Episode Transcript
[00:00:02] Speaker A: Dans.
[00:00:09] Speaker B: Moray, le podcast cette semaine, Stéphane Lachance, comment ça va Stéphane?
[00:00:12] Speaker A: Bonjour Dominique, ça va très bien.
[00:00:14] Speaker B: Très bien. Une belle semaine pour l'homme à un marchand. Il n'a pas le choix.
[00:00:18] Speaker A: C'est incroyable. Le Nancy Gate. C'est quelqu'un, je pense qu'à tous les jours, il en rajoute, puis il en rajoute, puis il s'enterre.
[00:00:26] Speaker B: Il refuse de s'excuser.
[00:00:29] Speaker A: Le maire pense posséder la vérité absolue.
Il est dans sa chambre d'écho avec ses gens qui lui disent ce qui est bon, ce qui est beau. Il est en train de s'enterrer vivant. Pour nous autres, ce n'est pas négatif pour la prochaine campagne.
[00:00:43] Speaker B: Qui est dans sa garde rapprochée?
Est-ce que Gosselin fait partie de ça?
[00:00:49] Speaker A: Non, parce que même, je vais te dire Dominique, j'ai eu des échos que c'était peut-être pas assuré que Jean-François Gosselin soit appelé à représenter Québec Forte et Fière dans la prochaine élection. Oh!
[00:00:59] Speaker B: Ça va être dans ton parti?
[00:01:01] Speaker A: Non.
[00:01:02] Speaker B: Oh franchement, t'es pas inclusif!
[00:01:05] Speaker A: Non, moi, je suis franc et je ne change jamais d'idée. Ça fait cinq ans que j'ai les mêmes opinions. Puis ça, là-dessus, c'est le bilan que je vais apporter aux gens lors de l'élection du 2 novembre prochain. C'est une personne qui n'a jamais changé d'idée et qui va faire ce qu'il dit. Et c'est comme ça qu'on va vendre notre idée.
[00:01:20] Speaker B: Là, où vous en allez? Parce que là, on est virtuellement dans Saint-Valentin, ou presque. Ça commençait tard, malgré que les élections, c'était en novembre. C'est quand même pas non plus la fin du monde.
[00:01:31] Speaker A: Huit mois et une couple de jours.
[00:01:32] Speaker B: C'est ça.
Y'a-tu eu des discussions pour une fusion, pour former un parti anti-tramway? Parce que les gens n'en veulent pas. Ils veulent pas de tramway, avec roues, pas de roues, des dalles, pas de dalles, des fils, pas de fils, on veut rien savoir, ça nous intéresse pas. Peux-tu me parler des discussions que vous avez eues, toi pis Patrick Paquette, pis peut-être Donald Gagnon au travers, pis peut-être Sam Hamad? Je le sais pas. J'aimerais savoir l'heure juste.
[00:01:59] Speaker A: Aucun problème, je vais être très transparent dans ça. Nous, on a initié, on est très conscient que d'unir l'opposition, c'est gagnant, puis c'est de rassembler les forces versus une opposition claire face au meilleur marchand. Ça, c'est indéniable, c'est dans un monde idéal, c'est ce qu'on aurait voulu. Nous, on a commencé en juin 2023 à avoir des discussions avec les gens d'Équipe Priorité Québec, Patrick Paquette, Stéphane Melançon, la chef de cabinet, le responsable des communications, Frédéric Manger, même certains administrateurs du parti. On a eu aussi, pendant ce temps-là aussi, au même moment, on a discuté aussi avec, même peut-être un petit peu avant, avec Sam Hamad. On a eu 7 rencontres avec Sam Hamad. – 7?
[00:02:44] Speaker B: – 7 rencontres. – C'est du surplace.
[00:02:46] Speaker A: – Il y a du surplace en présentiel, puis on a eu des rencontres aussi par personnes interposées, où à ce moment-là, Demain Gagnon représentait Sam.
Et c'est sûr que nous autres, on était très intéressés à unir l'opposition. Je sais que vous êtes, des fois le matin, je ne vous cacherai pas, des fois je vous trouve dur quand vous parlez de ça, puis je vous comprends de l'extérieur. Envers qui?
[00:03:05] Speaker B: Envers quoi?
[00:03:05] Speaker A: Moi, je ne suis pas là d'imiter. Non, non, c'est ça, mais c'est parce qu'à un moment donné, je veux dire, moi, je vais toujours, j'ai toujours été comme ça dans ma vie. Ça fait 40 ans que je suis en affaire. Quand le chapeau me fait, je le porte.
Mais dans le cas présent, on a essayé, on a fait des compromis, mais Dominique, tu comprendras, puis tes auditeurs vont comprendre aussi, quand tu négocies, c'est du give and take. Tu peux pas tout garder pour toi, puis demander à l'autre de te donner. Qui voulait garder quoi? Rien de précis en tant que tel. Dans le cas de M. Hamad, où ça a accroché, parce que 85% des discussions qu'on a eues avec M. Hamad, on était d'accord, on était sur le même point de vue. Par contre, nous on expliquait à M. Hamad qu'on est un parti qui a été fondé juste par le nom de notre parti, Respect Citoyen.
[00:03:49] Speaker B: Toi tu veux pas abandonner ton parti et tu veux qu'Hamad ou d'autres ou n'importe qui d'autre fasse partie de ton parti.
[00:03:54] Speaker A: Moi j'étais très ouvert à ce que mon parti adhère avec peut-être d'autres organisations, mais c'est sûr qu'on doit demander l'aval de nos gens.
On a des membres, on est rendu à près de 900 membres, Dominique.
[00:04:06] Speaker B: Ils les ont dû consulter?
[00:04:07] Speaker A: Ben, on les a consultés au dernier AGA, pis les gens nous ont dit d'arrêter de discuter à gauche pis à droite, de nous concentrer sur la prochaine campagne, parce qu'ils ont vu qu'il n'y avait pas d'avancement. Alors, dans le cas de M. Hamad, ce qu'on a dit, tout simplement, Dominique, je suis un gars, j'ai 56 ans, je suis père de deux enfants, j'ai une business, je ne cherche pas à tout prix un travail. Si sa maman était capable de s'entendre avec, c'est sûr que je me serais tassé et j'aurais laissé la place. En fonction du fait que M. Ahmad, par contre, adhère à nos convictions. Mais je ne peux pas me dénaturer, je ne peux pas renier mes origines. Parce que sinon, je ne suis pas mieux que toutes les autres.
Alors c'est comme ça que la chose s'est faite.
[00:04:47] Speaker B: Tes origines étant un militant anti-tramway.
[00:04:49] Speaker A: Militant anti-tramway, puis quelqu'un en tant que tel qui veut, au départ, la priorité totale c'est d'écouter les gens, puis d'avoir l'appui des gens, puis leur approbation en fonction des différentes choses qui se passent au niveau du développement des affaires publiques. Donc, nous on a demandé à M. Hamad de venir rencontrer nos militants. Je ne pense pas qu'on a fait une demande déraisonnable.
[00:05:10] Speaker B: Est-ce que lui a refusé?
[00:05:11] Speaker A: Il a refusé. Il ne voulait pas.
Il ne voulait pas. Il ne voulait pas refuser. Je n'ai pas de raison pour te dire pourquoi il voulait refuser. Mais il n'était pas intéressé à rencontrer nos militants.
[00:05:19] Speaker B: – Qu'est-ce qui intéresse Sam Ahmad, selon toi? – Sam Ahmad... – Poses-tu la question à Sam Ahmad que si un jour on lui parle?
[00:05:27] Speaker A: – J'enlèverai jamais l'expérience de M. Ahmad. C'était quelqu'un qui était ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale. Il a fait quand même des bonnes choses pour la ville de Québec. La promenade Samuel de Champlain, même si c'était complété par la CAQ, c'est les plans de Sam Ahmad en tant que tel et son équipe qui ont été mis en œuvre. Ça, on va lui donner ça, puis Sam Ahmad, au niveau de son carnet d'adresse dans son cellulaire, il peut appeler quasiment n'importe qui au Québec. Je suis convaincu qu'il a le numéro de cellulaire de François Legault, puis il peut l'appeler de même, sans problème. Donc ça, il ne faut pas lui enlever ça. Par contre, je pense que M. Ahmad nous a dit, ou en tout cas nous a laissé entendre qu'il y allait pour un seul mandat.
Je pense que M. Hamad, ce qu'il veut, oui, parce que ça l'amènerait à peu près à 72 ans, qui est à peu près l'âge de M.
[00:06:10] Speaker B: — On est quelqu'un qui veut pas être élu. Moi, je trouve ça extraordinaire, personnellement.
[00:06:13] Speaker A: — Oui, déjà là, en partant. Puis deuxièmement, ce qu'il nous a dit, c'est que je pense qu'une des raisons principales qui le motive, je pense que M. Hamad est déçu de la façon dont il a fait sa sortie de politique. Ça a fini sur une mauvaise note.
[00:06:23] Speaker B: Puis il est resté à mer de ça.
[00:06:25] Speaker A: C'est ça. Il est resté à mer de ça parce que sa femme, de ce que j'ai pu comprendre, n'est pas très en faveur de son retour en politique. Mais je pense que M. Hamad veut refaire son image avant de quitter de façon définitive la politique. Je pense que c'est ça.
[00:06:36] Speaker B: Mais tassons Hamad.
[00:06:37] Speaker A: Oui.
[00:06:39] Speaker B: Toi et Patrick, ensemble, unis, anti-tramway, avec... Je sais pas si c'est Jacinthe Averelle. J'en ai aucune idée. J'ai pas parlé. Ça peut être toi, ça peut être lui. Mais mon point, c'est un front commun.
Pour faire un one-on-one, un contre un, un duel contre un marchand. Marchand qui veut un tramway. Je comprends qu'il y a Claude aussi qui en veut un. Mais une vraie voix unie en un petit tramway, il me semble, c'est pas compliqué à comprendre ça. Comment ça vous êtes pas entendus? Je comprends pas ça.
[00:07:11] Speaker A: Premièrement, on a eu des rencontres juste avant Noël. On a eu des rencontres avec Patrick et des administrateurs de chez Équipe Priorité Québec. Malheureusement, le point de vue de Patrick et d'Équipe Priorité Québec n'a jamais changé.
[00:07:27] Speaker B: C'est quoi?
[00:07:28] Speaker A: Je veux dire, eux autres, la seule façon, je vais résumer ça.
[00:07:31] Speaker B: Et c'est ta version.
[00:07:33] Speaker A: C'est ma version, mais c'est la version, ça pourrait corroborer par des autres personnes aussi. C'est que Patrick, la seule façon qu'il voyait l'unification de respect citoyen avec Équipe Priorité Québec, c'était par l'avènement d'une personne extérieure.
qui est Jacinthe Évarel, qui aurait unifié les deux parties, puis on serait allé de l'avant à ce niveau-là. Moi, je connais Jacinthe pour avoir travaillé avec elle en 2022.
[00:07:58] Speaker B: Parti conservateur.
[00:07:59] Speaker A: J'ai pas de problème, puis je suis ouvert à ça. C'est sûr que par contre, avant de dire un 100%, premièrement, j'aurais besoin de parler à Jacinthe, savoir comment elle voit les choses.
[00:08:10] Speaker B: Tu lui as-tu parlé ?
[00:08:11] Speaker A: Non, puis j'ai essayé, j'ai jamais été capable.
[00:08:13] Speaker B: Elle ne retourne pas ton appel ou quoi?
[00:08:15] Speaker A: Elle m'a répondu deux fois par Messenger, mais de vive voix, je n'ai jamais répondu. À la base, c'était Donald qui était notre personne contact. Puis Donald, comme tu l'as dit tout à l'heure, Donald était avec Sam Hamad. Donald a tourné les pieds à Sam Hamad parce qu'il considérait que Sam n'était pas clair au niveau du tramway. Il s'est envenu chez nous.
Il était content de s'en venir chez nous, il a même fait un discours devant nos bénévoles comme de quoi qu'on était des gens ouverts pis sympathiques. Et vendredi, il y a deux semaines, il nous a annoncé, juste avant de partir en vacances, qu'il avait décidé qu'il m'appréciait beaucoup, mais qu'il croyait plus en Jacinthe pis qu'il se collait à Jacinthe. Et il a quitté.
Donc, ça lui appartient. Ça m'a fait de la peine. Je ne le cacherai pas parce que Donald, c'est une personne très sympathique. Ça m'a fait de la peine, mais tout le monde a le droit à ses opinions et je respecte ça. Sauf que pour faire ce type d'union-là, bien, un, je dois parler à Jacinthe pour savoir comment elle voit les choses. Deuxièmement, moi, je sais que Jacinthe, dans certains secteurs, Celery, probablement Sainte-Foy, les dames de Celery, avec une femme qu'on voit à l'occasion à RDI. Je pense que son message pourra peut-être être plus porteur que le mien. Mais ça, j'aurais aimé ça qu'on en discute pour voir comment établir une stratégie. Malheureusement, je n'ai jamais été capable.
Pour Patrick, nous, depuis l'année passée, on a soumis des documents écrits avec des propositions pour faire en sorte de mettre en branle cette union-là. Puis Patrick m'a dit clairement à la fin du mois de décembre qu'il ne se voyait pas du tout travailler derrière moi.
[00:09:48] Speaker B: Et toi et Marc, vous avez décidé de ne pas fusionner.
[00:09:50] Speaker A: Ben y'a pas juste moi là, c'est l'ensemble des membres parce qu'on a présenté ça aux membres pis nous l'ont dit là. Alors pis quand on a annoncé en tant que tel que malheureusement ça sera pas possible, ben là Donald a décidé de quitter suite à cette décision là.
[00:10:02] Speaker B: Veux-tu être maire?
[00:10:04] Speaker A: Je suis prêt à prendre cette charge-là si c'est nécessaire, mais je ne le veux pas d'une façon absolue. Qu'est-ce que tu veux faire? Moi, je veux faire le ménage.
Dans le rôle. Dans le rôle. Actuellement, nous, on va conclure le leadership du parti à la fin du mois de février. Pour l'instant, je suis toujours le seul candidat.
[00:10:25] Speaker B: Non, le leadership est ouvert. N'importe qui peut se présenter?
[00:10:27] Speaker A: N'importe qui peut se présenter actuellement jusqu'à, je veux dire, encore deux semaines et demie là, facile, où est-ce que les gens peuvent se présenter.
[00:10:32] Speaker B: Avez-vous des indications, voire d'autres personnes?
[00:10:35] Speaker A: On a une personne qui milite au sein de notre groupe, qui s'est montrée peut-être intéressée. J'ai pas encore de confirmation, par contre, s'il va officialiser sa représentation. Mais c'est quelqu'un qui fait partie de notre gang, en tant que tel. Quelqu'un qui est économiste de formation. Mais c'est ce que je veux faire. Mais si, par contre, on me désigne pour être non plus à être seulement que le porte-parole média, mais d'être le représentant. Je vais y aller, j'ai pas peur d'y aller, puis je vais défendre mes idées, puis je vais défendre... bien, je vais défendre mes idées, mais mes idées sont les idées du parti. Et quand on parle... je comprends le principe de dissolution du vote, mais quand on regarde ça à froid, Dominique, vous avez Marchand, Villeneuve, Smith, ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça...
[00:11:16] Speaker B: Ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça...
[00:11:17] Speaker A: Ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça... ça...
Peut-être. M. Hamad, s'il se présente. Mais M. Hamad, je commence à avoir des doutes. Parce que là, s'il commence à avoir trop de chaleur, moi M. Hamad me dis à moi qu'il ne voulait pas être le deuxième Marc Bellemare.
Alors vous savez que Marc Bellemare était parti très très fort, les panneaux sur les autoroutes, ces choses-là. Puis il s'est aperîtité. Il va être prudent. Alors il va être prudent. Fait que si ça devient trop chaud, est-ce qu'il va vouloir se présenter? J'en suis pas convaincu. Puis le temps presse, là. Parce qu'actuellement, il n'y a plus vraiment de temps de former un parti à lui-même. Ça va être la coquille du parti de Patrick. C'est ça. Mais le problème, c'est que Saint-Maman nous a dit qu'il ne... On sait déjà que Steven Melançon veut travailler avec Saint-Maman. Oui.
Mais M. Hamad nous a dit qu'il voulait... Il était pas intéressé à travailler avec M. Paquette.
[00:12:02] Speaker B: Et Patrick veut se présenter conseiller.
[00:12:04] Speaker A: Il veut se présenter dans le Bourneuf. Il veut reprendre son ancien district. Mais M. Hamad nous a dit qu'il était pas intéressé à M. Paquette. Fait que je sais pas comment ils vont réussir ça. Pis c'est pour ça que je pense que Patrick, lui, sa candidate de choix, c'est Jacinthe Eve. Mais Jacinthe Eve, actuellement, elle est en réflexion. Et je sais que Jacinthe Eve a eu des discussions avec sa maman. Et cette rencontre-là n'a pas du tout bien été.
Et Jacinthe, si elle y va, elle y va pour la mairie, elle n'y va pas pour être conseillère.
[00:12:31] Speaker B: OK. Votre parti, à part parler du tramway, vous parlez de quoi? Parce qu'il faut gérer la ville. C'est quoi, mettons que moi, je m'en vais à ma boîte à malle, j'ai un pamphlet de ton parti. C'est écrit de quoi dessus?
[00:12:45] Speaker A: On va parler, entre autres, au niveau de la gestion. Je pense qu'il y a des gros problèmes de gestion à la Ville de Québec.
[00:12:50] Speaker B: Tu en mets combien dehors?
[00:12:52] Speaker A: C'est relatif, mais il y a des gens... C'est sûr que dans les 100 premiers jours d'une administration respect citoyen, il y a une analyse complète des gens qui occupent des postes décisionnels à la Ville de Québec.
[00:13:02] Speaker B: Va-tu faire un audit indépendant?
[00:13:04] Speaker A: Absolument. Puis le RTC, nous, on va même jusqu'à dire que ça prend des gens de l'extérieur pour analyser ce qui se passe au RTC, parce qu'un des postes où on perd le plus d'argent, c'est au RTC. Alors ça, il faut qu'il se passe quelque chose au RTC. Puis nous, on part du principe, je suis entrepreneur, on a beaucoup d'entrepreneurs dans le parti, Coûts versus bénéfices. Des affaires de Havelo qu'on perd 2 millions là, je m'excuse là, mais ça n'a pas sa place.
[00:13:27] Speaker B: Qu'on veut installer en banlieue.
[00:13:29] Speaker A: Mais non, c'est ça, Loretteville ça a été un flop, puis là on veut s'en aller vers Pointe-Sainte-Foy.
Havelo, un principe comme ça, comme était Bixi, c'est fait pour dans le vieux quartier.
[00:13:40] Speaker B: C'est ça.
[00:13:41] Speaker A: Puis il se permet...
[00:13:41] Speaker B: C'est des bétiques touristiques.
[00:13:42] Speaker A: Ben oui ! Honnêtement, il y a-tu quelqu'un qui va partir de Val-Belaire pour descendre à Québec avec un Havelo ? Ça n'arrive pas, ça pète de temps. Puis des A-Vélo à 11 300 $, je m'excuse là, mais j'ai des grosses interrogations.
[00:13:53] Speaker B: Pistes cyclables d'hiver, ça revole-tu?
[00:13:55] Speaker A: Ça revole parce que ce qu'on veut faire, en réalité, ça revole. Ce qui revole, c'est les bollards. On enlève les bollards.
[00:14:01] Speaker B: Oui. Ça prend du jour à déneiger.
[00:14:03] Speaker A: S'il y a des gens qui veulent sortir des vélos, les pistes vont être là, puis la charrue va le déblayer en même temps qu'il va déblayer la roue. Le problème qu'il y a actuellement au niveau des pistes cyclables, c'est l'échéance du travail qu'on doit faire. On doit envoyer un petit camion.
[00:14:15] Speaker B: Qui ont été éliminés quand même.
[00:14:17] Speaker A: Ça, les parkings vont se réinstaller, je te le garantis à ce niveau-là. Puis après ça, je vais te parler d'autres mesures concrètes. Je vais te donner des exemples. Je ne te donnerai pas tout mon programme aujourd'hui en scoop. Mais exemple, si on enlève les bollards, de cette façon-là, les gens qui veulent utiliser les pistes, ils les utiliseront. Par contre, la diminution des voies de circulation, ça, nous, on ramène les voies de circulation à l'état conventionnel. Ça, c'est sûr et certain.
Au niveau des pistes cyclables, à un moment donné, il faut voir aussi justement le coût versus bénéfice. Il y a des endroits où ça ne fonctionne pas. Loretteville, ça a été un fiasco. Je pense même qu'on pourrait regarder, dans d'autres villes américaines, je sais que tu voyages beaucoup aux États-Unis, je pense que Uber offre des services similaires avec des cycles. Ben c'est des choses comme celles-là qu'on va regarder. J'pense pas là qu'on peut s'associer, mais je regarde encore dernièrement là, j'veux dire, on a encore mis la ville là, mis 180 000 $ là, à la courroie des horticulteurs pour le grand marché. Ça fonctionne pas le grand marché là. Va falloir arrêter à un moment donné.
[00:15:13] Speaker B: Les...
Qu'est-ce que tu vas faire avec les grands marchés?
[00:15:15] Speaker A: C'est une bâtisse neuve. C'est une bâtisse neuve, mais justement, on va voir si... Il faut arrêter l'hémorragie. Qu'est-ce que je veux faire? Mon but, tu me demandes, qu'est-ce que tu vas faire? C'est arrêter l'hémorragie dans plusieurs départements pour dire, là, à un moment donné, ça suffit de tout le temps écoper, écoper, puis de mettre de l'argent. Le grand marché, je pense qu'il y a une analyse à faire.
[00:15:34] Speaker B: C'est clairement... Colliser, on démolit?
[00:15:36] Speaker A: Démolit.
[00:15:36] Speaker B: Au complet?
[00:15:37] Speaker A: Au complet.
[00:15:37] Speaker B: Il n'y a rien de patrimoine là-dedans.
[00:15:38] Speaker A: Puis on donne ça à un entrepreneur, puis en tant que tel, c'est lui qui va s'occuper des frais de démolition. Puis la seule chose que j'avais mis...
[00:15:44] Speaker B: — Ce qu'on fait sur le terrain.
[00:15:45] Speaker A: — Ben moi, j'en profiterais pour... Surtout, en plus, dans le sens de l'actualisation, moi, je ferais du logement social dans ce coin-là. Je pense que ce sera un bel endroit, puis... — Très grand terrain disponible. — Très grand terrain disponible, puis... Parce que le maire Marchand s'est vanté, cet automne, de dire que cette année allait être une année record avec... On avait donné 900 permis à la Ville de Québec.
[00:16:03] Speaker B: — C'est pas assez.
[00:16:05] Speaker A: — Mais c'est pas juste que c'est pas assez, Dominique. C'est que sur les 900, il y en a seulement 235, c'est du social.
C'est-à-dire, à un moment donné, on le connaît Bruno, il est toujours en train de jouer ses chiffres, et il joue toujours sur les chiffres, donc à ce niveau-là, il faut que ça change, puis il faut aussi aider... Je te donne un exemple. Tu me demandais qu'est-ce que vous allez faire. Pourquoi on a un problème présentement dans Saint-Roch-Saint-Jean-Baptiste, les commerces ferment, il y a plus de 19 commerces qui ont fermé leurs portes.
Pourquoi le jeudi-vendredi pis le samedi, jeudi-vendredi de 16h à 21h, pis le samedi de 9h à 15h...
[00:16:34] Speaker B: Les maudits par comète!
[00:16:36] Speaker A: Pourquoi ça serait pas gratuit?
[00:16:37] Speaker B: Les maudits par comète!
[00:16:39] Speaker A: Ça permettrait aux commerçants d'avoir un break pis d'avoir des gens... Des gens actuellement, lorsqu'ils me parlent, ils me disent «Moi j'y vois plus, j'suis pas capable de me stationner, pis c'est difficile pour le stationnement, alors je n'y vais plus.» Alors on peut aider nos gens de cette façon-là.
[00:16:51] Speaker B: Pis baisse de taxes?
[00:16:52] Speaker A: Baisse de taxes est officielle. J'veux dire, quand on a 160 000 $ qui est donné à la coop carbone, pour toutes sortes de... Écoute, y'a plein de programmes que ça va pas.
[00:17:02] Speaker B: Non, non, ça reva, là, on l'entend.
[00:17:04] Speaker A: Pis là, présentement...
Exactement. Puis là, présentement, je veux dire, moi, c'est ce que j'essaie aussi de faire. Premièrement, dans mon message, puis ça fait partie de nos objectifs, on veut aller toucher les gens de 24-45 ans qui, généralement, ne votent pas au municipal.
[00:17:18] Speaker B: Comment tu vas les faire sortir de la maison?
[00:17:20] Speaker A: Bien, on va leur parler en tant que telle de choses concrètes. Et les gens qui ne sont pas propriétaires, mais qui sont locataires, puis qui se pensent à l'abri de ça, je veux juste leur expliquer, puis ça, il faut que ça soit clair, que lorsqu'un propriétaire immobilier reçoit une hausse de taxes, 100% du montant est applicable sur le loyer immédiatement.
Il y a un pourcentage avec la régie du logement que tu ne peux pas augmenter à un locataire de plus que temps par année, mais si un propriétaire a 5000$ d'augmentation sur un bâtiment, il y a tant de logements, divisé par le logement, paf, ça se retrouve sur votre facture de loyer. Et ça, vous ne pouvez pas vous sauver de ça. C'est immédiat. Mais ces gens-là, il faut les conscientiser face à ça. Si vous allez présentement, si vous faites une recherche avec Tram Cité, Mes amis de Québec Mérite Mieux, encore là, ça te montre l'amateurisme du projet, pis j'y vais par la barne, du projet de tramway pis de la caisse de dépôt. Ils ont lancé un projet Tramcité, mais ils ont pas protégé le nom. Québec Mérite Mieux, ils l'ont acheté le nom. Tramcité, si vous tapez Tramcité, vous tombez sur la page de Québec Mérite Mieux.
Si vous allez sur la page de Québec Mérite Mieux, il y a un indicateur.
[00:18:24] Speaker B: Il y a un ancien groupe de Donald Charrette.
[00:18:26] Speaker A: Oui, Donald Charrette, Doris Chabot, c'est ça, Jean-Pierre Dussault, tous des gens extraordinaires. Donc, si vous allez sur leur site, il y a un indicateur, un exemple, un taux de taxe moyen de 3 000 $. Vous allez sur l'indicateur, vous indiquez ça, avec, pas le projet total, la première phase du tramway.
[00:18:44] Speaker B: Ce que veut financer le GO?
[00:18:46] Speaker A: C'est 2 000 $ de plus de taxes.
[00:18:48] Speaker B: Ah oui.
[00:18:49] Speaker A: On monte à 5 000. Je ne savais pas ça.
C'est de l'argent.
[00:18:53] Speaker B: Le site internet n'avait pas protégé le nom.
[00:18:56] Speaker A: Non, ils n'ont pas protégé le nom et ils l'ont acheté. Tu me l'apprends.
[00:19:00] Speaker B: Dans ta stratégie, tu sembles avoir du contenu organisé. Vous avez fait une première rencontre d'une assemblée qui était impressionnante. En fait, Donald Sharif était là.
[00:19:10] Speaker A: Oui, on était bien content qu'il soit là.
[00:19:11] Speaker B: Est-ce que tu conviens que tu as un déficit de notoriété?
[00:19:14] Speaker A: Absolument. Absolument. C'est la raison pour laquelle on a engagé récemment Véronique Gagnon, qui est l'ancienne personne qui était responsable des communications médias avec le PCQ durant la campagne de 2022. Donc c'est son mandat de nous aider. Elle a le... Je vais dire, ça va trahir mon ange, mais elle a le cardex de tous les numéros de téléphone des journalistes. Donc on va...
[00:19:34] Speaker B: Toi, veux-tu faire des changements dans ton style, dans ton approche, Tu conviendras que t'es un peu un goon, un peu, dans le style. Non, non, mais t'es le goon du tramway de Québec.
[00:19:48] Speaker A: Il faut que je sois... T'es conscient.
[00:19:50] Speaker B: De ça, quand même.
[00:19:51] Speaker A: La phrase que j'ai toujours en tête... Hulk. Cool. Il faut que je sois cool, parce que je sais que...
[00:19:55] Speaker B: Mais tu l'avoues, là.
[00:19:56] Speaker A: Oui, oui. Pour certaines personnes, quand je m'en porte, quand je m'enflamme, ça fait peur. J'en suis conscient.
[00:20:02] Speaker B: Tu t'es comparé à un gladiateur ou.
[00:20:03] Speaker A: Je sais pas quoi, là. Un spartiate.
[00:20:05] Speaker B: C'est ça, là. C'est ça, ça...
Oui, mais il y.
[00:20:08] Speaker A: En a d'autres, par contre, ça leur fait plaisir.
[00:20:09] Speaker B: Oui, oui, je le sais. Mais en même temps, c'est Lano, Bruno, puis il n'y a personne de parfait.
[00:20:12] Speaker A: On doit être là pour tout le monde.
[00:20:13] Speaker B: Oui, oui, c'est ça. Mais dans le style, je conviens.
[00:20:15] Speaker A: Je ne suis pas parfait. Je veux m'améliorer. Puis regarde, aujourd'hui, tu remarqueras, je ne suis pas venu te voir en t-shirt.
[00:20:19] Speaker B: Oui, tu as une belle jubileuse fleurie.
[00:20:21] Speaker A: C'est ça.
[00:20:21] Speaker B: C'est hors saison un peu, mais remarque que je ne donne pas de leçons moi-même.
[00:20:24] Speaker A: Je m'habille en conséquence, en fonction de la fonction que je prévois vouloir présenter.
[00:20:30] Speaker B: Mais c'est quoi la stratégie de communication, justement, avec Véronique?
[00:20:34] Speaker A: La stratégie, premièrement, c'est de, là, à partir du 23 février, on a loué 6 salles communautaires dans tous les districts de la ville de Québec, où on va éviter les gens à venir nous rencontrer, membres ou pas membres, on offre le café, et de 9h à midi, les gens vont être invités à venir nous voir, ça va être publicisé, et à ce moment-là, les gens vont pouvoir venir nous poser des questions, puis on veut écouter aussi ce que ces gens-là ont à nous dire sur leur milieu de vie, c'est quoi les héritants, qu'est-ce qui a été amélioré dans leur quartier.
On va faire aussi appel, puis je te le dis, ça je vais te donner une primeur là, à partir du mois de mars, on a une boîte de communication qui va travailler avec nous puis qui va travailler sur notre image. Donc ça, ça va faire partie de la stratégie de communication. On est conscient qu'on doit se faire plus comme être, on est effectivement très connu.
[00:21:16] Speaker B: Êtes-vous barré par certains médias?
[00:21:18] Speaker A: Ben actuellement, oui. Pourquoi?
Ça, je ne pourrais pas te donner de réponse, mais moi, il y a un journaliste du Journal de Québec, que je n'en nommerai pas pour ne pas lui faire de tort, mais c'est un journaliste qui écrit tous les jours dans le journal, qui m'a contacté pour me dire que lors d'une activité où on avait convié les journalistes à être présents, il m'a dit qu'on m'a refusé la possibilité d'aller couvrir votre événement.
[00:21:40] Speaker B: — Ben voyons donc!
[00:21:40] Speaker A: — Oui, oui, tout à fait.
[00:21:41] Speaker B: — Censure!
[00:21:42] Speaker A: — Par la personne qui fait les affectations.
[00:21:44] Speaker B: — C'est de la censure.
[00:21:45] Speaker A: — Et cette personne-là, ses lettres commencent par K et G. — Oh oui.
[00:21:49] Speaker B: Mais c'est de la censure pour vrai.
[00:21:50] Speaker A: C'est de la censure.
[00:21:51] Speaker B: C'est cancel culture, t'existes pas.
[00:21:52] Speaker A: Non.
[00:21:53] Speaker B: Parce que t'es venu à Radio Wix.
[00:21:55] Speaker A: Ben écoute, Radio Wix... T'es trop proche.
[00:21:57] Speaker B: De Radio Wix alors que dans le fond c'est la première fois cette année en passant qu'on se parle.
[00:22:02] Speaker A: Oui, effectivement. Puis ce matin, je veux dire, mercredi dans votre émission Dominique. On critique, puis Dan Grevel t'a critiqué. Dan il m'a varlopé. Oui, on se gêne pas. Les gens qui disent qu'on coache pas les copains, c'est pas vrai. Dan il a varlopé. Oui.
Je respecte son opinion, même si je ne la partage pas.
[00:22:20] Speaker B: Oui, mais il faut que tu encaisses.
[00:22:22] Speaker A: Oui, oui, mais je sais.
[00:22:23] Speaker B: Il n'y a pas de problème pour ça. Jean Lapierre disait qu'il fallait partager les baffes.
[00:22:27] Speaker A: C'est correct.
[00:22:28] Speaker B: Ça a l'air que c'était à ton tour.
[00:22:29] Speaker A: Mais c'est la même chose au niveau de vos collègues.
[00:22:31] Speaker B: Mais ça, je reviens là-dessus quand même. Ça, c'est carrément de la cancel culture. C'est d'identifier quelqu'un et de dire que cette personne-là n'existe pas.
C'est grave un maudit!
[00:22:42] Speaker A: On nous a dit, pis ça c'est vos collègues...
[00:22:44] Speaker B: Québécois!
[00:22:45] Speaker A: Québécois, mais Cogéco, quelqu'un de chez Cogéco, vos collègues, qui nous a dit... Non.
[00:22:49] Speaker B: C'Est pas des collègues, c'est des compétiteurs.
[00:22:51] Speaker A: Compétiteurs, entre autres. Ils nous ont dit qu'il fallait qu'on devienne plus mainstream.
[00:22:57] Speaker B: Ont-Ils raison?
[00:22:58] Speaker A: Ben je pense qu'on est... moi je veux dire je viens à choix, je vais à boulevard voir votre ancien collègue Marceau, je vais voir Jeff sur Radio Pirate, je collabore occasionnellement à certains directs avec Samuel Grenier, je veux dire moi je vais, je suis déjà allé à Radio-Canada à quelques heures, je te dis pas que je vais à Radio-Canada à toutes les semaines, mais je suis déjà allé, ils m'ont déjà invité, Peu importe le média. Émilie Pelletier est déjà venue faire une entrevue avec moi. Il y avait quelqu'un du Soleil qui était, en passant, je vais partager une autre petite anecdote. Lorsqu'on a fait notre AGA, il y a 140 personnes qui se sont déplacées pour venir un dimanche à notre AGA.
[00:23:35] Speaker B: Quand même, oui.
[00:23:36] Speaker A: Puis, il y a un journaliste, j'ignore, mais du Soleil qui est venu couvrir l'événement et qui a fait une entrevue avec moi et Marc, Marc Roussin.
[00:23:44] Speaker B: Oui, c'est correct.
[00:23:45] Speaker A: Mais ce que je veux te dire, c'est qu'il y a sorti un papier qui était très honnête dans le Soleil. On était bien contents. Je peux te dire que le lundi matin, par contre, quand on est revenus, l'article était encore là, mais il manquait des bouts. On avait fait des petites corrections au niveau de... J'imagine que l'équipe régulière était arrivée. Mais Émilie Pelletier du Soleil, j'ai déjà fait une conférence de presse où, malgré qu'on avait invité tout le monde, deux journalistes seulement se sont pointés. Gary Dechoit et Émilie Pelletier du Soleil.
[00:24:10] Speaker B: Qui a été pire, entre la bombe et Marchand?
C'est sûr que c'est biaisé parce que la bombe est restée très longtemps.
[00:24:18] Speaker A: Oui, mais malgré tout ça, moi les deux premiers mandats de Régis Labon, j'ai rien à dire. Je pense que là-dedans, il était sur le target. C'est à partir du moment où il a déraillé et surtout après l'élection de 2017 où il a viré les talons en fonction du fait qu'il disait qu'il n'y aurait jamais de tramway. Puis moi dernièrement, J'ai parlé à quelqu'un qui a travaillé pendant 42 ans à Ville de Québec, puis qui m'a dit que pendant la campagne électorale de 2017, quand Régis disait qu'il n'y avait pas de question pour le tramway, il y avait déjà des gens à Ville de Québec qui travaillaient sur le tramway.
[00:24:46] Speaker B: Ah oui, il a menti.
[00:24:47] Speaker A: Il a fait ça. Moi, à mon sens actuellement, quand on revoit toute la débandade de ce qui se passe, puis encore avec ce qui s'est passé au Conseil de ville...
[00:24:53] Speaker B: L'arrogance.
[00:24:54] Speaker A: L'arrogance, puis l'histoire. Je pense que Marchand est pire que Régis Labeaume. Mais ça, t'sais...
Bruno Marchand... Pourquoi il est comme ça?
[00:25:06] Speaker B: Était-il comme ça? Est-il devenu comme ça? Et s'il est devenu comme ça, c'est la faute de qui et de quoi?
[00:25:13] Speaker A: Je pense qu'il s'est fait avaler par la machine.
Je pense que Bruno Marchand, lorsqu'il s'est présenté en 2021, il s'est présenté avec probablement des bonnes intentions. Ou c'était Mister Nice Guy. Il parlait bien, il s'exprimait très bien. Des trois candidats qui étaient là, c'est celui qui s'exprimait le mieux. Puis il était nice. J'ai entendu des entrevues qu'il a faites avec toi durant ça, puis il en avait faites avec d'autres. À ce moment-là, je pense que Jeff était...
[00:25:34] Speaker B: Je retournerai toujours à l'audio.
[00:25:36] Speaker A: Il disait, écoutez, on ne peut pas aller de l'avant avec un projet comme le tramway si on n'a pas l'acceptation sociale. En débat à Radio-Canada avec l'anchorman de Québec, Bruno Savard, il a dit, on vous apprend que la compagnie avec qui vous traitez met là des scandales. Qu'est-ce que vous faites? J'annule. C'est ce qu'il a dit. Cette compagnie-là, c'est toujours la même actuellement, qui est encore dans les dessins du tramway. Donc, moi, je pense que lorsqu'arrive une nouvelle administration, puis ça, ça va être une priorité pour respect citoyen, on doit nommer des personnes qui ont la même.
[00:26:06] Speaker B: Philosophie pour les... — Bon, mais qui sera ton DG?
[00:26:08] Speaker A: — Bien, moi, je dois te dire que j'ai un fantasme, et les gens ne seront pas tellement surpris, puis on se parle beaucoup, puis je n'engage à rien. — Ça va mal?
[00:26:19] Speaker B: — Non.
[00:26:19] Speaker A: Mais on parle beaucoup avec Bruno Labrecq et j'aimerais beaucoup avoir Bruno Labrecq comme directeur.
[00:26:23] Speaker B: Renaud, tu veux dire?
[00:26:24] Speaker A: Renaud Labrecq comme directeur général d'AVG.
[00:26:26] Speaker B: Tu parles à Renaud Labrecq?
[00:26:27] Speaker A: Absolument.
[00:26:27] Speaker B: De façon régulière.
[00:26:28] Speaker A: Tu parles à Radio X, là. Ah oui, absolument. Absolument.
[00:26:30] Speaker B: Comment tu le trouves, Renaud Labrecq?
[00:26:31] Speaker A: Je le trouve excellent.
Renaud, il ne peut pas se faire attaquer.
[00:26:34] Speaker B: Pas-t-il le coffre d'un... Ah oui, non.
[00:26:36] Speaker A: Il a les compétences pour ça. Il n'y a pas de problème. Il n'y a aucun problème à ce niveau-là. Pis tant mieux s'il a appris d'une langue.
[00:26:41] Speaker B: Est-ce possible que tu aies une entente avec lui?
[00:26:43] Speaker A: Ben écoute, ça restera... Là, je veux pas l'engager dans rien. La balle est dans sa cour. Nous, on est intéressés.
[00:26:50] Speaker B: Lui, l'est-il?
[00:26:51] Speaker A: En tout cas, il entend beaucoup parler de nous. Il m'a le confirmé. Puis on échange beaucoup sur des conversations privées ensemble sur différents enjeux où il trouve que ce qui se passe à Québec, ça n'a pas de bon sens.
[00:27:02] Speaker B: Ça ferait quel style de DG?
[00:27:04] Speaker A: Ça ferait la rigueur qui s'installerait à Québec. C'est ça. Nous, on veut faire...
et je ne veux pas faire de parallèle avec ce qui se passe aux États-Unis, mais on veut nettoyer. Je pense qu'il y a des gens, malheureusement, qui sont présentement en politique municipale, des gens de qui on a parlé il y a quelques instants, ça fait depuis 2005 qu'ils sont là et il n'y a rien qui a changé.
[00:27:24] Speaker B: Qui tu veux mettre dehors?
[00:27:26] Speaker A: En partant, Luc Monty n'a plus sa place à la Ville de Québec.
[00:27:29] Speaker B: À part Mike Dérivien.
[00:27:31] Speaker A: Marc Desrivières, Luc Monty, c'est des gens d'une autre époque, d'une autre philosophie.
[00:27:35] Speaker B: Tu donnes des packages.
[00:27:36] Speaker A: Oui, non, exactement. Nous, on veut rencontrer des gens, puis je le ferai pas seul. Nous, on a des gens dans notre équipe. Là, présentement, Dominique, pour ton information, pour les gens qui pensent des fois que respect citoyen, c'est des coucous, on a 18 candidats sur 21. On est en janvier, en février, là.
[00:27:52] Speaker B: Des candidats qui t'ont dit oui.
[00:27:54] Speaker A: Exactement. Puis des gens qui ont des CV, là. On a des gens dans le domaine du droit, de l'arpentage, arpenteur-géomètre. On a des gens qui sont ingénieurs en automatisation. Je peux dire qu'au niveau de la fluidité et de la coordination des feux de circulation, là, on a le candidat Éric Guay. On a le candidat parfait pour régler ce problème-là. On a un ancien élu de l'Assemblée nationale.
[00:28:14] Speaker B: Qui est-il?
[00:28:16] Speaker A: Pour l'instant, je vais attendre qu'on le présente, mais on en a...
[00:28:19] Speaker B: Après ça... Pas toujours gage de qualité. Jean-François Gosselin l'a été.
[00:28:22] Speaker A: Oui, effectivement. Non, mais c'est pas nécessairement Gosselin. Mais c'est parce qu'on voulait quand même, lorsqu'on était en train d'écrire... Dis-donc que c'était Éric Caire. Non.
[00:28:29] Speaker B: Non, c'est un ancien. C'est pas un actuel que tu veux dégommer.
[00:28:32] Speaker A: Si tu saurais le nombre de personnes de l'appel-tri qui m'écrivent encore de façon régulière en disant Colin, qu'on a manqué à ça.
[00:28:38] Speaker B: Comment est-ce que t'es allé perdre ça?
[00:28:40] Speaker A: Parce que tu te retrouves devant moi.
[00:28:41] Speaker B: Parce que t'as perdu contre Éric Caire.
[00:28:43] Speaker A: Oui, exactement.
[00:28:44] Speaker B: Ne t'en déplaise.
[00:28:45] Speaker A: Mais premièrement, j'ai quand même fait le cinquième meilleur résultat des cent... des cent vingt-cinq.
[00:28:50] Speaker B: Oui, mais good guys finish last.
[00:28:51] Speaker A: Oui, ok. Mais écoute, c'est vrai.
[00:28:53] Speaker B: Je te tire la pipe.
[00:28:54] Speaker A: Mais ce que je veux dire, c'est...
[00:28:55] Speaker B: Ça c'est incompréhensible qu'on ait réélu Éric Caire.
[00:28:56] Speaker A: C'est ça. Puis je fais quand même partie, Dominique. Oui.
[00:28:59] Speaker B: C'est incompréhensible. Moi je le comprends pas ça.
[00:29:01] Speaker A: Je vais te l'expliquer, moi.
[00:29:02] Speaker B: Oui.
[00:29:03] Speaker A: Je fais partie des deux seuls candidats du PCQ, même pas Éric.
Deux seuls candidats, Bellechasse et moi, à avoir eu notre face à Radio-Canada avec Patrice Roy, en tête, dehors son comté. Et si tu saurais l'énergie qui s'est dégagée de mon bureau pendant ce 5 minutes-là, c'était incroyable. Il y a une mairesse qui fume.
[00:29:20] Speaker B: Mairesse le temps d'une cigarette.
[00:29:22] Speaker A: Oui, aussi.
[00:29:23] Speaker B: Le panel, très bien.
[00:29:25] Speaker A: C'est une question générationnelle. Tout le haut du comté, Saint-Gabriel-de-Valcartier, Shannon, Val-Bélair.
[00:29:31] Speaker B: Là où on était à ton rassemblement, Shannon, c'est très jeune.
[00:29:34] Speaker A: C'est ça, des jeunes familles. Écoute, il y a des pôles de vote dans Saint-Gabriel et dans Shannon qui ont voté à 100% pour moi. 0,80% pour moi.
[00:29:43] Speaker B: Mais en bas, c'est Jacques et Louise.
[00:29:44] Speaker A: C'est ça, mais ce qui est arrivé, c'est qu'on a commencé à ouvrir les bulletins de vote de ces cases-là, ce qui m'a fait prendre l'avance. Mais quand on a commencé à ouvrir les bulletins de l'ancienne laurette, où là, les gens plus âgés avaient voté, c'est là où il m'a rattrapé. Et là, il s'est bâti une espèce de 2000 voix de différence. Et je continuais à monter, mais lui aussi au même rythme. Alors j'ai jamais été capable de le rattraper. Puis j'ai fini à...
[00:30:04] Speaker B: Mais la preuve que tu peux mentir en politique et être réélu, je trouve ça complètement capoté.
[00:30:10] Speaker A: Bien c'est...
[00:30:10] Speaker B: Il est où le problème?
Est-ce que les Québécois ont un problème de jugement politique? Est-ce qu'on est trop émotifs? Tu sais, à la lumière de tout ce que tu vois, le Trump, Trump, il est méchant, donc je vais plus jamais aux États-Unis, c'est fini, le catch-up, alors qu'il est fait à Montréal, etc., l'espèce de délire qu'on est en train de vivre.
[00:30:29] Speaker A: Le délire qu'on est en train de vivre, je pense qu'indirectement, il est causé par un peu tout l'aspect médiatique. Puis c'était la même chose durant la COVID. Si vous autres n'auriez pas été là, Je veux dire, on aurait totalement sombré dans le délire de la COVID. Donc, il y a une unification au niveau des médias, souvent, sur... S'il y a des gens qui n'écoutent, qui ne parlent pas anglais, puis qui écoutent uniquement... Moi, il y a quelqu'un, en fin de semaine, qui écoute uniquement TVA, LCN, Radio-Canada, RDI. Cette personne-là m'a dit... C'est de valeur qu'il aille manquer quand ils ont fait l'attentat sur Trump.
[00:31:06] Speaker B: C'est épouvantable.
[00:31:06] Speaker A: C'est épouvantable de dire ça. Et j'ai dit à la personne, est-ce que tu réalises ce que tu viens de dire là?
[00:31:11] Speaker B: C'est épouvantable.
[00:31:11] Speaker A: Mais c'est parce qu'on les amène dans un...
[00:31:14] Speaker B: Dans la haine.
[00:31:15] Speaker A: Tu sais, les gens, actuellement, mon plus gros problème, mon plus gros défaut, puis je vais prendre ton collègue Dan de son émission de mercredi.
j'ai besoin de me faire plus qu'on aime. Parce qu'actuellement, je suis allé dernièrement, je vais te faire une anecdote, je suis allé dernièrement pour mon père au niveau de ses pré-arrangements funéraires, puis le monsieur ne me connaissait pas du tout. Puis quand j'ai commencé à parler avec lui, c'était un auditeur, puis il a dit, Vous, M. Lachance, de rester citoyen, il a reconnu ma voix.
[00:31:42] Speaker B: C'est la voix.
[00:31:42] Speaker A: Donc là, on va travailler le visuel, mais si demain matin, même moi une fois par semaine dans le Journal de Québec, même moi une fois par semaine à TVA en entrevue...
[00:31:50] Speaker B: Tu demandes un traitement équitable. Tout à fait équitable.
[00:31:53] Speaker A: Je pense que je le mérite. Je ne vois pas pourquoi. J'ai absolument rien. Mes propos sont des propos qui sont... qui sont cohérents, puis on propose quelque chose de différent avec respect citoyen. Je vois pas pourquoi on se ferait empêcher de le diffuser aux gens. Après ça, les gens se feront une idée. Moi, j'ai pas de problème avec ça. Chacun se fait une idée en fonction de ce qui est présenté. Garde cette semaine, j'ai apprécié d'ailleurs, je tiens à te remercier. Ce matin, vous avez fait jouer mon extrait que j'ai fait concernant le tournoi.
[00:32:19] Speaker B: Parlons-en de ça, d'ailleurs. C'est complètement capoté qu'on ait à souligner ça, mais en même temps, il y a tellement des gens Des gens dangereux qui sont dans l'hyper-émotivité, dans l'hyper-anxiété. À un moment donné, ils voient le trapois américain et ils se mettent à huer. Dans le fond, ton message, c'était quoi, Stéphane?
[00:32:37] Speaker A: C'était tout simplement qu'on ne doit pas mêler le sport amateur à la politique internationale.
[00:32:41] Speaker B: Tournoi Pee Wee, voir des Américains en ville.
[00:32:43] Speaker A: C'est des kids de 12 ans. C'est ça. Puis c'est des gens qui arrivent ici avec leur famille, qui occupent des chambres d'hôtels, qui vont dépenser de l'argent dans des restaurants. C'est ça, avec le portefeuille. L'entrepôt du hockey, ils se font vider quand le tournoi ça, à ce niveau-là. Donc c'est un apport important à l'économie de Québec. En passant, le tournoi PIWI, ils ont déjà passé proche d'être vendus. Il y a des gens de l'extérieur aux États-Unis qui voulaient acheter le tournoi et l'amener aux États-Unis. Puis ça s'est pas fait. Puis on peut dire merci à Patrick Dom là-dessus, à ce niveau-là. Alors, à un moment donné, ces gens-là, 99% de ces jeunes-là, c'est la seule fois de leur vie qu'ils vont pouvoir jouer dans un bâtiment de qualité professionnelle.
[00:33:19] Speaker B: Ils se figent la politique.
[00:33:21] Speaker A: Totalement.
[00:33:22] Speaker B: Ils ont entendu parler de Donald Trump et ça, mais eux autres c'est des kids qui jouent au hockey.
[00:33:27] Speaker A: Fait que leur famille pis eux ont pas à être mêlés à ça pis j'espère que les gens, pis le message, écoute, en deux jours, 40 000 vues, pis les gens du tournoi Pouy-Pouy ont pris mon post et l'ont mis sur la page du tournoi Pouy-Pouy. Fait que ça je l'apprécie, comme ce matin, J'ai fait un pause devant l'hôtel, j'étais pas à Québec, j'étais à Sainte-Foy, j'ai fait un pause devant l'hôtel de ville de Sainte-Foy, j'ai eu une pensée pour Mme Boucher, où j'ai demandé au maire Marchand et à Pierre-Luc Lachance de s'excuser auprès de la dame qui s'est fait traiter de nazi par le maire. Je trouve que c'est incohérent que le premier magistrat de la ville de Québec intimide une citoyenne et on a offert notre aide à cette citoyenne-là si elle veut se prévaloir de ses droits.
[00:34:06] Speaker B: Le plus d'un avocat de ma vie.
[00:34:08] Speaker A: On a ces ressources-là chez nous. Si elle en a besoin, on lui offre et la balle est dans son coeur parce que c'est inadmissible ce qui s'est fait.
Là, c'est rendu que les citoyens vont craindre d'aller se présenter à l'hôtel de ville pour poser des questions.
Puis de toute façon, une autre chose que je vais faire?
[00:34:22] Speaker B: Intimidateur.
[00:34:23] Speaker A: Ben, je vais te dire que les conseils de ville, ils vont revenir à partir de 5h. Les histoires de commencer à 2h, là, c'est complètement illogique. Ça, c'est d'autres choses. C'est d'autres petites choses comme celle-là. Les gens de Lac-Saint-Charles, les gens de Lac-Saint-Charles qui, actuellement, malgré une petite subvention de 20 000 $, sont obligés de sortir 40 000 à 50 000 $ pour pouvoir avoir une nouvelle fausse septique pour être aux normes, qui peut-être, dans 4-5 ans, on va les relier au réseau des goûts de la Ville de Québec, puis ils vont avoir payé cette somme-là, puis ils vont peut-être même pas encore avoir fini de payer le prêt.
Moi, au lieu de faire une réserve climatique pour éventuellement la montée des eaux, on va prendre cet argent-là et on va connecter les 700 résidents du lac Saint-Jean.
[00:34:57] Speaker B: Fini la réserve climatique.
[00:34:58] Speaker A: Non, non. La réserve climatique, c'est... Il y a déjà un ministère qui est au provincial.
[00:35:03] Speaker B: C'est de la boirie.
[00:35:04] Speaker A: C'est ça, puis il y a un ministère de l'Environnement fédéral. Actuellement, je sais pas ce qui s'est passé, mais dans le dernier mandat, le mandat de M. Marchand, on s'est comme improvisé, comme on est rendu à l'international. Moi, quand j'ai entendu Bruno Marchand qui, dans son prochain voyage aux États-Unis, il dit qu'il va peut-être même essayer de parler à Donald Trump concernant les îles. Tu remets-toi de tes affaires, là. Occupe-toi des égouts, occupe-toi du déneigement. Lundi, c'est... Non, c'est mardi matin. Lundi, il y a quand même tombé pas mal de neige.
Dominique, j'étais en direction d'un hôtel où j'avais une activité au niveau commercial. À 8h08 du matin, opération déneigement sur Grande Allée à la hauteur de la rue Cartier, avec les camions qui suivent l'un derrière l'autre, le souffleur, le pick-up en avant.
8h08 en plein trafic.
[00:35:50] Speaker B: — Non, non, c'est insacré du trafic. Même moi, quand je suis sorti ici de la station, il y avait beaucoup de trafic sur Grande Allée. Alors qu'on aurait dû faire ça la nuit, on a voulu épargner à cause des budgets, peut-être.
[00:36:00] Speaker A: — Mais il n'y a pas juste on a voulu épargner. Moi, on va l'expliquer. Probablement, ce n'est pas de la faute des cols bleus, eux autres, ils suivent les directives. Mais actuellement, les directives sont erronées à Ville de Québec. Ça prend un changement. Puis, la raison pour laquelle, le cas précis qu'on parle, c'est que dans un premier temps, ils déneigent les pistes cyclables.
C'est eux autres qui ont priorité. Pis là, ils tassent la neige dans la rue, pis après ça, ils vont passer pour ramasser la neige pour pouvoir l'évacuer.
[00:36:25] Speaker B: C'est compliqué, c'est l'enfer.
[00:36:25] Speaker A: Fait que si ça serait pas des pistes cyclables, ça pourrait se faire beaucoup plus tôt. Ça devrait être fait dans la nuit. Les gens, quand on arrive à partir de 6h le matin, le déningement devrait être complété.
[00:36:33] Speaker B: T'as-tu un rêve pour Québec?
[00:36:35] Speaker A: Ouais.
[00:36:36] Speaker B: C'est quoi ton rêve, Yotube? T'as-tu un rêve?
[00:36:37] Speaker A: Ben, premièrement... T'es en dehors de la.
[00:36:39] Speaker B: Saine gestion, je comprends.
C'est un peu plate, mais on aime ça, la platitude, on aime ça être bien géré, mais as-tu un rêve pour la capitale du Québec? Parce qu'on est quand même la capitale du Québec.
[00:36:50] Speaker A: Il y a une chose que je suis convaincu, c'est que si Montréal aurait pu déménager l'Assemblée nationale, il l'aurait fait. Malheureusement, c'est impossible. Fait qu'on veut, il faut garder ça, puis il faut garder. Mon rêve, c'est du pratico-pratique, je ne serais pas très original. Nous, on croit singulièrement aux périphériques et aux troisième liens.
Donc, moi ce que je dis, c'est que advenant le cas d'une administration de respect citoyen, on va s'allier aux autres municipalités qui sont en faveur du 3e lien pour mettre un maximum...
[00:37:16] Speaker B: La belle chasse.
[00:37:17] Speaker A: Oui, la belle chasse, la rive sud, ces choses-là, pour vraiment faire un vrai périphérique à Québec. Québec est à l'aube d'avoir un million d'habitants.
[00:37:25] Speaker B: Tout à fait.
[00:37:26] Speaker A: Mais on a besoin de ça comme outil de développement.
[00:37:29] Speaker B: Ils passent où?
[00:37:31] Speaker A: Moi je pense, moi je vais te le dire, premièrement ça prend un pont de remplacement. Moi personnellement là, je trouve que le pont de Québec, on gaspille de l'argent. Moi personnellement, c'est éternité le pont de Québec.
[00:37:43] Speaker B: Là tu laisses le rail là, quand même faut que le train... Non je.
[00:37:46] Speaker A: Refais un nouveau pont, qui aurait ça, mais je refais un nouveau pont plus fonctionnel, plus moderne, avec plus de voies.
[00:37:51] Speaker B: Pour la voie ferrée plus la voie routière.
[00:37:53] Speaker A: C'est ça, plus au moins deux, deux si c'est pas trois voies en tant que telles. Mais c'est sûr et certain que je débâtis le pont qui est là présentement, qui est en lambeaux, pis qu'on met de l'argent, on met de l'argent.
T'as été jeune, j'ai été jeune, t'sais qu'on a acheté une auto pis qu'on m'a mis une fortune sur une auto.
[00:38:08] Speaker B: Qui n'en valait pas la peine. Mon père avait un protèque le même.
[00:38:11] Speaker A: Maintenant il n'existe plus le protèque le même. Moi j'ai eu un Eagle 2000 GTX 4x4 pis j'ai mis une fortune dans ce char-là, tout brisait, pis je m'obstinais à continuer à mettre de l'argent là-dedans. Avec le recul pis l'expérience, je me dis j'aurais dû arrêter pis d'en acheter un autre. Ben c'est la même chose pour le pont de Québec.
[00:38:23] Speaker B: Le pompier à la porte, lui?
[00:38:24] Speaker A: Le pompier à la porte, ben je pense qu'il a encore une durée de vie, mais si on construit un pont adjacent, c'est déjà là, ça va...
diminuer un peu son utilisation.
[00:38:31] Speaker B: Il faut changer la tête des ponts parce que quand tu rentres sur le pont de Québec, de Lévis, c'est du mot d'izigonnage.
[00:38:38] Speaker A: Puis par la suite, ça prend aussi un pont à l'est, ça c'est sûr et certain. Alors lequel on va faire premier, ça je ne suis pas ingénieur.
[00:38:44] Speaker B: Mais à quelle place?
[00:38:45] Speaker A: Mais c'est sur la pointe. Moi je veux dire, quand on descend Félix-Leclerc, qu'on arrive en bas de la côte avant de prendre le virage, Moi, je vois pas de... C'est là, là, on continue, puis vous continuez, puis à ce moment-là, la première partie, qui avait été établie d'ailleurs comme étant un peu plus problématique, parce qu'elle est très sablonneuse, la première partie, là, de la rive de Beauport jusqu'à l'île, ça pourrait être... Il n'y a pas de bateaux qui passent là, Dominique?
[00:39:13] Speaker B: Non, non, les bateaux passent par l'autre bord.
[00:39:14] Speaker A: Alors on pourrait faire une jetée, qui serait financièrement beaucoup plus économique, avec peut-être un ou deux passages...
[00:39:20] Speaker B: Une jetée étant genre de pont...
[00:39:23] Speaker A: On est en train d'en faire une jetée présentement pour la construction du nouveau pont. Alors on fait une jetée... Beaucoup moins chère. Beaucoup moins cher. Puis on fait un ou deux trous pour permettre aux petits bateaux, aux petits yachts de passer. Bon, ça c'est correct. Puis de l'autre côté, là on fait un pont pour traverser de l'autre côté sur la rive Sud. Puis t'es sur le pont, quand t'es sur cet accès-là, ben à un moment donné, t'as une sortie pour aller...
[00:39:45] Speaker B: À Saint-Pétronille.
[00:39:46] Speaker A: Ben oui, même principe quand t'es sur... Quand t'arrives là, puis tu prends la sortie pour aller à l'Île-Saint-Hélène, même principe. T'as une sortie pour aller à l'Île-Saint-Hélène.
[00:39:53] Speaker B: Tout à fait.
[00:39:53] Speaker A: C'est le même principe.
[00:39:54] Speaker B: Oui.
[00:39:54] Speaker A: Alors c'est comme ça que je le vois.
Au niveau de la fluidité, tu me parlais des idées. Je ne veux pas toutes les donner parce qu'on en a des très bonnes. Mais présentement, on a un terrain qui était prédestiné à construire une tour, le phare. Pourquoi on ne se servirait pas avec une meilleure utilisation d'Hochelaga? Pourquoi on ne se servirait pas de ce terrain-là avec une modification de la tête des ponts pour offrir plus de possibilités aux gens au niveau des différentes directions qu'on veut prendre? Ce terrain-là, il est là.
pis il sert pas, alors...
[00:40:23] Speaker B: Maudit que ça l'est, ce coin-là.
[00:40:25] Speaker A: Ça a pas d'allure. Pis encore là, je veux dire, on met toujours, pis ça c'est une autre chose que je dénonce, on met toujours la charrue avant les bœufs. On est allé, on a déconstruit l'Ultramar sur Laurier à côté du McDonald's. Pourquoi on a fait ça?
Y'a rien qui va se passer actuellement pis y'a rien qui va se passer d'ici l'élection. Le Pétro-Hernanda dans le coin de René-Lévesque là, y'a rien qui va se passer.
[00:40:48] Speaker B: On continue des expropriations pour le tramway.
[00:40:50] Speaker A: Mais ça c'est... je veux dire c'est... hors contrôle. Totalement. Pis ça fait partie de la philosophie actuelle à la ville et cette philosophie-là doit changer. Alors, moi ce que je veux dire à tes auditeurs, pis mon message, vous en faites ce que vous voulez, mais vous avez trois personnes, Marchand, Villeneuve, Smith, pro-tramway, Vous avez un possible Sam Hamad et un possible Patrick... Je vais dire Patrick Paquette, là. J'ai pas de nouvelles au niveau de Jacinthe, mais ça... Moi, dans les deux cas, on me dit, puis surtout au niveau d'Équipe Priorité Québec, on envisageait une solution SRB. À suivre.
[00:41:28] Speaker B: Moi, je l'ai pas entendu, ça.
[00:41:30] Speaker A: Donc, le seul parti qui propose à rien...
[00:41:34] Speaker B: À date.
[00:41:35] Speaker A: C'est nous autres.
[00:41:36] Speaker B: À date.
[00:41:37] Speaker A: À date. C'est nous autres. Nous, on va...
rentabiliser puis améliorer le RTC.
[00:41:43] Speaker B: Là, les journalistes vont dire, oui, mais vous proposez rien quand même.
[00:41:46] Speaker A: Quelle est votre solution, M. Lachance, pour le trafic? On propose plein de solutions au niveau du système du RTC. Présentement, on développe Est-Ouest, mais on développe pas Nord-Sud. Il faut améliorer le service au niveau du Nord-Sud. Il faut avoir une meilleure direction. Nicolas Girard, en passant, du RTC, à 300 000 $ par année, il était à la STM puis l'a mis dehors.
Nous autres, on est bon là-dedans. L'ancien gars d'Ottawa qui a perdu sa job à cause du désastre du LRT, la bombe l'a ramené à Québec comme responsable du RTC. Là, après ça, quand il est parti, on ramène un gars qui s'est fait mettre dehors de Montréal. Nous autres, on va nommer quelqu'un qui a son permis.
qu'elles sont permises de conduire des autobus pis qui sait combien qu'il y a de roues sur un dix-roues. On va faire ça. On va commencer par là, pis on va arriver concrètement avec des solutions, pis on va arrêter l'hémorragie, les histoires là. L'université Laval, là, c'est quoi cette affaire-là que les gens, peu importe que t'aies une vignette de stationnement avec ta voiture, t'es obligé d'acheter des billets.
[00:42:42] Speaker B: C'est scandaleux.
[00:42:43] Speaker A: C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux.
[00:42:46] Speaker B: C'est scandaleux.
[00:42:46] Speaker A: C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux. C'est scandaleux 160 000 pour la co-op carbone, 180 000 pour... Écoute, je peux te garantir qu'on va avoir... On a une stratégie. On n'aura pas 50 points, là. On va en avoir peut-être 5 ou 6, très précis, qui vont avoir un effet direct dans le poche des gens, qui vont inclure des réductions de taxes, c'est garanti, pis qui vont aussi inclure le développement économique. Ici, là, attendre 4 ans pour avoir un permis de construction, c'est inacceptable.
[00:43:17] Speaker B: On va attendre combien de temps?
[00:43:18] Speaker A: 10 semaines. 10 semaines, t'as ton permis.
[00:43:22] Speaker B: Comment ça va les finances du parti?
[00:43:24] Speaker A: Ben écoute, ça va pas si pire que ça. On est loin de la coupe aux lèvres là. Aux dernières élections, le Québec, fort et fier, ont dépensé 128 000 $ pour la campagne électorale.
[00:43:34] Speaker B: Ça coûte combien une campagne?
[00:43:35] Speaker A: Ça coûte au moins 200 000.
[00:43:37] Speaker B: L'avez-vous?
[00:43:38] Speaker A: On l'a pas, mais...
[00:43:40] Speaker B: Mais ça commence, c'est tôt quand même.
[00:43:42] Speaker A: Oui, oui, non, mais je vais t'expliquer, mais non, mais on... Il y a du monde qui travaille derrière, là. J'ai beaucoup de gens qui travaillent derrière, puis on a des gens qui sont ferrés, puis beaucoup d'entrepreneurs. En financement? Absolument. On a quelqu'un dans notre équipe qui a fait partie de la première équipe originale de Régis Labon, quand il a été élu. Cette personne-là, c'est quelqu'un qui va nous donner un gros coup de main.
[00:44:01] Speaker B: Quel est son nom?
[00:44:03] Speaker A: Je vais attendre, parce qu'il va se présenter aussi comme candidat dans Saint-Frederic.
[00:44:06] Speaker B: Il est responsable du financement?
[00:44:08] Speaker A: En tout cas, il y a beaucoup de contacts au niveau organisationnel. Puis ce qu'on s'est fait dire, puis la bonne nouvelle, Respect citoyen est un parti officiel du DGEQ. On va recevoir une lettre du DGEQ confirmant qu'on va avoir le droit d'avoir 50% de toutes nos dépenses électorales qui vont être remboursées.
Alors nous, ce qu'on va faire, c'est qu'on va prendre des engagements financiers avec des preuves comme de quoi on va être capable de payer, puis on a aussi des gens qui vont nous aider en tant que tel, dans la légalité, mais qui vont faire en sorte qu'on va s'assurer qu'on soit capable de faire face à nos obligations.
[00:44:42] Speaker B: Est-ce que c'est compliqué?
[00:44:43] Speaker A: C'est très compliqué. C'est excessif.
[00:44:45] Speaker B: Un nouveau parti?
[00:44:46] Speaker A: Pensais-tu que c'était aussi compliqué que ça? Non, non, non.
[00:44:49] Speaker B: C'est un nouveau parti quand même.
[00:44:51] Speaker A: Ah oui, c'est un nouveau parti.
[00:44:51] Speaker B: Quelles que soient les opinions qu'on puisse avoir sur ton parti, tes idées, toi... Scratch from zero. Félicitations. Pour vrai, former un parti.
[00:45:00] Speaker A: Dominique, je vais prendre l'occasion que tu m'offres. En tant que tel, on a Marc qui va être notre directeur de campagne. Il s'est fait d'ailleurs confirmer. D'ailleurs, chez Respect Citoyen, le poste de directeur de campagne est voté par l'ensemble des membres.
Alors nous, des cosquinennes qui sont votées dans un bureau obscur, ça ne fonctionne pas comme ça. Je veux lever mon chapeau à notre agent officiel Isabelle Savard. Isabelle, c'est elle qui est en communication avec les gens du DGEQ. Il y a des règlements, il y en a, puis elle est rendue qu'elle les connaît par cœur, mais souvent, je lui demande, on pourrait faire ça, mais là, la règle, non, non, non. Écoute, c'est compliqué.
mais il faut naviguer avec ça. Ça fait partie, c'est la même règle pour tout le monde. Puis d'ailleurs, je pense qu'éventuellement, si M. Hamad décide de se lancer, il va voir que ça a beaucoup changé par rapport à ses dernières expériences. Plus lourd, plus compliqué. Il ne peut pas avoir une compagnie qui va lui faire un chèque de 300 000 pour l'appuyer dans sa démarche. Ça ne marche plus comme ça maintenant. Alors, c'est plus lourd, plus compliqué. Il faut être organisé, il faut rendre des comptes.
Écoute, nous, on a fait des activités. Entre autres, je l'avais déjà amené dans ton émission, on a des pancartes qu'on donne aux gens qu'on vend.
On ne peut pas les vendre plus cher que le prix qui nous coûte. On n'a pas le droit de faire.
[00:46:12] Speaker B: Aucun profit avec ça.
[00:46:14] Speaker A: Alors oui, c'est compliqué. Mais écoute, on a décidé de se lancer dans ce projet-là parce qu'on était écoeuré de voir ce qui se passait. Puis Dominique, c'était moins pire.
Le 4 juillet 2023, c'était moins pire que ça l'est actuellement. Alors je pense qu'on a pris une bonne décision. On a des bénévoles qui sont motivés incroyables. Je les salue en même temps, tous ceux et celles qui sont à l'écoute.
Puis je pense que c'est comme ça. On est des personnes vraies. On est des gens de cœur. Puis on y va pour les bonnes raisons.
Fait que nous on va expliquer comment on voit les choses, on va vendre notre salade de façon claire, pis les gens par la suite auront la décision de savoir est-ce que vous vous embarquez, parce qu'un deuxième mandat de Bruno Marchand, regardez ce qu'il se passe à Montréal avec Valéry Blanc, c'est la même chose.
[00:47:01] Speaker B: On peut pas. Moi quiconque est contre le tramway, Je vous aime. Moi, je vous aime tous. Regarde, je ne favorise personne. J'étais super content de te recevoir dans le podcast.
[00:47:11] Speaker A: C'est très... j'apprécie beaucoup.
[00:47:12] Speaker B: Les autres aussi vont être... mais on va les watcher, SRB. Je ne suis pas sûr que c'est une bonne idée. C'est une idée des...
[00:47:19] Speaker A: C'est une idée d'il y a 25 ans. C'est une mauvaise idée de la dernière campagne. Moi, je veux dire, Richard Côté... Pas de recyclage. Richard Côté, en 2021, je sais que dans ses points de discussion avec les candidats, parce que Marc, notre directeur de campagne, était candidat, Marc a perdu par même pas 200 voix contre M. Verret.
[00:47:37] Speaker B: Ça c'est sacrant.
[00:47:38] Speaker A: C'est sacrant mais je peux te garantir que cette fois-ci ça va être la bonne. Plusieurs candidats disaient à M. Côté, il faut arriver à une proposition pas de projet.
puis c'est entêté avec le valse, puis ces choses-là. La première chose à faire, c'est d'écouter les gens. C'est leur argent. Il faut leur demander qu'est-ce que vous voulez qu'on fasse avec votre argent. Puis à ce moment-là, en fonction des réponses qu'on aura, c'est sûr qu'il y a des moments donnés où on va prendre certaines décisions qui ne seront pas nécessairement... qui vont faire la majorité, mais on va toujours s'assurer, par contre, que ça soit... que ça reflète la majorité 50 plus 1 des citoyens. Puis si on se trompe, il y a une chose qui est sûre avec respect citoyen, puis il y a une chose qui est sûre avec Stéphane Lachance, j'ai beaucoup de défauts, mais j'ai une grande qualité. Moi, quand je me trompe, je suis capable de le dire.
Je me suis trompé.
[00:48:25] Speaker B: Et ton pire défaut étant?
[00:48:26] Speaker A: Mon pire défaut? Des fois, je m'en porte. C'est un petit peu latin. Des fois, je m'en porte un peu. Ah oui? Oui, un petit peu. Il faut que je garde dans ma tête tout le temps le mot cool. Il faut que je reste cool. Il faut que je sois cool. Mais je ne le fais pas par mauvaise foi. Je le vois par...
L'intensité. L'intensité, ça brûle en moi en tant que tel, mais je suis conscient que quand tu représentes... Mais il y a une chose qui est sûre, c'est que si les gens nous font confiance, puis ça, j'en suis très conscient, puis ça, ça a souvent été dit de la part de présidents américains, mais je veux le ramener ici aussi au niveau du municipal, quand on est élu, on est élu pour tout le monde.
autant les gens qui ont voté contre nous que ceux qui ont voté pour nous. Puis il faut faire en sorte qu'un maximum de personnes soient satisfaites. Puis on sera aussi le seul parti, en plus d'être imputable, qui va ramener des signatures de registre au niveau de l'hôtel de ville. Puis ils vont même permettre à la limite un recall. Alors ça, il n'y a pas personne d'autre. Puis la raison pour laquelle on le fait, c'est parce qu'on croit dans nos idées. Puis on croit dans la façon dont on veut agir.
[00:49:25] Speaker B: Vous avez le mérite de vous lancer le service public, quelle que soit l'option politique, moi je salue ça, le service public. Aujourd'hui la politique c'est tough, les gens ont plus ou moins confiance, on voit ça le dire Stéphane, de part des années et des années.
[00:49:40] Speaker A: Je les comprends.
[00:49:40] Speaker B: Promesses bafouées avec Marchand et tant d'autres logos, on peut tous les nommer. C'est sûr que c'est difficile de sortir quelqu'un de la maison aujourd'hui. Moi, je connais du monde qui dit « la merde, je sors pas, ça donne rien le vote » et on l'a vu avec Marchand. Des gens qui ont voté pour Marchand qui sont excessivement déçus.
[00:49:58] Speaker A: Beaucoup de gens qui sont restés à la maison vont écouter Netflix. C'est ça. Ça fait partie de notre stratégie. On va amener des stratégies. C'est pour ça. Hier, j'ai parlé pour une première fois. J'étais dans le SpaceCast avec Rich. C'est une clientèle complètement différente des gens de jour qui écoutent choix. J'étais bien content à ce niveau-là. On va aller toucher ces gens-là et les conscientiser. Parce qu'à un moment donné, au final, c'est eux qui vont avoir la facture.
Les gens qui sont à la retraite et qui votent pour Bruno Marchand sont en fin de match. Mais c'est les gens de 24, c'est eux autres qui vont avoir la facture, qui vont être poignés avec ça. Quand j'entends Claude Villeneuve qui est venu parler avec The H et qui dit qu'avec ou sans le fédéral, on y va, Déjà là en partant, c'est irresponsable.
[00:50:45] Speaker B: Alors qu'il connaît même pas le montant de la facture.
[00:50:46] Speaker A: Deuxièmement, il parle d'essor économique, oui, pis il connaît pas non plus le coût d'entretien. Est-ce que tu savais Dominique qu'à Ottawa, on établit que le LRT D'ici 2034, les coûts d'entretien représentent 8,9 milliards de dollars. Penses-tu que ça va coûter moins cher ici?
[00:51:02] Speaker B: Oui, on ne les a jamais évalués!
[00:51:04] Speaker A: Jamais, jamais. On n'est jamais allé à Ottawa. Nous, on est allé. Les gens d'Ottawa, le projet d'Ottawa est dix fois mieux fait que celui de Québec. Jamais en compétition avec l'auto, avec les piétons, intérieur au niveau de la ville. Lorsqu'il sort à l'extérieur, il est dans une travée où il est tout seul. Malgré tout ça, lorsqu'on demande aux gens d'Ottawa, ils nous disent que c'est une cochonnerie.
Alors t'sais, pis là nous on arrive avec quelque chose qui est avec une dalle, des fils dans les airs. Couper les arbres sur un élevage, ça n'a pas de bon sens. Ça n'a aucun bon sens. Pis dans le Vieux-Québec, voir des fils un peu partout, je veux dire, ça va être une horreur. Je peux pas croire qu'il y a des gens... C'est sûr que pour des personnes qui sont en fin de carrière pis qui se disent ben, ça va me faire un désennui, je vais m'asseoir dans...
Je vais m'asseoir dans le tramway, puis il va m'amener d'un point A au point B, puis je vais revenir après, puis ça va me faire une petite promenade. Mais je veux dire, il faut penser aux générations qui vont payer ça. Puis je reviens à mon point, M. Villeneuve, il parlait que c'était un excellent outil de développement économique. À Montpellier, on a parlé récemment à...
Quelqu'un que tu as eu souvent en émission.
[00:52:02] Speaker B: En Europe, en France.
[00:52:03] Speaker A: Oui, mais celle qui était propriétaire de trois hôtels, Michèle...
[00:52:06] Speaker B: Doré.
[00:52:06] Speaker A: Michèle Doré. Très sympathique. On était intéressé à l'avoir comme candidate. Elle nous a dit qu'elle était un petit peu trop vieille pour y aller, mais elle nous a donné beaucoup de conseils, puis elle veut nous aider au niveau justement des relations avec les marchands. Puis elle nous disait qu'à Montpellier, tous les commerces, pas 50, pas 20, pas 10, tous les commerces qui étaient sur le trajet du projet de tramway qu'on construit, ils ont tous fermé.
Alors M. Villeneuve, vous dites quoi aux commerçants actuels qui sont sur le trajet et qui vont fermer? Vous leur dites quoi concernant l'événement, le happening économique? Vous leur dites quoi à ces gens-là qui à tous les jours se lèvent, travaillent fort pour essayer de gagner leur croûte? Je trouve ça inadmissible.
[00:52:48] Speaker B: Stéphane Lachance, merci.
[00:52:49] Speaker A: Grand plaisir.
[00:52:50] Speaker B: Bonne campagne.
[00:52:50] Speaker A: Merci beaucoup.