Episode Transcript
[00:00:01] Speaker A: Moray, le podcast.
Bienvenue dans Moray, le podcast. On vous souhaite un beau week-end et une belle semaine. Bien sûr qu'on a rebaptisé au passage le podcast. Ben oui, mais Moray Live, ça existe depuis quoi? Quasiment 20 ans? Frank, donc Moray. Il me semble que Moray, le podcast, ça sonne mieux. Ben oui. Comme ça, c'est parfait. Passez une belle semaine. Moi, Frank D'Amasta. Yeah, D'Amasta, très très bien. Oui, toi aussi. Très bien, très bien. Plongeons tout de suite dans les salutations d'usage.
Salut ! On va parler de Climate Change et je veux saluer au passage Pierre-Olivier Frigon qui, ma foi du bon yeu, a une saprée belle binette, page 19, Journal de Québec, de ce mercredi 25 septembre. Pourquoi? Automne de rêve pour les légumes. Vous allez faillir, vous allez brûler, vous allez crever. Climate Change, c'est le dernier mandat, vite, dépêchez-vous. On va mourir, on va mourir. Mais il a le gros sourire. Pourquoi?
Gros sépi dans la main. Oh, c'est-tu du trois couleurs? C'est-tu du quatre couleurs? C'est-tu du une couleur? J'en sais trop rien. Je ne suis pas bon dans le maïs. Mais je suis pas maïsophobe. Pour autant, j'adore le maïs. T'aimes-tu ça, le bledin de Douai?
Ben oui! C'est un sacré! Blédènes en crème! Blédènes en crème, on évite ça. On attend que ce soit en CHSLD juste avant la mort de la dignité. Il me semble qu'un petit platé de maïs en crème juste avant de mourir, ça peut bien faire. Mais on n'est pas rendu là encore, donc on tient à saluer le propriétaire de la ferme maraîchère Frigon à Louisville!
C'est un peu mon hôte, c'est ma région, Louisville, Trois-Rivières, Charrette, St-Boniface, Shawi, let's go. Et lui, il est surpris. Pourquoi? Plusieurs maraîchers récoltent des produits plus gros et plus tôt qu'à l'habitude. En raison de la météo. Ah là, c'est la météo! Yeah! Bonne nouvelle! C'est pas le climat. Ben oui, le climat change, c'est sûr, ça a toujours changé. Ça a jamais été statique, ça a jamais été comme un décor de cinéma. C'est toujours en pleine mouvance, le cosmos. Et il nous le dit.
C'est excessivement rare comme situation. Excessivement rare. Tout ce qui est légumes racines. On parle d'une récolte jusqu'à quatre semaines plus tôt qu'à l'habitude. S'exclame. Ian Gordon, ça c'est un autre propriétaire de la ferme Les Potagers des Mains Nues. Drôle de nom.
Mais c'est pas grave. Il a les menus, donc lui a décidé de donner justement ce nom-là. Le maraîcher de Sautonne et son équipe mettent les bouchées doubles pour récolter les saleries raves, les radis melons, les ravioles, les carottes, les betteraves, qui ne sont habituellement prêts à être cueillis qu'à la mi-octobre. Il faisait beau! Il est tombé de bonnes quantités d'eau. Il y a eu une baisse d'activité des insectes avec la nuit fraîche. Il est heureux. Il est content. On le salue. Y'a pas de chialage et le climat vient nous récompenser. C'est-tu pas extraordinaire? Voici le top 3! Salut! Mon top 3 des nouvelles dont personne ne parle!
Personne ne parle! OK! Je veux parler des questions niaiseuses. Oui, on en a parlé.
On en a peu parlé par contre de la dernière question niaiseuse. Celle posée par une journaliste dans le vestiaire des Leafs de Toronto. Ça s'est passé au cours des dernières heures. Les Leafs ont perdu deux matchs hors concours. On s'en fout.
Mais y'a une journaliste qui a posé la question à Craig Berubé, le nouveau coach des Leafs. « Oui, oui, là, c'est pas justement lieu de paniquer, là, c'est 0-2, 0-2. » On le sait, y'a beaucoup de pression pour les Leafs. Sauf que la saison n'est pas commencée encore. Pis y t'as fait une face. Une crucifix de face.
dégoûté Craig Berube, mais il n'a pas, il n'a pas, je veux dire, il n'a pas, il n'a pas droppé les mitaines. Comme on dit, c'était quand même ça son métier. Il était pas vraiment pareil, Craig Berube. C'est un gars qui a mangé beaucoup de viande et beaucoup de volets au travers. Je ne sais pas si c'était où dans son assiette, les volets de la viande, les volets de la viande, il alternait les petits légumes, les petites légumineuses au travers. Mais ça, c'est une question niaiseuse. À l'origine des fake news, Il y a la question niaiseuse. La question niaiseuse est la mère des fake news. Parce que c'est avec une question niaiseuse qu'on ouvre la porte à la fabrication d'une fausse nouvelle. Je vais vous faire entendre ce qui a fait le tour pas mal cette semaine.
La question Jésus avec Duhem. Et je pense que l'appétit pour des politiques conservatrices au Québec, il est là. Croyez-vous en Dieu, M. Duhem? Écoutez, mes valeurs personnelles, je vais les garder pour moi. C'est une question qui se pose. Je vais pas à messe tous les dimanches, mais je respecte les gens qui croient. Personnellement, je ne suis pas pratiquant, je peux vous dire ça, mais je suis un catholique. Je suis culturellement catholique, comme à peu près la majorité des Québécois. Vous répondez pas à ma question. Mais oui, je viens de vous répondre trois fois.
J'ai dit que je suis un catholique culturel, mais que je ne suis pas un pratiquant. Mais êtes-vous athée? Je ne suis pas athée, je suis catholique culturel. J'ai été baptisé, et quand des gens meurent, je vais à l'église. Pourquoi vous ne répondez pas à ma question? Non, c'est parce que c'est la réponse... Parce qu'on n'a pas répondu à ce que je vous ai posé.
[00:05:34] Speaker B: — Pis vous, vous voulez pas répondre.
[00:05:36] Speaker A: — Mais je réponds, je vous dis que je suis un catholique culturel comme.
[00:05:39] Speaker B: La majorité des Québécois.
[00:05:39] Speaker A: — Oui, mais ça, c'est... vous me.
[00:05:40] Speaker B: Dîtes de quel... — C'est quand même.
[00:05:41] Speaker A: Que vous poseriez 20 fois la question, M. Lacroix, je vais répondre 20 fois la même réponse. — Et si on avait posé la question à Boissy de QS ou à... Ruba Ghazal, oui, croyez-vous, un Allah, Allah, est-il présent parmi nous, etc., c'est sûr que ça aurait fait le tour. Ça aurait fait le tour du Canada. Islamophobie! Ça n'a pas de bon sens, poser une question comme ça alors que, dans le fond, C'est l'équivalent pour un musulman de poser la question, ou un juif par exemple, croyez-vous que Dieu est ici? Croyez-vous que le Dieu de la Torah va se manifester?
C'est un peu grotesque, pensez-y deux minutes. C'est éminemment personnel. Mais on le sait, ça ouvrait la porte. Ça c'est une technique d'entrevue, la porte qui ouvre la porte vers une porte qui va s'ouvrir.
C'est ça la technique, c'est-à-dire si Éric, et Éric c'est un fait finaux, répond oui je croyais. Donc vous êtes d'accord avec le député conservateur de la Saskatchewan anti-avortement qui est parti dans un congrès évangélique En Floride, vous êtes d'accord avec, les deux sont croyants, etc., etc. On sait très bien où ça s'en va tout ça. Ça s'en va nulle part. Ça s'en va vers une fausse polémique bâtie, construite, artificielle sur l'avortement alors qu'il y a aucun débat sur l'avortement ici au Québec. Il n'y en a pas. Il n'y a pas de débat sur l'avortement. Et le Parti conservateur du Québec est un parti de fiscalité, un parti de petit gouvernement, un parti de baisse d'impôts et de dégraissage de l'appareil.
Mais je vous le dis là, la fabrication de nouvelles, son origine, c'est des questions niaiseuses et idiotes, comme la question Trump durant la dernière campagne.
Envers du M encore ! Croyez-vous vraiment que Trump a perdu les dernières élections ? Si lui se met à douter... Oh donc ! Les conspis, les conspis, les conspis... Vous voyez ? Vous voyez ? Numéro 2 ! Le golf et la subvention à 9 millions. Ce qui est grotesque là-dedans, c'est surtout le chiffre totalement fou de retombées économiques prononcées par la ministre du tourisme Proust. C'est exagéré. C'est complètement fou, mais regardez.
Si on se met à lire le cahier de charge de ceux qui vont bomber, quêter, c'est sûr qu'il y a toujours un peu de grévée, un peu beaucoup de grévée. Hein, regardez, on est essentiel. On en veut, et on en veut parce qu'on a de l'impact. Voici notre impact. Donc, vraiment, il n'y a pas d'objectivité là-dedans. Tu prends le cahier de charge, puis tu peux le prendre avec des pincettes parce que tu peux remettre en cause la méthodologie, justement, de ces organismes-là. Là, on parle de sport professionnel. OK, parfait. Donc, on parle d'entertainment.
On parle de plaisir, on parle de festival, ben voilà. Si on se met à faire de la polémique concernant les subventions, Pour le plaisir, donner à des professionnels du plaisir, avec un grand P, professionnels du sport, professionnels de la guitare, professionnels de la trompette, moi je mets tout ce beau monde là-dedans, ce sont des gens dont la profession a dégueillé la société. Et ça fait partie de ce qu'on appelle la culture, dans un sens très large, bien évidemment. Ce sont des professionnels.
On pourrait regarder peut-être du côté, tiens, de janvier dernier. Oh, regardons! 35 millions de subventions données à Évenco. Les petits festivals du Québec inquiètent de la domination du géant. Vous savez quand même, le gouvernement du Québec a donné 35 millions de subventions à la filiale Évenco du groupe CH.
Pourquoi on fait pas un tabac avec ça? Est-ce qu'on aurait peur d'épouvanter la belle gang? Certains groupes? Si on effarouche le CH, peut-être qu'on pourrait couper des accès. Oh, peut-être que le CH serait pas content. Peut-être que le CH pourrait monter au barricade. Peut-être que le CH pourrait appeler dans les hautes instances et dire «Oh, pickupez diffuseurs officiels du CH et tout.» Ce serait pas le fun, hein?
Mais il y a une vraie histoire là. Si on fait une vraie histoire à propos du 9 millions pour le golf, on devrait, à mon avis, faire une vraie histoire à propos des 35 millions octroyés à l'entreprise de Jeff Molson qui servent justement les intérêts de Live Nation, le géant mondial de la musique. Numéro 3. Et finalement au numéro 3, Guide de guerre. Je lis beaucoup de documents concernant la guerre, beaucoup de médias intéressants concernant la guerre, concernant l'armée, des publications comme c'est le Defense One, pour les gens qui s'intéressent à ça, pousser un peu plus loin. C'est au plan technique, c'est très très très intéressant et au plan stratégique aussi. Ça a vraiment passé sous le radar, mais le 21 septembre dernier, il y a un document qui a été mis en ligne par la marine américaine Et là-dedans, on raconte, c'est quand même un document très sérieux. C'est un document, en fait, le titre du document que vous pouvez trouver sur le web si ça vous intéresse.
Chief of Naval Operations Navigation Plan for America's Warfighting Navy 2024. Là, il y a un gros porte-avions. C'est signé par l'amiral Lisa Franketti. F-R-A-N-C-H-E-T-T-I.
33e chef des opérations navales. Elle a signé ce document-là d'une trentaine de pages. Et dans ce document-là, très détaillé, où on parle du projet 33, il y a des cibles à atteindre, justement, en termes de construction, en termes de rénovation également de la flotte, on dit 2027. The Chairman of the People's Republic of China has told his forces to be ready for war by 2027. Les autres, les Américains, dans le document, on mentionne que la Chine a été, comment je pourrais dire ça, a été orientée vers un objectif de guerre 2027. Et nous, les États-Unis, on doit faire de même et on doit augmenter notre capacité maximale de ship building. Très intéressant. Je ne vous en dis pas plus, mais ça a passé sous le radar. Oui, évidemment, avec la couverture concernant Hamas, Hezbollah, Israël, Ukraine, Russie.
On parle moins de ce genre de truc-là, mais c'est un document qui est public. Et si vous voulez pousser l'expérience plus loin, c'est un document qui est disponible sur le web. Et voici maintenant... Les Inclusives, mes amis! Entrez, les amis! Salut, salut! Simon, Simon, Simon. Ça va bien? Dans le bedon?
Oui! Bon. Ben, on a beaucoup parlé d'avortement cette semaine pis... Ça t'a fait peur? Ben, j'avais peur un peu.
[00:13:14] Speaker B: Ok.
[00:13:14] Speaker A: Parce que ma maman, en passant dans l'AIEUS, va me m'emmener...
T'es-tu bien qu'à penser que c'est-tu la balayeuse du docteur ou c'est la balayeuse de maman? Moi, je peux pas crier. Je suis dans un utérus. Fait que là, j'ai beau cogner, cogner avec mes petites mains, mais le placenta, ça rebondit. Mais je suis avec vous. Je suis encore vivant.
[00:13:40] Speaker B: Et je serai vivant pour l'éternité parce.
[00:13:42] Speaker A: Que...
Jamais je viendrai au monde. Jamais. C'est ça mes pouvoirs. Ne t'inquiète pas. Ne t'inquiète pas. Salut Bèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèè Ouais, avec Trudeau, la p'tite main molle. Ouais. La p'tite main molle avec Trudeau. Qu'a mis ce p'tit bas? Rose? Ben oui. Avec tes p'tits dinosaures. Ça c'est- C'est qu'un swell. Ton genre d'homme, ça. Oh-oh! Full alpha, pas à peu près. J'te l'ai ramené dans un jet, mais pas à peu près. Ah ouais? J'te l'ai engarroché dans une cage pour faire un peu de...
de circuit. Un p'tit training. Du bench. Un p'tit peu de bench. Des pipes. On les aurait masculinisés un peu. Qu'est-ce que t'en penses?
Très bon. Allô? Allô? Ça va bien? Salut Alain! Mais oui! Encore dans... Ça va très bien! T'es dans ton tube, ton bitube. Ça va très bien pis on s'en va! Tantôt parler de tunnel dans le living room.
C'est Ford, le premier ministre de l'Ontario qui est ma vedette du Living Room!
[00:14:57] Speaker B: Ouais!
[00:14:58] Speaker A: The Living Room! Bien sûr! The Living Room! Bien sûr!
[00:15:13] Speaker B: The Living Room!
[00:15:14] Speaker A: Ah, c'est du temps pour ça, hein, mon ami? Doug Ford, je sais pas ce qu'il a mangé. Qu'est-ce qu'il a mangé, Ford? Oh boy, oh boy, oh boy. Il a peut-être mangé du cheval. Il a peut-être mangé quelque chose d'encore plus protéiné. Peut-être des sauterelles. Quelconque chose. J'en sais trop rien. On le sait pas. Grosse semaine. D'abord, voici cet extrait concernant les sans-abris.
[00:15:41] Speaker B: C'est clair !
[00:15:41] Speaker A: Ah mon Bruce ! ASS ! Va travailler mon bruce! Get off your ass! Come on! I'll kick your ass! Come on, man! J'aime ça. Un petit peu de vulgarité. Dans le walkaroonie, c'est pas très très bien admis.
Il a dit ESS pour passer à TV, mais il en a rajouté d'autres également. Il a parlé des sauterelles, évidemment. Il faisait référence à des projets qui sont souvent retardés pour protéger la quenouille, puis la petite couleuvre brune, puis la sauterelle, la sauterelle, la picomauve, puis tout ça. C'est toutes des espèces, évidemment, qui veulent vivre.
Mais je veux dire, tant qu'à ça, on va sauver des fourmis, on va arrêter de se développer. Parce que tu peux être défenseur des fourmis. Et à ce moment-là, bien, il y a des fourmis partout. Évidemment, les puces aussi. Les puces, les micro-organismes. Ça prend quelqu'un pour défendre les micro-organismes. J'espère bien. Hé, la renette. Et le tunnel également! Alain! Oui! Il a dit qu'il voulait un tunnel! Yes! 55 kilomètres environ. Ça t'a allumé. Dans la région de Toronto. Ben oui. Ça va faire ça. Allô? Allô? Allô?
Il va le bâtir avant le troisième lien. Regarde ça, c'est complètement fou. C'est sûr que c'est de la which politics, question de foutre la merde et diviser l'opposition. Mais quand même, ce fut dit. Mais là, on parle justement de la nature, on parle quand même de la terre. Qu'en est-il de Greta? Qu'est-ce qu'elle devient?
Greta Gazza. Bien sûr. Donc elle est virée bout pour bout. Élevée par des parents radicaux. Elle était l'amie de la terre maintenant. C'est l'ennemi d'Israël, voilà. C'est Greta Thunberg. She joins the Palestinian call to boycott Chevron. Oh! C'est le double whammy! C'est le double whammy pour boycotter Chevron.
Because Chevron is fueling the genocide. Donc, on prend Chevron qui serait proche d'Israël, la cause palestinienne, je me déguise en palestinienne et le tour est joué. Mais la médaille d'or cette semaine c'est à New York. Stephen Crowder, québécois, il est né à Detroit, Il arrive avec sa maman, Greenfield Park, 3 ans, jusqu'à l'âge de 18 ans, il est à l'école au Québec. C'est un Québécois d'adolescence, a quitté le Québec, retourné aux États-Unis, déteste le Québec. Steven Crowder, vous le connaissez, sur différentes tribunes, il a son channel très occupé, très agelanté sur YouTube. Quel coup de génie! Il a eu la tête du Arruda, de la ville de New York. Je vous raconte, j'ai deux extraits là-dessus. D'abord, Jay Varma.
Lui était très proche du maire d'Iblasio. C'était le confineur en chef. Il faut confiner, il faut masquer, il faut interdire, il faut bannir, il faut fermer les restaurants. Ça prend le code QR. Ah, les terrasses, pas tout de suite à l'extérieur, parce que vous le savez, ça a évolué vers des terrasses extérieures. Il y a même des restaurants, beaucoup des restaurants de New York, qui ont conservé les terrasses extérieures. Ça, c'est un résidu du COVID chaud. Mais pendant ce temps-là, Il s'en voyait en l'air. C'est magistral ce qu'a fait Crowder. Pourquoi? Parce qu'avec ses alliés, des amis, je ne sais pas comment il en est arrivé à justement provoquer des rencontres one-on-one avec Jay Varma.
Mais Varma s'est mis à table et a raconté que pendant qu'il confinait le monde, pendant qu'il scrappait la vie des jeunes et la vie du public en général, lui s'envoyait en l'air dans des orgies qui mieux mieux. On écoute le premier extrait et on fera le tour ensuite. Ok, donc, violer les lockdowns draconiens que le reste de la population doit suivre pour une partie de sexe en masse, c'est de la chute sur moi.
Violer vos propres mandats draconiens, encore une fois, un an plus tard, quand vos règles permettent uniquement une réunion maximale de 50 personnes, pour que vous puissiez atteindre.
[00:20:56] Speaker B: Une fête de danse à l'abri de.
[00:20:57] Speaker A: Drogue, avec 4 fois ce nombre de personnes... Shame on.
Les officiers disent que les réunions continuent de jouer un rôle dans l'augmentation.
[00:21:04] Speaker B: Quand quelqu'un prévoit une grande fête, les.
[00:21:05] Speaker A: Officiers vous disent encore une fois merci. Je ne savais pas que j'allais pouvoir faire ce travail pour la ville si j'avais un moyen de bloquer tout ça. Est-ce que vous avez eu du mal si la ville de New York s'est rendue compte que vous avez des fêtes sexuelles pendant la COVID?
Et là, il se confie. Vous avez ce journaliste qui le... Ça, j'adore ça, ce genre de caméra cachée-là. Je sais pas pourquoi on fait pas ça au Québec. On l'a fait à quelques reprises avec J.E. un moment donné. Je sais pas si vous vous souvenez. Michel Jean concernant les pédos.
C'est la bonne approche. C'est la bonne approche à condition qu'on confronte à la toute fin l'individu. Et c'est justement ce qu'a fait Steven Crowder quand il l'a invité dehors sur une terrasse à New York où il l'a fait jaser et finalement Varma se rend compte qu'il s'est fait avoir. Il a avoué sa double vie. Et moi, le fait que ça envoie en l'air, j'en ai un peu rien à foutre. L'histoire est qu'il a confiné. C'est le gars qui a contribué à scraper la vie des New-Yorkais. C'est un peu comme Arruda ici, si vous voulez. Mais pourquoi on fait pas d'enquête publique? Il y a eu une enquête aux États-Unis où on a réussi à coincer l'ex-gouverneur américain.
Il y a eu un semblant de transparence, on peut le dire comme ça. Mais ici, qu'en est-il? Qu'est-ce qui s'est passé? Qui a rencontré qui, quoi, de quelle manière? Les bouteilles de vin? Les parties? Est-ce qu'on peut en savoir davantage?
Est-ce qu'on peut connaître le style de vie de ceux qui avaient un pouvoir quasi infini sur nous, un pouvoir arbitraire sur nous, sur nos enfants? C'est odieux quand on y pense que ce gouvernement-là refuse et refusera toujours, d'après moi, d'aller de l'avant avec une enquête. Il n'y en aura pas d'enquête.
Mais vous voyez là, ça c'est un volet, c'est une personne, et Steven Crowder l'a confronté, on écoute ça.
[00:23:09] Speaker B: Mais pourquoi ?
[00:23:10] Speaker A: Qu'est-ce qui se passe ici ?
[00:23:11] Speaker B: Ils ont été vaccinés.
[00:23:12] Speaker A: Les fêtes sexuelles. Vous avez eu des fêtes sexuelles quand.
[00:23:15] Speaker B: Vous êtes rentrés dans un hôtel.
[00:23:18] Speaker A: Tout le monde a eu un blessé. Le timeline est que c'était pendant la.
[00:23:20] Speaker B: Période où les gens.
[00:23:23] Speaker A: Étaient encore en confinement.
[00:23:25] Speaker B: Et puis il y avait des fêtes de danse.
[00:23:27] Speaker A: Plus tard, c'était en mai ou juin 2021, ce serait encore cinq fois plus long que tout le monde dans la ville était autorisé. Oui, donc quand la guerre s'est déroulée, et qu'ils se sont séparés, et qu'ils sont venus...
[00:23:36] Speaker B: Mais il commence à se pendre qu'il meurt.
[00:23:38] Speaker A: Ok.
Fait que là, il le confronte pis il dit, vous avez été responsable de nombreuses politiques qui ont scrapé la vie du monde. Mon oncle Steven Crowder, je vous ai démasqué. C'est absolument extraordinaire. C'est l'un des coups de génie de 2024. Je vais m'arrêter ici.
Parce que dans quelques secondes, on va rencontrer quelqu'un qui souffre du Parkinson. Et justement, cette semaine, quelle annonce? Brad Favre a annoncé qu'il avait le Parkinson. Donc je vais vous présenter ma rencontre avec Claude Lussier, très connu ici à Québec, ancien journaliste, ancien animateur de radio sportif, Claude Lussier, qui souffre Du Parkinson, il vient livrer son témoignage dans Moret le podcast. Sujets dont on ne parle pas assez.
Il y a de ces sujets dont on parle trop peu dans l'actualité et le Parkinson en fait partie. La maladie touche une personne sur 500 au Canada. Plus de 100 000 Canadiens vivent aujourd'hui avec le Parkinson et 6600 nouveaux cas chaque année au Canada. Claude Lussier, c'est un ancien de Radio X à Québec, et Claude Hall Parkinson et on le rencontre aujourd'hui. Allo Claude, merci de t'être déplacé en studio.
[00:25:19] Speaker B: C'est moi qui te remercie pour l'invitation Dominique.
[00:25:21] Speaker A: Claude, comment t'as su que t'avais le Parkinson?
[00:25:25] Speaker B: Ça a commencé par un tremblement du bras gauche lorsque je me suis... T'étais.
[00:25:30] Speaker A: En train de lire ton journal dans la cuisine?
[00:25:32] Speaker B: Dans la cuisine et soudain mon bras gauche a commencé à avoir des tremblements.
Et sur le coup, j'en ai pas fait de cas, mais depuis quelques temps, les gens remarquaient que j'avais changé. Ma démarche était plus lente. J'avais un caractère de cul. Excuse-moi.
[00:25:50] Speaker A: Si tu pétais des coches.
[00:25:51] Speaker B: Je pétais des coches. Et tout le monde voyait qu'il y avait quelque chose qui clochait, mais le seul imbécile qui s'en rendait pas compte, et surtout qui refusait de l'admettre, c'était moi.
[00:26:03] Speaker A: Tu te voyais?
[00:26:04] Speaker B: Ben, je le sentais, mais je voulais pas l'admettre.
[00:26:07] Speaker A: T'es allé voir un médecin?
[00:26:08] Speaker B: T'es allé voir un neurologue, et puis... la décision a été prise assez rapidement. Il a dit, M. Lussier, c'est plate, mais vous avez le Parkinson.
[00:26:22] Speaker A: Sur le coup... Hé, voyons donc.
[00:26:24] Speaker B: Sur le coup...
[00:26:25] Speaker A: Très de même.
[00:26:26] Speaker B: Ouais. Ben, il m'a regardé, il m'a fait faire quelques exercices.
Et quand je suis sorti de là, j'avais l'air d'un chien battu. J'étais défait, j'étais détruit. Et rendu à la maison, je me suis réfugié dans mon bureau et j'ai pleuré ma vie. Parce que...
Lorsque tu reçois le diagnostic de Parkinson, le premier sentiment que tu as, c'est un sentiment de honte. C'est plat à dire et je le constate aujourd'hui avec d'autres personnes qui l'ont. Pourquoi le sentiment de honte? Parce que sur le coup, d'abord tu ne connais pas.
Tu ne connais pas l'étonnant et aboutissant de cette maladie neurodégénérative, mais c'est que tu as l'impression à ce moment-là de dire, le regard des autres va être important parce que je ne veux pas avoir l'air du gars qui n'est plus capable de travailler, qui n'est plus capable de vivre, de faire ses activités.
Donc, ce qui entraîne le déni et le déni t'amène à demeurer caché dans le placard. Mais après, Après deux semaines, après le verdict, là j'ai décidé de sortir du garde-robe.
Mais mon épouse Sylvie, avec beaucoup de douceur à chaque jour, me disait, Claude, écoute, tout le monde le sait que tu es le père Kenton, va les voir, va les rassurer, et à ce moment-là, tu vas te sentir mieux.
[00:27:59] Speaker A: Tu faisais quel job à ce moment-là?
[00:28:01] Speaker B: Ben, j'ai mon entreprise, Plan de Match Communication, qui est une agence de publicité.
[00:28:05] Speaker A: Tu peux continuer?
[00:28:07] Speaker B: Oui.
[00:28:07] Speaker A: Tu peux continuer à travailler. T'es allé voir les clients, tu leur as dit, oui, j'ai le Parkinson, et je n'ai pas honte. T'as pas à avoir honte de ça, Claude.
[00:28:17] Speaker B: Non, mais c'est parce que...
[00:28:19] Speaker A: Mais on t'a connu sous un autre jour, peut-être plus actif, dynamique, etc. Mais t'as pas à être gêné de ça.
[00:28:29] Speaker B: Je ne le suis plus parce que...
[00:28:31] Speaker A: Mais tu l'as été.
[00:28:32] Speaker B: Je l'ai été. Écoute, ça fait 6 ans que, au moment où on se parle, que j'ai été diagnostiqué. Mais à un moment donné, je suis sorti du placard et je me suis donné une vraie rince en me disant, écoute, quand même que je me taperais la tête dans le mur, ça ne changerait rien la situation. Alors aussi bien L'accepter, malgré tout, puis de foncer. Puis là, à un moment donné, j'ai décidé de continuer ma vie comme si rien n'était.
[00:29:05] Speaker A: L'espérance de vie, 83 ans.
[00:29:06] Speaker B: Oui. Ben, il faut savoir, Michael J. Fox, Michael J. Fox a été diagnostiqué à 26 ans.
Au moment où on se parle Dominique, Michael G. Fox a 62 ans. Et bien sûr, il y a des moyens financiers pour avoir des entraîneurs personnels, avoir des soins à domicile qui sont de grande qualité. Mais au-delà de ça, Michael G. Fox a dit une parole qui moi m'a stimulé. On ne meurt pas du Parkinson. On meurt avec le Parkinson. Donc, l'espérance de vie est quand même présente. C'est pas comme si on t'annonce qui a été atteint de la SLA, de la maladie de Lou Gehrig, comme notre défunt ami Trump, Mario Hudon, a eu. Parce que quand le docteur a dit, M. Lussier, vous êtes atteint de Lou Gehrig, le countdown commence. Il te reste 5 ans maximum à vivre. Mario s'est rendu jusqu'à 4 ans. Donc, moi j'ai décidé, il m'a donné, de dire au Parkinson, j'ai dit.
[00:30:10] Speaker A: Tu.
[00:30:10] Speaker B: T'Es invité dans mon corps et dans mon esprit, sans être invité, alors tu vas m'écouter.
[00:30:18] Speaker A: C'est moi le boss.
[00:30:19] Speaker B: C'est moi le boss, pis je t'ai averti que je joue au hockey deux fois par semaine.
Puis si t'es avec moi, tu vas te faire une barre de cible en deux heures.
[00:30:28] Speaker A: Tu joues encore au hockey?
[00:30:29] Speaker B: Je joue encore au hockey. Et puis après ça, j'ai dit c'est pas fini. J'ai dit cet été, on va jouer au golf. Je sais que ça te fait suer de marcher quatre heures dans un décor merveilleux, mais je t'annonce en plus, c'est toi qui vas te donner le sac.
Fait que, je suis parti avec ça, et à un moment donné, je me suis dit, une journée à la fois, une année à la fois, puis au diable la maladie.
Puis c'est drôle, parce que tous les gens que je rencontre me demandent, c'est quoi le meilleur remède? Il y a-tu un remède?
Il y a des recherches qui se font actuellement, et qui s'en vont vers la bonne direction.
Mais le meilleur remède, même les médecins le disent, c'est l'exercice pour ralentir le processus. Ça ne guérit pas. Je ne me compte pas d'histoire, Dominique, mais il n'en demeure pas moins que lorsque tu fais de l'exercice une base régulière, tu mets les champs de ton bord pour ralentir le processus.
[00:31:33] Speaker A: Et là, t'es très impliqué dans des groupes de soutien. T'as une grosse activité. Je veux que tu nous en parles en fin de semaine. Il y a une grosse activité avec les gens qui souffrent de cette maladie-là.
[00:31:44] Speaker B: Oui, c'est ça. C'est le parcours Parkinson.
[00:31:47] Speaker A: Le parcours Parkinson.
[00:31:49] Speaker B: Oui.
[00:31:50] Speaker A: En fin de semaine.
[00:31:51] Speaker B: En fin de semaine. Dimanche, le 29 septembre, à la base de plein air de Sainte-Foy.
[00:31:56] Speaker A: Qu'est-ce que c'est?
[00:31:57] Speaker B: C'est une marche populaire, très familiale, de deux kilomètres.
Et les gens font des dons. Et jusqu'à présent, c'est l'activité qui est la principale source de financement.
[00:32:11] Speaker A: Est-ce qu'on donne assez d'argent? Est-ce qu'il y a assez d'argent dans la recherche? As-tu fouillé ce dossier-là?
[00:32:17] Speaker B: Oui.
[00:32:19] Speaker A: Beaucoup?
[00:32:19] Speaker B: Ça commence.
[00:32:21] Speaker A: On n'en parle pas assez?
[00:32:22] Speaker B: Non, on n'en parle pas assez parce que c'est quand même paradoxal.
Le Parkinson est la deuxième mélodie la plus répandue au niveau de la planète. La première mélodie la plus connue, évidemment, c'est Leisheimer.
Toutefois, au niveau de la recherche, il y a Parkinson Québec qui est le siège social à Montréal et prépare, et à laquelle j'ai participé, à l'élaboration d'une campagne de financement incroyable où on va aller chercher 5 millions pour la recherche. 5 millions sur deux ans.
[00:32:58] Speaker A: Cette année, sur deux ans.
[00:32:59] Speaker B: Oui.
[00:32:59] Speaker A: Donc... Qui fait la recherche?
[00:33:02] Speaker B: Ben, ce sont des chercheurs surtout... Surtout.
[00:33:04] Speaker A: Rattachés à quel hôpital?
[00:33:06] Speaker B: Attachés à l'Université Laval.
[00:33:09] Speaker A: Ok.
[00:33:10] Speaker B: Et je sais que... Est-ce que ça avance, Claude? Oui, c'est ça.
[00:33:15] Speaker A: Quoi de beau que ça avance.
[00:33:16] Speaker B: Si tu me permets, je vais mettre mes petites lunettes dedans.
[00:33:18] Speaker A: Ben oui, vas-y Claude.
[00:33:21] Speaker B: Dans la presse plus de samedi, il y avait un court texte, je vous résume ça. C'est que des chercheurs de l'université McGill qui ont identifié un médicament qui pourrait guérir les cas précoces de Parkinson. Travaillant sur des cellules humaines, les biologistes ont montré qu'une molécule isolée par la firme américaine Biogen permet de réactiver une protéine du cerveau appelée Parkin.
Donc, un mauvais fonctionnement de cette dernière provoque une accumulation de déchets dans le cerveau et entraîne la mort des neurones. Ça s'en vient. Je ne serai peut-être plus là, mais il y a une chose qui est sûre.
Tu sais que l'espoir est là. Il faut continuer à supporter. Et moi, je suis impliqué au niveau de Parkington Capitale Nationale, jeudi à l'appelage, comme vice-président.
[00:34:18] Speaker A: Ça t'aide le monde, mais en retour, t'as...
t'as de l'amour, tu te sens appuyé. Quand t'as une maladie comme ça et que tu perds ton rythme de vie normal, faut pas que tu sois isolé. Il y en a qui sont isolés, qui nous écoutent actuellement. C'est la pire chose à faire.
[00:34:34] Speaker B: Oui, effectivement. Faites pas comme j'ai fait de vous cacher dans le garde-robe pendant deux semaines. Mais ce que j'aime, c'est lorsque les.
[00:34:43] Speaker A: Gens... Qu'est-ce que t'as à leur dire aux gens qui souffrent?
[00:34:46] Speaker B: Ben, il n'y a jamais de situation désespérée. Et acceptez l'aide qu'on vous offre. Mettez de côté votre pudeur, votre amour propre, votre orgueil, appelez ça comme vous voulez.
[00:35:00] Speaker A: T'en avais-tu un peu, Claude? Oui. C'est ça qui a été le plus dur?
[00:35:06] Speaker B: Oui, honnêtement. J'ai eu de la difficulté à accepter l'aide, mais...
[00:35:12] Speaker A: Encore aujourd'hui?
[00:35:13] Speaker B: Ben beaucoup moins parce que j'ai cheminé. Mais tu sais, je dis aux gens, il faut aussi apprendre à rire. Il faut réapprendre à rire. Il faut avoir le sens de l'humour. Comme par exemple, au golf j'avais un élan arrière ultra rapide et dans mes meilleures années, je frappais peut-être 250 verres sur un coup de départ. Mais j'étais dans le bois ou dans l'eau. Maintenant, mon élan arrière est plus lent.
[00:35:44] Speaker A: Mais t'es plus précis.
[00:35:45] Speaker B: C'est ça. Je vais moins loin, mais je suis dans le fairway.
[00:35:49] Speaker A: Rends hommage à ta femme. Peut-être qu'elle va nous écouter, mais pas ici.
C'est tu elle qui a toujours été là. C'est ta meilleure amie.
[00:36:00] Speaker B: Ben là tu m'enlèves les mots de la bouche.
[00:36:01] Speaker A: Ben vas-y Claude. Vas-y mon Claude!
[00:36:04] Speaker B: Non mais Dom, Sylvie comme bien d'autres personnes qui deviennent par la force des choses des proches aidants. Je l'ai vu comment elle a réagi face à la maladie.
[00:36:20] Speaker A: Qu'est-ce qu'elle t'a dit?
[00:36:23] Speaker B: Je t'aime. Puis ça me suffisait.
[00:36:29] Speaker A: C'est l'amour inconditionnel, pis on va se battre.
[00:36:33] Speaker B: Oui, pis elle me dit souvent, si ça m'arrivait, je sais que tu serais là pour moi. Effectivement. Ce qui m'amène à parler rapidement des proches aidants. Les proches aidants, comme lorsque ça arrive dans un couple, Il n'y a personne qui est préparé à ça. Ça ne se donne pas à l'université.
[00:36:52] Speaker A: C'est un coup de poing en face.
[00:36:53] Speaker B: C'est un coup de poing en face. Et souvent, les gens doivent mettre leur carrière, leur vie professionnelle, leur vie sociale sur pause. Parce qu'être un proche aidant, c'est 7 jours sur 7, 24 heures par jour.
[00:37:10] Speaker A: Tu as des enjeux de revenus qui viennent avec ça.
[00:37:12] Speaker B: J'y arrivais, Dominique. Savais-tu que je voyais ça dans une revue scientifique?
il y a quelques mois, si tu prenais tous les proches aidants et les bénévoles qui s'occupent de quelqu'un, peu importe toute maladie confondue, d'un pacifique à l'autre, comme disait Piton-Ruel, il y a 52 milliards d'heures de bénévolat qui se donnent par année.
Et moi, j'ai rencontré des gens, des proches aidants en fin de semaine dernière et on m'avait invité à discuter avec eux autres parce qu'ils avaient justement entendu une de mes interventions sur les zones de choix dans l'émission de Jean-Claude.
Et la personne a parlé à une autre personne en disant, il faut que vous invitiez ce gars-là pour qu'il vous parle. Ça vaut combien un proche aidant?
Quand je regarde les sommes faramineuses qui ont été distribuées par le gouvernement de la CAQ depuis quelques années, je vais vous donner un exemple. Ce qu'ils ont donné en subvention NordVote, la cimenterie mécaniste, les autobus Ryan, et il y en a un autre que j'oublie, c'est juste ça là, c'est 8 milliards d'argent, qu'au lieu de donner ça à des entreprises qui ont des difficultés financières deux mois plus tard, moi je trouve ça aberrant. Qu'on me dise pas qu'il n'y a pas d'argent, mais il n'y a pas de volonté politique.
Parce que les proches aidants, quelqu'un qui est là régulièrement, c'est 24 000 par année. Puis il ne prend pas de ressources.
[00:39:01] Speaker A: À l'hôpital à ce moment-là. C'est la personne proche qui s'en occupe à ce moment-là. On évite des frais à la société. À ce moment-là, on devrait valoriser ce rôle-là.
[00:39:10] Speaker B: Bien, j'espère.
[00:39:12] Speaker A: C'est juste du blabla.
[00:39:14] Speaker B: Bien, c'est ça.
[00:39:14] Speaker A: C'est du blabla.
[00:39:15] Speaker B: Surtout lorsqu'il y a une campagne électorale.
[00:39:17] Speaker A: Mais là, ta femme, ta blonde, elle travaille-tu? J'imagine qu'elle doit...
[00:39:20] Speaker B: Elle travaille avec moi.
[00:39:21] Speaker A: Elle t'a partagé pour avoir un revenu?
[00:39:24] Speaker B: Oui, elle travaille avec moi au sein de...
[00:39:26] Speaker A: Dans ton agence?
[00:39:27] Speaker B: Oui, une multinationale qui compte deux personnes.
Donc, lorsqu'il arrive quelque chose, on est toujours là à prendre une décision.
[00:39:38] Speaker A: Absolument. Claude, le mot de la fin, comment on peut t'envoyer des messages, des messages d'encouragement, puis comment venir en aide aussi, peut-être contribuer pour la recherche, mais messages d'encouragement, on peut te rejoindre à quel endroit, Claude?
[00:39:52] Speaker B: Ben, à mon adresse courriel, tout simplement, c'est lucier, A commercial, plan de match, P L A N D E M A T C H, point C A, où je lis tous mes courriels et je suis toujours là pour aider les autres.
Il n'y a rien qui me fait plus plaisir lorsque quelqu'un est atteint du Parkinson et qui est démuni, puis qu'il se sent seul. Il m'écrit un mot, puis j'y réponds sans aucune hésitation. Ce que je dis aux gens atteints de Parkinson, ayez des projets. À court, moyen et long terme. Peut-être qu'on n'aura pas le temps de réaliser des projets à long terme, mais le projet à court terme, le temps que tu te consacres à ce projet-là, tu oublies que tu as une épée de Damoclès au-dessus de la tête.
[00:40:43] Speaker A: C'est quoi ton projet pour le reste de l'année?
[00:40:45] Speaker B: Mon projet, c'est la rédaction d'un recueil d'anecdotes sur mon parcours professionnel. Du moment où je suis parti du Montréal-Matin à 17 ans, en même temps qu'Albert Ladouceur à l'époque, pour aller travailler finalement à Chicoutimi, au journal Le Quotidien, par la suite CKRS Radio, Télé et CJRP, les dernières années des Nordiques de Québec.
[00:41:12] Speaker A: On va le lire! On lit ça l'an prochain, là!
[00:41:14] Speaker B: Ben là, Dominique, donne-moi le temps de l'écrire. OK. Honnêtement, c'est parce que... J'ai hâte.
[00:41:23] Speaker A: C'est un beau projet.
[00:41:24] Speaker B: C'est un beau projet parce qu'il y a des choses incroyables. J'ai vécu, honnêtement, quand j'ai quitté.
[00:41:36] Speaker A: Je.
[00:41:36] Speaker B: Ne pourrais pas dire que je tangue sacrément après la vie. J'ai à toute fin utile fait tout ce que je voulais faire dans la vie. Je voulais être journaliste de sport, je l'ai été. Je voulais faire de la radio, je l'ai fait. J'ai fait de la TV et j'ai eu l'expérience de lancer compte qui a été une expérience incroyable.
Et ma plus belle réussite, c'est... ma dernière année à la CGRP, avant que les patrons décident de faire les changements, c'est d'avoir sorti le scoop sur le retour de Michel Bergeron à Québec.
[00:42:13] Speaker A: Mais quand tu sors ça, tu reviens, là. On en reparle.
[00:42:17] Speaker B: Dominique, je vais te garder la primeur.
[00:42:19] Speaker A: Yes. Merci beaucoup.
[00:42:20] Speaker B: C'est moi qui te remercie.
[00:42:21] Speaker A: Merci.
[00:42:22] Speaker B: On t'aime, Claude. C'est apprécié. Je vous aime aussi.
[00:42:26] Speaker A: Un sujet dont on ne parle pas assez.
The Living Room. Bien sûr. The Living Room. Bien sûr. The Living Room. Et là, c'est mondial! Mondial!
Avec la mairesse Plante, bien sûr, qui s'intéresse pas beaucoup aux égouts, aux rues, aux routes. Ses poches, ses plates, vous le savez, elles ont un peu de relief quand même. Ceux qui font partie de l'élite municipale au Québec.
qu'on pense au maire de la Pâte en l'air ici à Québec, qu'on pense à Plante également, qui est quand même une prêtresse de haut niveau. Elle est supérieure dans la hiérarchie globaliste que notre maire à Québec, le maire de la Pâte en l'air, qui est en tournée actuellement, on le salue. Il est soit en Espagne, en Suisse ou en France, on le sait trop.
Mais la mairesse s'adressait au cours des derniers jours à un panel de l'ONU et on écoute ce que ça donne. Respect! Respect!
[00:43:38] Speaker B: Je pense qu'il y a réellement une.
[00:43:39] Speaker A: Volonté ici de pouvoir jouer pleinement notre rôle.
[00:43:42] Speaker B: Mais j'ai envie d'ajouter que de la.
[00:43:44] Speaker A: Même façon, pour nous, c'est une opportunité d'être ici. Je pense que les gouvernements supérieurs et les forces mondiales, si je peux dire, les instances internationales ont aussi une occasion à saisir.
et c'est celle de nous compter parmi des alliés durables. Parce que quand il est question en fait de... parce que j'ai envie de dire que le succès de la réalisation des ODD, quand il y a des grands changements qui sont mis de l'avant par les États, je pense qu'on peut mesurer le succès à la façon dont Ça s'implique comment c'est incarné dans la vie des gens. Dans les populations locales.
[00:44:21] Speaker B: Comment ces ODD-là se matérialisent.
[00:44:23] Speaker A: Et c'est là la force des milles. Mais sans être...
[00:44:27] Speaker B: C'est-tu quoi?
[00:44:27] Speaker A: Oui, Bruce. Frank. Je vais y aller avec quelque chose de gros. Je sens que tu veux réagir.
On est... on est tout oui, là. On est prêt.
Global Queen. Oh, shit.
Global Queen? Ça m'est venu en tête. Ok. Et tu sentais le besoin? La tante qui est à côté de moi là, moi je la regarde et je dis... Global Queen! Global Queen! En faisant des squats? Ah oui, des squats. Avec une barre de 250 livres. Très bon.
Je veux te faire entendre également Macron, mais connaît-il également de l'autre grand prêtre français, Macron le globaliste? Macron a très bien joué. C'est que, au fond, pour repousser le moment où sa détestation allait devenir.
Cette détestation par le peuple allait devenir un obstacle à l'exercice du pouvoir, il.
[00:45:29] Speaker B: A gavé les gens de subventions, il.
[00:45:31] Speaker A: A gavé les gens de dettes. C'est-à-dire que l'argent qu'il a déversé sur le pays pour le garder au calme et pour leur dire on vous interdit de sortir de chez vous et on vous interdit d'aller au concert si vous vous faites pas piquer, en échange on vous donne de l'argent pour que vous la boucliez. Ça a très bien marché.
Parce qu'au fond, les gens aujourd'hui sont.
[00:45:53] Speaker B: Gavés à la dette comme un cocaïnomane.
[00:45:56] Speaker A: A besoin de sa coque pour survivre.
Il y a un phénomène d'addiction à l'argent public. La coke, ouais. Maman, elle en prend du coke. Du coke? C'est du coke. J'en bois un petit péché du coke. Du coke zéro? Ouais. Quand elle regarde la TV, elle en prend du coke. En autant que ce soit du coke?
[00:46:21] Speaker B: Oui.
[00:46:21] Speaker A: Et non de la, hein? L'alphabéro et tout ça. Et tout ça, ce n'est pas égal. Moi, j'aimerais vivre dans une société égalitaire. Une société complètement égalitaire?
Comme la violence vient toujours du mimétisme d'appropriation, à ce moment-là, vous allez vous mettre sur la gueule de façon extraordinaire pour une queue de cerise.
[00:46:39] Speaker B: C'est-à-dire, plus la société est égalitaire, plus elle est violente.
[00:46:41] Speaker A: La recherche de la liberté amène toujours à plus de liberté, à plus de.
[00:46:46] Speaker B: Prospérité et à plus d'égalité.
[00:46:48] Speaker A: La recherche de l'égalité amène toujours à plus de pauvreté et à plus de violence.
[00:46:52] Speaker B: C'est un but qui ne peut pas être atteint.
[00:46:55] Speaker A: On vous dit la recherche de l'égalité, mais en fait, c'est de la jalousie. La jalousie, c'est le seul des sept péchés capitaux.
qui ne peut pas avoir de satisfaction objective.
J'pense aux aveux. Oups! Le confessionnal. J'me suis battu. Ben voyons. Le week-end dernier. Avec?
Avec une poubelle. Okéééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé Sa stratégie pour réduire la quantité d'ordures ménagères.
[00:47:28] Speaker B: Sous l'étiquette, il y a une puce. Tracer vos poubelles.
[00:47:32] Speaker A: On le passe ici. Vous faire payer chaque sac.
[00:47:36] Speaker B: Ou encore, diminuer le nombre de collectes. Mais est-ce réellement efficace ?
[00:47:44] Speaker A: Dans l'agglomération de Lunel, chaque habitation dispose d'une poubelle équipée d'une puce électronique.
[00:47:51] Speaker B: Ils approchent le bac dans le champ de lecture de l'antenne.
[00:47:54] Speaker A: La puce est lue par le système et du coup sera facturée en conséquence.
Ici, plus de taxes d'ordures ménagères, le.
[00:48:02] Speaker B: Citoyen paye à la levée, c'est-à-dire seulement lorsque le zéboueur collecte ses déchets.
[00:48:07] Speaker A: Pas de possibilités trichées. La possibilité qui existe et à laquelle.
[00:48:12] Speaker B: On est confronté de temps en temps, c'est les personnes qui s'amusent à découper les puces. Mais bon, on arrive à intervenir rapidement.
[00:48:20] Speaker A: Ça, ça s'en vient, mon cher ami. C'est le modèle européen. Ça s'en vient.
Est-ce qu'il y aurait, quelque part, une patte en l'air qui pensait à un système comme ça?
Les amis, poubelle à puce! 3,75$, 5,25$, ta poubelle est trop pesante, etc. etc. Wow!
Je veux te faire entendre quelle sortie incroyable. Ça aurait été qualifié d'une sortie raciste il y a trois ans à peine. Le PDG de la Banque nationale du Canada qui vient dire en pleine télé à Radio-Canada, ça dure une minute, qu'il faut réduire l'immigration, il y en a trop. Est-ce que vous trouvez d'abord que c'est urgent de ralentir le rythme d'entrée d'immigrants? Oui, puis je pense qu'il y a une prise de conscience. Le problème qui est arrivé, c'est que cette prise de conscience-là, ce qu'on a fait, c'est qu'on a annoncé des mesures pour 2025. Et ce que ça fait, c'est que ça a augmenté encore l'immigration cette année. Donc on le voit dans nos chiffres. Et notre économiste Stéphane Marion, ce qu'il a dit, c'est que la capacité de nos infrastructures, Nos services, le capital disponible, n'est pas au niveau du rythme de l'immigration. Alors, le message, c'était qu'on doit rééquilibrer ça. Et je pense que ce message-là, qui a été passé par nos économistes, a été très bien reçu.
[00:49:48] Speaker B: Donc réduire de moitié, comme le demande.
[00:49:50] Speaker A: M. Legault, vous êtes d'accord avec ça?
Oui, je pense que l'équilibre, on le voit à peu près, une immigration entre 350 et 500 000 pour l'instant pour le Canada. Puis est-ce que vous voyez que Justin Trudeau est en train de faire ça ou pas? Il a annoncé les mesures.
[00:50:05] Speaker B: Oui, mais...
[00:50:07] Speaker A: Les mesures s'en viennent.
Mais en ce moment, ce qu'on voit, c'est que l'impact, c'est que l'immigration est encore très forte au Canada. Et je veux finir avec...
Du love? Love. Ça va faire du bien, ça, mon Bruce. Dans la société, l'art d'embrasser se perd. C'est vrai, ça. On n'en parle pas assez, Bruce. Embrasser, c'est pas sortir la langue, puis de se promener comme si t'étais un serpent à sonnette, là. Non. Non, vraiment. Voici le love conseil à savoir bien embrasser.
[00:50:49] Speaker B: Je trouve que quand on embrasse quelqu'un, on devrait être très réceptif à la position de son corps et tout particulièrement de son visage. Alors dans ce Love Conseil, je vous propose d'abord de bien regarder et puis de poser délicatement les lèvres sur la bouche et commencer à faire bouger vos lèvres et pas immédiatement essayer d'introduire la langue parce que pour beaucoup ça peut être vécu comme une intrusion, une langue qui pénètre dans une bouche. C'est une intrusion et c'est déjà d'ailleurs un abus.
[00:51:17] Speaker A: Quand ce n'est pas consenti.
[00:51:19] Speaker B: Alors on peut ensuite murmurer quelque chose à l'oreille et puis embrasser le dessus de la lèvre.
Je crois que c'est vraiment important notamment lorsque l'on ne se connaît pas encore très bien parce que les premiers baisers C'est une manière d'être sur la même longueur d'onde et c'est vrai qu'avec un tout petit peu d'expérience lors des premiers baisers on peut savoir si on va avoir affaire à un amant qui nous conviendra ou pas. Donc allez-y doucement après avoir pris soin évidemment de vérifier votre haleine mais bon c'est toujours mieux de le dire.
Les petits mordissements ne sont pas forcément les bienvenus, c'est pareil. Il y a des gens qui aiment, il y a des gens qui n'aiment pas. Et puis surtout ne vous laissez pas emporter par votre enthousiasme. Et puis ce que je voulais vraiment signaler aux hommes, évitez les baisers baveux style escargot parce que j'ai encore jamais connu une femme qui aimait ça. Il paraît même que c'est signe des harceleurs sexuels. Alors ça je ne sais pas mais en tout cas les baisers baveux, franchement évitez.
Et puis, vous pouvez embrasser, mais n'hésitez pas à dire à votre partenaire, notamment à une femme. Et bien maintenant, si tu m'embrassais comme tu aimerais être embrassée, ce sera une belle manière de savoir ce qu'elle aime.
[00:52:29] Speaker A: L'amour ! L'amour ! Et on va se laisser sur une touche d'amour. Justement, on l'aime, notre ami Claude Lussier. Et Claude, tenait à enregistrer un slam, justement sur sa condition. Il a amené la feuille. Il est prêt à vous le livrer. Et je vous laisse avec Claude et son slam. Et à la semaine prochaine, mesdames, messieurs. Au revoir.
[00:52:55] Speaker B: Je suis un Parkinson bien ordinaire. Des fois, j'ai plus le goût de rien faire. Je fumerais du pot, je boirais de la bière. Je voudrais juste revenir en arrière.
Mais il faut que je pense à ma carrière. Je suis un vendeur populaire.
Ce soir, je passe aux aveux. Si vous saviez comme je me sens vieux. Je peux plus dormir, je suis malheureux. Quand je bouge, ça va un peu mieux. Mais Parkinson, c'est un petit vlimeux. Plus tu te donnes, plus il t'en veut. Quand je serai fini, pis dans la rue, mes prochains dents, je les aurai plus.
Je veux pas finir dans un mouroir, ne pas sombrer dans le désespoir.
Je veux pas de votre pitié, juste un peu de dignité.
J'aime mon prochain, j'aime mon médecin, mon neurologue, mon pharmacien. Peu importe le diagnostic, au fond la vie c'est un beau grand cirque. Des marées hautes, des marées basses, c'est une impasse et ça me dépasse. Je suis un naufragé de la santé, quand je crie c'est pour ne pas me noyer. Je veux être rescapé, faire face à la réalité. Vivre un quart d'heure d'amour et d'amitié pour ne pas être oublié.
Autour de moi, il y a l'angoisse, la peur, la faim et la misère. Qui viendra un jour nous libérer? Vous dire un au revoir rempli d'espoir. Par tous les dieux, je ne suis pas un branleux, je ne suis rien qu'un Parkinson bien ordinaire.