of them are like this. Going after the wife, even the mafia doesn't do that. [00:24:02] Wow. Très, très bon. Bill Maher est bon. Il est équilibré, c'est ce que j'aime. Critique autant la gauche, la gauche folle. [00:24:09] Pas la gauche d'antan, la gauche qui se battait pour les travailleurs. La gauche d'aujourd'hui, la gauche woke, la gauche un peu détraquée. Et critique également, oui, il y a des coucous en masse dans la droite, la droite américaine, la droite extrême. Il y a des gens qui sont pas mal flagués sur, entre autres, l'avortement, etc. Donc il y a des spécimens dans la collection des deux côtés. Et c'est ce que j'aime de ce gars-là, c'est qu'il accepte de frapper Des deux côtés. On y va avec le prochain. RFK Junior. Oui, je le sais. Sur une longue période, il est dur à écouter. [00:24:53] Il y a un problème de voix. Exact. Il y a un problème de voix. Et ça fait un peu... [00:24:59] Comme ça, genre. Ouais, pas tout à fait. Ouais. Y'a un problème de voix qui fait que... Ça peut être tannant, mais le propos est tellement, tellement intéressant. J'ai un p'tit clip pour vous faire entendre. J'ai vu Kamala, vous savez, à la convention. Et elle a donné un discours qui était très bellicose et belligère. C'était un genre de discours qui a été écrit par les néocons et la CIA. C'est la première fois dans l'histoire Il y avait un ancien directeur de la CIA qui parlait juste avant elle, Leon Panetta. Il y avait des militaires qui parlaient à la Convention démocratique. Les démocrates étaient le parti anti-guerre. Ils étaient le parti pro-constitutionnel. Ils étaient le parti qui était contre Wall Street et qui représentait les petits gars, les policiers, les pompiers, l'union et les travailleurs. Dans l'élection 2020, environ 50% des gens dans ce pays Vous parlez de la masse. [00:26:24] Le Parti démocratique est devenu le Parti de Wall Street, du complexe militaire industriel, de la grande pharmacie, de l'agriculture, de la grande technologie, des grands systèmes bancaires, et de tout ce que Donald Trump appelle le « deep state », qui est ce web d'intérêts financiers qui n'est pas nécessairement une petite conspiration, mais c'est une conspiration de seuls intérêts, qui fonctionne ensemble, en tandem, Can it be a perfect killing ? Illustration parfaite de l'ordre des choses aux États-Unis. Les démocrates, c'est le parti du Big Tech, du Big Pharma, de la grosse machine. Les républicains, c'est le parti de l'ouvrier, du gordinaire et de la famille moyenne américaine. End of the story. [00:27:52] Il me semble qu'on se réduit pour regarder nos politiciens, par exemple. Il me semble qu'on en a des bons. [00:27:59] Il me semble qu'il y en a un bon qui s'en vient, de Nicodère! Wow! Dans Belgece, ça va être bon, ça! Et il me semble qu'on se réduit pour un sondage! [00:28:15] Ceci est un sondage officiel. A. V. T. Un gros sondage officiel. A. V. T. Oui, allô? Bonjour! C'est la question du jour. Oui, c'est quoi? C'est Denis Coderre. Vous le connaissez bien, je crois. Denis Coderre. Oui, oui. [00:28:41] Qui êtes-vous, là? [00:28:44] Moi, je suis des sondages AVT. C'est un sondage de Nicodère. Quel est son slogan? Est-ce que c'est une plogue, un patate? Deux plogues, un patate? Ou trois plogues, un patate? Mon dieu, je sais pas. D'après vous, pensez. Trois plogues, un patate. Trois plogues, un patate! Vous avez gagné, c'est bon! Autre question, Pablo Rodriguez. [00:29:11] Est-ce qu'il a les cheveux bleus ou poivre et sel? Poivre et sel? Poivre et sel! He's got potential! [00:29:24] Épicerie, bonjour! Allo, c'est pour une information? Oui! Oui, c'est Denis Coderre qui va se présenter dans Bellechasse. On vérifie pour voir quel est le meilleur slogan. Et veuillez choisir entre les options suivantes. Une plogue, un patate. Deux plogues, un patate. Ou trois plogues, un patate. [00:29:44] Je vais prendre deux. Deux plogues, un patate. Oui. Parfait, merci beaucoup! Merci, au revoir! Au revoir! [00:29:53] Bonjour? Oui, allo, c'est pour une information. Oui. Denis Coderre, il se présente dans Bellechasse, il va se présenter dans Bellechasse, pis on faisait un petit sondage, c'est très cool. Ah, regardez, mon cher monsieur, je suis allé pisser, j'ai vraiment pas été bien. Oui, bien, je voulais savoir, son slogan, est-ce que ça devrait être une plogue ou un patate, ou deux plogues, un patate? Je dirais que la deuxième option. Deux plogues, un patate. Yes. Merci. Merci. Merci, bonjour. Bye. Bye. [00:30:19] Entrevue intéressante avec Katy Perry. J'suis pas un gars qui va écouter des artistes raconter leurs états d'âme. C'est intéressant, par contre, mais pas tout le temps. Dans son cas à elle, elle parle de sa vie, très émotif, et elle parle, oh, de sexualité. Oh, j'aime ça, là. Oh, Bruce! Katy Perry! Salut, Bruce! [00:30:45] Je l'ai vu, podcast. Un upin Saint-Divan. Maudite belle femme, ça. Je dois dire que je suis assez d'accord avec toi. Et elle raconte, justement, qu'est-ce qui la rend heureuse. D'après vous, les inclusifs, qu'est-ce qui la rend heureuse? [00:31:03] Une petite boîte de chocolat. Tiens, une petite boîte de chocolat qui barne sur le reste de sa carte. C'est tout ça? Des fleurs? Non, pas vraiment. Moi, je pense que c'est pas un petit massage de pied, quelque chose. Des mots doux? Ouais, je suis pas sûr. Pis moi, mon opinion, elle compte pas. Moi, je dirais peut-être sortie totalement de nulle part. [00:31:31] Il me semble que si son chum vit d'un lave-vaisselle, elle a un bon pompier. One of my love languages is acts of service. So it's like, if I come downstairs and the kitchen is clean, and you've done it all, and you've done all the dishes, and you've closed all the pantry doors, you better be ready to get your dick sucked! I mean, like, literally! That is my love language! I don't need a red Ferrari! I can buy a red Ferrari! Just do the fucking dishes! C'est faux. C'est faux. Dans la cuisine. Dans la cuisine. Dans la cuisine. Orlando le sait. [00:32:27] Il me rencontre là-bas maintenant. Nous sommes fortunés d'avoir un gardien de maison, mais il sait que c'est important. Il y a tellement de choses à dire. Si tu peux t'en afforter d'un toilet électrique, prends un toilet électrique ! Prends un Roomba qui s'écoule autour de toi ! Prends un Boomba ! Choisis tes batailles ! Men, listen and get a Roomba, you're gonna have so much more sex! So much more sex! A Roomba, stock price goes up! When the toilet seat goes down by itself, so much more sex! Haha, carrément! Hahaha! Faites la vaisselle! Faites la vaisselle, les gars! C'est ça qu'a dit la p'tite Cathy. Tu mets de la la vaisselle et moi tu vas te faire sucer! Suck her dick! Suck her dick! C'est ça qu'elle a dit. Moi j'aimerais ça carrément! Ben voyons, Bruce! [00:33:17] Mettons que le lave-vaisselle est vide. Ouais. Tu prends le lave-vaisselle propre. T'en mets de dents. Tu le crisses dans le lave-vaisselle. C'est moi, tu vois. Le lave-vaisselle. Ben voyons, bro. Ben voyons, bro. Pis tu vides le lave-vaisselle pis tu dis, chéri, j'habitais le lave-vaisselle. Pis tu fais tout le temps ça sans arrêt. En plein après-midi. C'est-tu légal ça? En plein après-midi? Quoi pour? Afternoon delight. Yeah! C'est une belle chanson ça, afternoon delight. Ça veut dire ça, tu veux faire l'amour en plein après-midi. Gonna find my baby, gonna hold her tight. Gonna grab some afternoon delight. My boat has always been one, it's right, it's right. Why wait until the middle of a dark night? When everything is a little clearer in the light of day. [00:34:07] Yeah, yeah ! Pas fini? T'as des tonnes pas loin toi. Ma maman elle fait l'amour des fois en après-midi, mais je me fais shaker en sac de fils. Papa? Oui? Il vide le vaisselle, pis moi je fais dodo dans le placenta. En après-midi, vers 2h15, 2h20, je me soupis. [00:35:00] Et puis j'entends L.C.N. se fermer. Il vide le lave-vaisselle. À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! [00:35:10] À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cacling! À cac Parce qu'il faut bien en parler de cette nouvelle tendance débile qui est née sur les réseaux sociaux. On en parle avec vous mon cher Jules Boscherini, bonjour ! Bonjour Jean-Marie, bonjour à tous. Bon alors si vous nous écoutez en ce moment sur Sud Radio et que vous êtes mal réveillés, tenez-vous bien, frottez-vous les yeux, lavez ces fruits et ces légumes au lave-vaisselle, c'est très sérieux. C'est la nouvelle tendance débile qui est née sur TikTok et qui fait des émules. Oui, tout à fait Jean-Marie, la tendance est pour le moins insolite, elle a émergé en juin dernier. C'est une jeune fille à l'époque qui filme sa maman en train de placer ses légumes dans son lave-vaisselle. Le but était bien évidemment d'éliminer les résidus de pesticides, puisque passer ses légumes sous l'eau n'est généralement pas suffisant, mais tenter de le faire au lave-vaisselle est bien plus mauvais pour vos produits. Non mais c'est absurde, surtout, c'est quoi les risques ? Interrogé par nos confrères américains du HuffPost, Matthew Taylor, membre de la National Science Foundation, qui établit les normes de santé publique, de sécurité de durabilité des produits alimentaires. Mathieu Taylor rapporte que les aliments risquent de ressortir couverts de tensioactifs utilisés dans les détergents ou de particules des précédents repas si le filtre du lave-vaisselle n'est pas nettoyé après chaque utilisation. [00:36:38] Je cite « des morceaux du dîner de la semaine dernière tourbillonnent avec vos fruits et légumes ». Non mais c'est quand même fou, il y a aussi l'eau qui stagne dans le lave-vaisselle, et donc c'est propice à la prolifération des bactéries sur vos aliments. Vraiment ça n'a rien de bon ce procédé. Et puis quand bien même, les légumes, vous voulez les manger, ça risque pas d'avoir un goût de liquide vaisselle par exemple ? Enfin ça vous traverse pas les fruits ? On vous encourage en plus à les laver avec du vinaigre blanc, cyclafroid et vinaigre blanc, mais rien de bon. [00:37:05] La vidéo a visionné plus de 10 millions de fois sur TikTok et 12 millions sur Instagram. Rendez-vous compte l'effet que ça a eu. L'autre problème que cela pose, c'est que ça donne des idées aux gens qui se mettent de plus en plus à utiliser cette technique. Donc, c'est devenu une tendance. Donc, quelle est la technique ? Tout simplement, déplucher vos légumes. C'est le plus simple. C'est d'ailleurs ce que révèle une étude publiée au mois d'août par des chercheurs, qui consiste à éliminer la peau et la fine couche contaminée par les pesticides, plutôt que de simplement les laver. Il y en a qui ont des pois chisses quand même dans le cerveau, il faut les mettre au lave-vaisselle. Gang de lâches! Ah putain! C'est l'enfer! Putain! Tu prends un zucchini dans la vaisselle, mets ton restant de lasagne sur le deuxième panier. Oui. Fait que tu te retrouves avec des crisses de restant de lasagne sur ton zucchini. Ça goûte la mort! Ça goûte la mort! [00:37:53] Toi, Bruce, tu ferais pas ça, là. Jamais. Non. T'as-tu déjà vidé l'espèce de... Y'a un filtre dans le milieu, là. Faut que tu vètes ça une fois de temps en temps, là. Ah, c'est pleinement bon. C'est dégueulasse en tabarnache, là. Ça clique par 10 millions d'écoutes. Parce que les gens sont trop paresseux pour éplucher le calice de cocombe anglais, tabarnak! [00:38:16] Tu prends un cocombe anglais, assis, pis tu l'épluches. Ça va au maxi, t'achètes un cocombe. Tu peux le laver, pis c'est sûr que ça fait une vision un peu particulière. Ben oui. Tu laves le cocombe anglais, tu le laves, tu le savonnes. À gauche, à droite, tu le prends de même avec ta main, tu le prends la main à l'envers. J'imagine, là. Tu sais, c'est un peu spécial, là. Mais après ça, tu peux juste l'éplucher. Et tu le coupes, puis tu le manges. Là, tu le laves le soir, la nuit. Tu peux pas tout le temps faire rouler ça. Ben, c'est ça. Exact. J'ai quelque chose à vous faire entendre maintenant. Hop! [00:39:05] En tant qu'Alain, j'adore les gens qui ont peur d'avoir des enfants! Parce que la terre va exploser devant les tourments de la terre! Devant les tourments de la terre! Moi je ne veux pas avoir d'enfants! On écoute une attachée de Kamala qui a peur d'avoir des enfants. [00:39:31] I've heard young leaders talk with me about a term they've coined called climate anxiety, right? Which is fear of the future and the unknown, of whether it makes sense for you to even think about having children, whether it makes sense for you to think about aspiring to buy a home, because what will this climate be? [00:39:50] But because we have been able to put in place over a trillion dollars in investment in our country around things like climate resilience and adaptation, around focusing on issues like environmental justice, and understanding que, malgré ce que ces so-callés leaders d'extrême droite essayent de faire lorsqu'ils essayent de se débarrasser de l'EDI, la diversité, l'équité et l'inclusion, nous savons que nous allons rester engagés à des questions comme l'équité, parce que, voici la chose, oui, nous voulons que tout le monde ait une quantité égale, mais pas tout le monde commence sur la même base. Et donc, si vous donnez à tout le monde une quantité égale, mais que vous ne commencez pas sur la même base, vous allez toujours finir avec des gens qui sont Créé différemment. L'équité dit, prenons-le en compte. Et les jeunes votants et les jeunes dirigeants sont alors dans une position, et ont été, pour se battre contre ces extrémistes qui essaient de dire des choses comme D.E.I. sont mauvaises. Parce qu'ils ne veulent pas avoir une conversation sur l'équité et l'inclusion, et avoir une conversation au lieu de dire, bien, en tant que dirigeant, peux-tu faire attention à celui qui n'est pas dans la salle et ensuite trouver un moyen de l'inviter ? Et laisser la porte ouverte ? Kamala, la communiste. S'il y a un autre débat, Trump doit l'exposer comme étant une communiste parce qu'elle, à la fin du processus, elle veut que tout le monde ait de l'argent. C'est pas une obligation d'égalité de résultat. Tu veux donner des opportunités, mais tu ne dois pas avoir une obligation d'égalité à la fin de la journée. Voilà. Je vais vous parler maintenant du hard work. [00:41:55] Le racisme, bien sûr! Le racisme, bien sûr! Il y a l'histoire des haïtiens. Springfield, Ohio, ville de 50 000 personnes, Shawinigan, grosso modo, il y a 20 000 haïtiens sur place. Évidemment, ça bouscule la communauté, ça bouscule les services, ça crée des tensions. Remplacer le mot « haïtien » par N'importe quel mot que vous voulez, que ce soit péruvien, que ce soit argentin, peu importe, là n'est pas le point. Évidemment, Donald Trump est allé full sauce avec l'histoire des chats et des chiens. C'est documenté que les haïtiens ont pris des canards, des oies pour les manger. Est-ce que c'est vrai, est-ce que c'est pas vrai, l'histoire des chats et des chiens? [00:42:42] Mangé par les Haïtiens, ça a été à tout le moins démenti par la ville. Donald Trump aurait pas dû aller de ce côté-là. Mais, bien lui en face, parce que les journalistes québécois ont pris ce bout-là, et Donald Trump s'est attaqué aux Haïtiens. Selon eux, ils sont allés voir des politicos d'origine haïtienne, dont le ministre Carman, qui est pas un très bon ministre, Mais évidemment, elle avait l'occasion idéale de se mettre dans la photo pour jouer à la victime, donc... Ah c'est épouvantable! Raciste! Raciste! Donc c'est le R-Word! Raciste, raciste, raciste! Parce que... Les haïtiens... N'ont jamais... Mangé... De drôles... De bibittes... Ben non! Souvenez-vous du cas... [00:43:41] Moi, je me souviens de l'entrevue faite avec Julie Snyder. Et c'est justement André Arthur au Paradis qu'il a posté sur son compte Twitter. Qui êtes-vous? [00:44:02] Est-ce que vous êtes un salaud? J'y suis au paradis. C'est le fils à sa mère. C'est le fils à sa mère? [00:44:10] J'suis au paradis. Salut André! J'suis avec Gillette Philippe. [00:44:16] C'est un écœurin, et j'ai posté ce vidéo-là succulent pour le beau service de Personne en parle, et on écoute. Plumer des pigeons? Pourquoi tu plumais des pigeons pour les gens qui mangent des pigeons? Je voulais les manger moi-même. Ah, tu les mangeais toi-même? Oui, je pêchais les pigeons en Corée-Saint-Louis. [00:44:35] Tu sais comment ? Il faut pas les chasser, il faut les pêcher. Tu mets un fil, tu mets un morceau de truc, un maïs à l'intérieur, un grain, et tu mets ça un peu sur le gazon et tu pêches les pigeons. Les pigeons avalent, tu tires sur toi, tu t'en vas avec, tu le mets dans l'eau chaude. Dans l'eau chaude et c'est pas très difficile. Il faut mettre des feuilles de papaye. Calme-toi, calme-toi. [00:45:01] C'est vrai? Il faut rendre sa tendre, la chair tendre, et après deux heures, tu ouvres le pigeon et tu mets beaucoup de citron, tu le mets dans le four. [00:45:12] C'est vrai? Raciste! Bien sûr, ça se mange le pigeon, qu'est-ce que tu crois? Oui, mais tu faisais... Non, mais moi je pensais que c'était un travail de plumer des pigeons, mais tu faisais ça pour te nourrir? Oui. Parce que t'avais pas d'argent? Parce que j'aimais aussi le pigeon, c'est de la bonne viande. [00:45:27] C'est un type qui m'avait dit ça. C'est un clochard au Carré Saint-Louis. Il m'a dit, tu sais, le pigeon, c'est du steak qu'ils volent. Mais c'est vrai. Mais pas au pigeon. Il devait souffrir le martyr de se faire pécher comme ça. Tu t'éprouvais pas... Il n'est pas fin. Tu ne te sentais pas mal de voir le pigeon se débattre comme ça pour sa vie? Bien, je l'ai parlé d'abord. [00:45:54] Ok, tu parlais aux pigeons. Ben oui. Tu leur parlais une fois qu'ils étaient... Oui, oui, je leur disais de m'excuser. Tu te souviens de ce film-là, les dieux sont tombés sous la tête, il fallait leur parler. Excusez-moi, je vais vous manger, c'est très gentil, ça se fait chez moi. C'est vous, moi. Et puis le pigeon accepte. [00:46:12] Raciste! [00:46:16] C'est donc bien dégueulasse, lui. C'est un petit oiseau. Pourquoi pas, hein? C'est un petit oiseau qui veut s'envoler, qui se promène de ville en ville et qui mange des graines à un moment donné. Il se fait kidnapper par un auteur... aïe-fier! Toi, Simon, ça te fait de la peine, ça? Oui, je raciste parce que j'ai dit ça. Moi, ça me fait de la peine. Bon, y'a rien à manger sur ce calice de carcasse là. De l'oiseau. Ben ouais. Toi c'est une bouchée Bruce. Moi c'est une petite mise en bouche. Tu le fais même pas cuire. Moi j'aime mieux les grosses dindes. Ah oui? Ok. Bon. Franchement Bruce. On va aller à un autre extrait. La France est dans marde. La France est dans marde est pas à peu près entrevue accordée à Bercoff et voilà. [00:47:06] Et voilà, et voilà, et voilà, et voilà. André Bercoff, c'est Agnès Molinier. On a fait des entrevues avec elle dans More Live. La France est dans la merde. Femme ou du monde, ou bien putain. C'est une putain, bien souvent, être les mêmes. Femme normale, star au boudin, femelle en tout genre, je vous aime. Et là, la l'air, et là, la l'air, ça ne va pas bien, dans la galère. [00:47:35] À force de rien faire depuis des années sur ces questions, on a toujours le taux de dépense publique le plus élevé parmi tous les pays comparables et on a toujours le taux de prélèvement obligatoire le plus élevé. [00:47:46] Et ce qu'on a vu à la Fondation IFRAB dans les derniers travaux qu'on a menés, c'est qu'en fait la part marchande, c'est-à-dire ce qui se passe dans le secteur privé de création de richesses, elle est très faible en France par rapport aux autres pays de la zone euro. Beaucoup plus faible ? Beaucoup plus faible, on est autour de 69% quand la plupart des pays sont à 74%, vous voyez ? Donc si on avait le même PIB marchand de l'économie privée que les Allemands, on aurait 240 milliards de richesse nationale en plus tous les ans. On parlerait plus du tout des mêmes sujets. Donc en fait on a un problème de production de richesse dans nos entreprises. Et ça c'est quelque chose qu'on oublie complètement. [00:48:28] Allons la France ! Ah les cousins ! Est-ce que vous êtes dans la merde ? On est dans la merde. Je suis dans la merde encore et encore, je veux l'écouter encore et encore. Oui mais je trouve totalement paradoxal que ceux-là même qui disent qu'il y a un problème d'inflation continuent à dire qu'il faut dépenser sans compter. [00:48:46] Parce que c'est vraiment un cercle vicieux. Donc la richesse, il faut la créer dans les boîtes. Et c'est cette richesse-là ensuite qu'on a. Donc si on veut lutter pour le pouvoir d'achat, la meilleure chose à faire, c'est créer de l'emploi dans les entreprises. Et si on veut créer... Non mais André... En fait, le pouvoir d'achat, il se décrète pas, c'est pas l'État qui décide de donner du pouvoir d'achat. L'État, il peut décider de taxer moins, de baisser les taxes, de baisser les cotisations. [00:49:14] Ça a été fait sur certains aspects, par exemple les heures supplémentaires qui sont détaxées. [00:49:20] Ça c'est une bonne chose pour le pouvoir d'achat. Très bon ! Des primes qui sont détaxées. Je ne dis pas que c'est la panacée parce que la plupart sont des petites primes quand c'est vraiment touché par les personnes. Non, ce n'est pas ça qui change les choses. Ça ne change pas fondamentalement les choses. Mais il faut se dire une chose, c'est que celui qui prend le plus de pouvoir d'achat C'est l'État en fait, l'État, la Sécu, parce qu'ils ont besoin de la CSG, des cotisations, pour financer tout l'appareil, finalement, de protection sociale. Si on regardait mieux ce qui se passe avec l'argent là-dessus, par exemple, aujourd'hui, dans les échos, il y a tout un papier disant que c'est 16 milliards le coût des absences maladies, dans le secteur privé. Mais vous pouvez doubler ce chiffre, parce qu'il n'y a pas le chiffre du public dedans. Il n'y a que le privé. Vous avez déjà dit, le chiffre du public, on ne les connaît pas. [00:50:08] Le chiffre du public, on le connaît, il est autour de 15 milliards d'euros par an. Mais sauf qu'il y a à peu près 20% des gens qui travaillent dans le secteur public en France, donc il y a un petit problème déjà. [00:50:20] Donc déjà il y a un surcoût d'environ 7 milliards d'euros des absences dans le secteur public. Et quand on dit que tout ça c'est financé par nos cotisations, et c'est pris sur notre travail, et donc c'est du pouvoir d'achat en moins pour payer les dérapages, Elle est bonne la madame. Ah oui tu parle comme André. Je l'aime. André il parle comme mon grand-papa. [00:50:47] Oui. Très, très deep. Comme Bruce un peu. Oui. [00:50:51] Oui. Oui. Voilà. Voilà. Magnus. Magnus. Magnus. Do you want to go in the living room? Touch me. Je les aime les français. Do you want to kiss me? Oh! [00:51:05] The living room. That's my body. I want to kiss your body. Very deep. Very wet also. I want to go in the shower with you. But maybe I should stop now. Ça me fait penser beaucoup au Québec. Quand j'entends mon papa et ma maman qui parlent des affaires, Les affaires du gouvernement, ça me fait penser à ça aussi beaucoup. Je l'aime la madame, je veux l'écouter à un autre. Quand un entrepreneur, un patron, paye 100 euros à un salarié, Donc le patron a dépensé l'entreprise 100 euros, il reste 46 euros dans la poche du salarié. C'est ça, alors que la moyenne dans l'Union Européenne c'est 58. Alors qu'en Suisse ou en Espagne, vous allez plutôt être à 60 ou 70 euros. Vous voyez, quand vous regardez dans tous les pays aux alentours, vous vous rendez compte que la part qui est ponctionnée par la sphère publique, elle est beaucoup plus importante. [00:52:00] Donc tout ce qui a été dit ces dernières années, nous on a tiré la sonnette d'alarme X fois, vous l'avez dit tout à l'heure. On l'a fait parce qu'on considère qu'on mérite mieux. Non elle est parfaite, elle est parfaite. Allons du côté de Montréal et on parle de sport ! C'est la victoire, bien sûr, qui a perdu, qui a gagné. Je sais pas trop, on l'écoute. Une annonce qui était attendue avec impatience. Après une saison sans logo et sans nom, la LPHF dévoile finalement ses couleurs. La victoire de Montréal. Un nom qui représente l'aspect compétitif de la ville, un logo qui honore Montréal avec un M, et le Québec avec une fleur de lys. [00:52:46] La charge d'Ottawa, inspirée de la devise de la capitale qui est Ottawa en avant. Les sceptres de Toronto, pour la ville reine et pour un lieu emblématique comme la Queen Street. Les sirènes de New York, pour une ville énergique et bruyante. Le flit de Boston, en hommage à la riche histoire maritime. Et finalement, le frost du Minnesota, pour rappeler un état froid et glacial. [00:53:16] Afin d'assurer une certaine continuité, les équipes conserveront les couleurs mises de l'avant lors de la saison inaugurale. L'attaquante de Montréal, Catherine Dubois, croit que la victoire est un nom qui colle parfaitement aux valeurs de l'équipe. C'est vraiment inspirant comme nom, tu sais, victoire, c'est un message d'espoir, un message d'état d'esprit que nous avons quotidiennement, donc j'étais vraiment fébrile d'entendre ça. Ça nous manquait dans un sens parce que c'est un nom d'équipe, c'est important pour nous, mais en même temps c'était tellement le fun de juste pouvoir jouer au hockey l'année passée, puis d'avoir cette expérience-là, d'avoir une ligue pour nous, puis tout ça, donc on est juste vraiment contentes d'avoir enfin notre nom d'équipe. [00:53:55] Les camps d'entraînement débuteront à la mi-novembre et la saison, quelques semaines plus tard. La majorité des matchs à domicile de la Victoire de Montréal seront disputés à la Place Belle, à Laval. Ici Christine Roger, Radio-Canada, Montréal. Et la Victoire a subi une dégelée contre Boston. Impossible. Parce que c'est la Victoire qui a gagné, ça le dit. [00:54:22] Non, non, non, non, non. La victoire a perdu contre les sirènes de New York. Hein? T'as marnaqué par moi dans la crise de l'année. Je vrai. Y'a des sirènes à New York. Y'a des polices, y'a des pompiers. Donc on va appeler ça les sirènes. Donc les sirènes ont gagné contre la victoire. Non, toi Bruce, t'aimes pas ça. [00:54:44] Ben voyons donc. La victoire. La victoire dirigée par Victoire Lecieur, la capitaine qui s'est approchée de la victoire mais quand même a subi toute une dégelée. La victoire pourrait reprendre le chemin de la victoire s'il peut quitter le chemin de la défaite parce que la victoire s'enlise. La victoire s'enlise. Ça se comprend très bien. Ça se comprend très bien. Victoire Dufrost contre la victoire. Dufrost. Victoire, défaite, victoire. Moi je mettrais comme mascotte. C'est dans quel Batman ça? Arnold Schwarzenegger, Mr Freeze. Oh, c'était pas le meilleur de la gang, ça, hein? Non, il était le plus vieux. Il y avait pas Jim Carrey aussi là-dedans? Je pense que oui. Et le canard? Ouch! Il ressemblait à Bruno Marshall. Ah oui? Ah ah ah! Je vous taxer les talabacs! Ah ah ah! T'avais-tu des taxes, sti? C'était super tax! Jim Carrey. Super tax! Pas le meilleur, hein? Mais ouais, c'est un... C'est pour taxe! C'est le premier beau gag que tu fais! Ah ouais, merci, Bruce! Tu dois une médaille... Pour te faire une volée. Pour te faire un petit claque sur la gueule. Je vais te laisser une volée de parking tout à l'heure. Ah bon? Je suis content, je suis content. Non, mais Mister Freeze... Oui? Tu nommes un gars avec des crisses de gros pipe... Oui? Un gun en plastique... Pis il lance comme des glaçons en bonbons aux enfants... Ça serait fantastique! Les enfants virent fous... Oui! Pis Fais-moi donc des enfants fous, là. [00:56:09] Je veux des glaçons! Je veux des glaçons à Sushon! Je veux des glaçons à Jujube! Ça c'est d'un aréna vide, là. Je suis en train de reproduire, mettons. Dans ma tête, ça fait ça, là. J'en veux, j'en veux, j'en veux des bonbons! Et là, tu reçois les glaçons. [00:56:27] et je reçois les glaçons. Tu te fais tirer. Je me fais tirer avec des glaçons. J'aimerais ça, ça serait un magnifique stunt entre la première et la deuxième période. Oui. Entre la victoire de Montréal et le frost de Minnesota, la victoire qui s'approche d'une autre défaite. Bien entendu. Ça serait très bon. Qu'est-ce qu'on peut entendre à part ça? Ben oui, on va aller entendre peut-être un petit sondage, tiens, sur Montréal. Comment ça va, Montréal, avec sa mairesse, tiens? [00:57:00] Ceci est un sondage officiel A.V.T. Un gros sondage officiel A.V.T. [00:57:12] Oui, bonjour. Oui, c'est un petit sondage qu'on a pour la mairesse de Montréal. Est-ce que la mairesse de Montréal est anti-voiture, anti-capitaliste ou communiste? Merci. Hello? [00:57:38] Hi, I'm calling from a poll company. I just have a question for you. About Mayor Plant, Valerie Plant, you know her? Yes, sorry, can you repeat? The first choice is, is she a real communist, a true communist, or a genuine communist? Can you repeat from where are you calling? Sorry, I didn't catch that. I'm calling from AVT polling station. AVT. A-C-T? Yeah. Ok. Et ma question est à propos de Meier Plant. On a trois choix. Est-ce qu'elle est une vraie communiste, une vraie communiste ou une communiste sincère ? Vous avez seulement trois choix. Désolée, je ne peux pas vous aider. C'est trop mauvais. Merci, merci. Au revoir. Au revoir. [00:58:32] Et là, maintenant, c'est un peu la fin. Ça me rend triste! Je suis triste, moi, en tant qu'Alain! Je suis triste, je suis Alain Triste. On se dirige vers la fin. [00:58:47] Et on plonge avec le choix de la toune finale. Et on roule! Choisis ta toune! Je sais pas, c'est quoi la toune? On a eu beaucoup de suggestions. T'as demandé sur Facebook aux gens, je pense? Oui, j'ai demandé sur Facebook avec quelle toune on choisit. Et le choix final est... [00:59:11] The Number of the Beast, Iron Maiden. [00:59:16] Wow! On se prépare à l'instant. Fait que je te sors l'instru, la track, t'es-tu prêt? Yes, oui. Oh, hi to you, oh help and see, for the devil sends the beast with rats. Because he knows the time is short. [00:59:36] Lady Moo had understanding record, the number of the beast for, it is a human number. It's number, it's 666. Six, six six, the number of the beast. Hell and fire was prompt to be released. Yeah! [01:00:04] Hey! Bon week-end tout le monde! Bonne semaine! On vous aime et on revient la semaine prochaine. Bye-bye! Bye! Salut, pis j'vais aller me faire une salade moitié au jambon. Mmm! Miam-miam! Salut les amis! Bye-bye! Avec le départ soudain des inclusifs, ceci marque la fin de Personne en parle. Ne manquez pas le prochain épisode prochainement. [01:00:46] intercept.

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